Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
La Septième Obsession
par Morgan Pokée
Si "High Life" restera incontestablement l’un des sommets de la filmographie de Claire Denis, c’est sans doute dû à ce point de cristallisation de ses recherches esthétiques et intellectuelles.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Aucun film récent ne donne l’impression d’aller, au point où le fait celui-ci, à l’os de notre époque.
Les Inrockuptibles
par Gérard Lefort
"High Life" est un stalker, feu follet qui nous guide dans une forêt sombre où la ligne droite n’est jamais le plus court chemin pour atteindre l’utopie. La beauté et l’émerveillement de l’utopie, l’amour, malgré tout.
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas et Jérémy Piette
Trip visuel et sonore dont on peine à s’extraire, le planant "High Life" est d’une densité qui amalgame sans cesse le sublime et le repoussant, le lