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    High Life
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    132 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 novembre 2018
    Un huit clos apocalyptique mené par deux acteurs excellents. Bravo à claire Denis qui revient en force avec un scénario original.
    Julie Charlotte F.
    Julie Charlotte F.

    23 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 novembre 2018
    Réalisation en flash-back laissant peu de place à une intrigue ou à une immersion ... le nombre de personnes abandonnant pendant le film n’a jamais été si important
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    89 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 novembre 2018
    Souvent exigeante, toujours singulière, la filmographie de Claire Denis embrasse de multiples genres. Le territoire cinématographique arpenté est aussi vaste que passionnant du film d’horreur Trouble every day (2001) à la comédie romantique Un beau soleil intérieur (2017, Les reflets du genre humain), ou du mélodrame Vendredi soir (2002) au thriller Les Salauds (2013). La réalisatrice étend encore le champ des possibles avec High life, son premier film tourné en langue anglaise et son premier film de science-fiction.
    [...]
    De la démarche radicalement minimaliste de la réalisatrice émerge un cinéma de genre exigeant, viscéral, mental, musical, sensuel, violent et cathartique. Comme les films précédents de Denis, High life satisfait sans « tabou » à toutes ces caractéristiques. Ainsi, les séquences qui le composent sont autant d’invitations organiques et sensorielles que le spectateur devra savoir saisir. A défaut, cette odyssée aux confins de l’espace mais aussi d’une humanité redevenue animale sera perçue comme étrangère alors qu’elle est étrange et immersive.
    Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com
    Hélène D.
    Hélène D.

    30 abonnés 84 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 novembre 2018
    Decousu, inutil.un mauvais film.l’idee etait interessante pourtant de connaitre l’histoire de cet homme avec ce bébé.et puis ça tourne vite au ridicule avec une scene ridicule de Juliette Binoche. Pas vraiment de scénario. De belles images malgré tout.
    adrianelvn
    adrianelvn

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 novembre 2018
    Nul, dégoûtant je ne sais même pas comment ils ont pu le faire. Totalement sans intérêt. Laisse tomber.
    innocom
    innocom

    4 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 novembre 2018
    Magnifique! Un grand film. Un film simple, beau, intelligent qui enchante. Les acteurs charismatiques participent à l'enthousiasme. J'y ai adhéré après les toutes premières scènes pendant lesquelles il faut trouver le tempo de l'oeuvre. A bien y réfléchir, je suis rentré dans le film dès le moment où spoiler: le tournevis tombe dans le vide
    (Au tout tout début). Comme si j'avais compris sa problématique. A cet instant j'ai vu le film sous l'angle du vertige et l'irremediable. C'est pour moi l'un des meilleurs films de l'année!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 novembre 2018
    Dommage que les gens soient passé à côté de cet ovni parce qu'ils s'attendaient à un film de science fiction alors que c'est simplement un film laboratique sur l'Homme (et d'une rare beauté plastique).
     Kurosawa
    Kurosawa

    578 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 novembre 2018
    Un groupe de criminels est envoyé dans l'espace pour extraire l'énergie rotationnelle d'un trou noir (qui a compris ce que cela signifiait ?) et pour subir des méthodes de reproduction originales : ce pitch pourrait être porteur d'un certain nombre d'idées, lesquelles transparaissent ça et là mais se voient finalement presque toujours reléguées à l'arrière-plan. C'est que Claire Denis a autre chose à faire que de raconter une histoire, que de construire des personnages et de porter un discours intelligible : son intérêt est ailleurs, il faut mettre en scène. On peut aisément affirmer que la cinéaste ne sait pas très bien ce qu'elle veut dire de ces transformations et divers recyclages de fluides (sperme, lait, eau, etc) tant elle décide volontairement de ne pas organiser ces éléments mais de s'en servir comme une pure toile de fond, un vague repère pour le spectateur qui risquerait sinon d'être vite désorienté. "High life" ne tient donc à pas grand chose, si ce n'est à une atmosphère tantôt planante tantôt oppressante, à des mouvements de caméras souples et des flashbacks à l'esthétique tarkovskienne, au visage de Robert Pattinson qui fascine indéniablement Claire Denis. Proche de n'être qu'un brillant exercice de style sur l'alternance entre statisme (regards fermés des comédiens, corps immobiles précisément disposés dans le cadre) et brutalité du mouvement inscrite dans des scènes intenses et provocatrices (Juliette Binoche dans la fuck box, la tentative de viol, Mia Goth seule dans le vaisseau), le film finit par se centrer sur l'intime. Si ce dernier segment est si émouvant, c'est d'abord parce que le spectateur est surpris de voir à l'écran une relation aussi tendre et concrète déborder l'expérience sensorielle et aussi car ce lien entre un père et sa fille (c'est aussi l'ouverture du film) donne l'impression d'assister à la survie des derniers êtres de notre monde – alors que l'action se déroule dans l'espace. Au final, on ne sait pas vraiment ce que l'on a compris ni ce qu'il y avait à comprendre; mais peu importe, tant dans sa prétention assumée de ne proposer "qu'une" mise en scène puissante et hypnotique, "High Life" aura procuré un mélange rare d'inconfort et d'envoûtement, au risque de laisser pas mal de spectateurs sur le bas-côté.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 novembre 2018
    Le gros du budget a très surement été placé dans la tête d’affiche qui sera le seul côté positif de ce film. L’interprétation de Pattinson qui survole ces deux heurs interminables est le seul et unique pilier de ce cauchemar. Sincèrement lorsqu’on va au cinéma, même pour voir une œuvre expérimentale, ce n’est pas pour entendre pleurer un enfant durant quinze minutes. Même les conseils scientifiques d’Aurélien Barrau n’auront pas sauvé ce naufrage sans rythme, sans intensité, sans émotions. Faire la comparaison avec Solaris reviendrait à comparer Gotty avec un film de Scorsese. La violence et le sexe omniprésent et aussi mal amené les décors et costumes. Ces dernières ont surement dû être confectionnées par un amateur alcoolique lors d’une soirée halloween. La science-fiction est un genre où les idées et histoire foisonnes d’inventivités ce que la réalisatrice n’a pas du comprendre en écrivant ce scénario dont elle devait être la seul personne à l’avoir lu avant le début du tournage. Les producteurs de se navet devaient avoir pour mission de détruire ce genre dont les bonnes œuvres sont si rares et ne doivent en aucun cas être gâchés ou le plus rarement possible. Ce film nous montre au moins un des côtés négatif du milieu du cinéma où des personnes doivent dire oui sans réfléchir à leurs amis résultant ces déchet valant très cher qui jonche l’histoire du cinéma.
    colombe P.
    colombe P.

    129 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 novembre 2018
    J'adore J. Binoche et elle était formidable dans le précédent film de cette réalisatrice.
    Et je me demande vraiment pourquoi elle a accepté de jouer dans ce nouveau film complètement détestable et affreux.
    Et aussi pourquoi la réalisatrice a eu une idée pareille de film.
    Quelle histoire sordide, mal fagotée et très désagréable à visionner.
    traversay1
    traversay1

    3 539 abonnés 4 824 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 novembre 2018
    Tapez French Directors dans n'importe quel moteur de recherche et Claire Denis apparaîtra autour de la vingtième position, deuxième femme après Agnès Varda. Celle que vénèrent la plupart des acteurs américains est une sorte de légende vivante du film d'auteur, farouchement indépendante, singulière et à l'occasion provocatrice. C'est oublier que si certains de ces films valent le détour (Chocolat, 35 rhums, Les salauds), beaucoup sont ennuyeux à périr et assez prétentieux dans leur facture. High Life fait partie de cette catégorie dans le genre film de SF minimal à visées philosophiques. Le sujet ? Si l'on comprend bien (ce n'est pas certain vu le caractère opaque du récit), c'est rien de moins que l'extinction de la race humaine avec un sous-texte sur les manipulations génétiques. Mais à vrai dire, après une introduction mièvre avec bébé, on s'en fiche un peu car le temps passe extrêmement lentement dans ce vaisseau spatial et l'on n'exprime qu'un souhait : prendre congé au plus vite de ce pensum inhabité et dire au revoir là-haut. Pattinson, dénué d'expressions et surtout Binoche grotesque comme jamais jusqu'alors, n'en peuvent mais. Claire Denis se prend à la fois pour Tarkovski et Kubrick et fait sa petite tambouille tranquillement, avec des scènes de sexe superfétatoires et repoussantes en sus, histoire de montrer qu'elle n'a pas peur de choquer le spectateur. Oui, ce doit être cela une posture d'artiste qu'il sera convenable de louer si l'on ne veut pas passer pour un cul-terreux. A t-on le droit, en tant que cinéphile ouvert à toutes les expériences, de détester ce film ?
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 13 novembre 2018
    Dans le futur, un groupe de condamnés à mort sont lancés dans l'espace faisant partie d'une nouvelle expérience de réinsertion, selon la version officielle. En réalité ces gens seront laissés à leur sans qu'ils ne reviennent jamais sur terre. High life s'inscrit dans la filmographie de Claire Denis comme un de ses films aux pitchs improbables et basés plus sur l'insinuation que sur l'évidence. On a l'exemple de la travesti tueuse de J'ai pas sommeil, basé sur des faits réels, ou les vampires clandestins de Trouble every day.

    Heureusement, la space-opéra n'arrive pas à dresser Denis dans les codes du genre et elle s'en sert d'un montage chaotique qui a toujours marqué son style personnel. On mêle le passée et le futur sans qu'on suit une ligne temporelle claire. Avant d'analyser ce chaos il faut faire mention au superbe prologue du film: un astronaute répare le fuselage d'un vaisseau dans l'espace. D'un coup, il entend un bébé pleurer dans la radio. Il entre dans le vaisseau et sur une porte on voit un carré noir: le vide. C'est par ce trou qu'il jette les corps du reste du casting avant que le titre du film fasse apparition.

    À plusieurs festivals le film à provoqué des débandades. C'est un film avec des scènes de violence et de sexe, certain, mais rien de plus graphique ou choquant que n'importe quel autre film déconseillé aux mineurs. Le grand problème face au public c'est l'épreuve qui suppose suivre un film de science-fiction sans ordre chronologique où pas grande chose se passe. High life est très attaché au style de sa créatrice qui s'intéresse plus à mettre en évidence la nature humaine au lieu de miser sur l'action du récit.

    spoiler: Une poignée de dangereux criminels sont enfermés et isolés et soumis aux radiations de l'espace. Ils ne pourront faire abstraction de l'usure physique et psychologique que de deux façons: le potager dans le vaisseau, symbole de paix et calme, et le fuckbox, une machine sexuelle, qui rappelle énormément à l'Orgasmatron de Barbarella et qui nous offre la meilleur scène du film, celle de l'hypnotique extase de Binoche au rythme des Tindersticks. Hors, l'éloignement de la Terre et l’oppression de cette cage spatiale mèneront les personnages vers la fin inévitable. Claire Denis montre qu'on ne peut éviter les conduites violentes avec la quarantaine. Les expériences de la docteur échouent, le désespoir fait que les gens se jettent dans un trou noir et le temps ne fait que rendre la situation pire. Les références à Solaris sont partout dans le film. Par contre, si dans le classique soviétique c'était l'exoplanète du titre qui réveillait la folie dans les cosmonautes, c'est l'abandon et l'affliction qui déclenchent la tragédie dans High life. Le seul rayon visible de l'espoir c'est la naissance d'une gamine. Selon le vaisseau s'éloigne de la Terre, les normes morales, les lois et les règles disparaissent et comme conséquence, la relation paternel-filiale devient plus ambiguë et abstraite. Voici la nouvelle vie à laquelle, père et fille, devront faire face. Une nouvelle forme de vie, High life, qui va au-delà des codes connus sur Terre.


    ////////// Encore plus de fautes et d'erreurs sur hommecinema.blogspot.fr
    nadège P.
    nadège P.

    131 abonnés 538 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 novembre 2018
    Je suis très bon public en général au cinéma, je suis tolérante et j'affectionne différents styles.
    Avec ce film là j'ai eu énormément de mal.
    Ma tolérance et ma patience ont été mises à rude épreuve.
    Tout d'abord, j'ai bien compris toute l'histoire.
    Mais cette histoire n'a rien pour elle : on ne ressent ni plaisir, ni compassion, ni empathie, ni intérêt.
    On ressent uniquement du dégoût, de l'ennui profond et surtout un désintérêt immense.
    Tout est fade, ridicule au possible, désagréable, malsain.
    Ce fut une grosse perte de temps et d'argent.
    Je suis bien navrée d'être aussi sévère mais pour ce film là ce n'est pas possible autrement.
    axelle J.
    axelle J.

    117 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 novembre 2018
    Voilà un grand nanar grotesque et grand guignolesque.
    J'ai été abasourdie par ce film littéralement plus que mauvais.
    L'histoire, les personnages, l'ambiance, tout est sincèrement mauvais.
    Je suis très déçue.
    dominique P.
    dominique P.

    832 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 novembre 2018
    Le pitch semblait intéressant et aussi j'aime beaucoup les films de science fiction et Juliette Binoche.
    Donc je me faisais une joie de voir ce film.
    Au final je n'ai pas aimé du tout.
    C'est réellement une histoire tordue, ridicule du début à la fin.
    Il n'y a absolument rien à sauver dans ce film glauque, malsain, pénible de bout en bout.
    Et pourtant j'avais adoré le précédent film de cette réalisatrice (Un beau soleil intérieur).
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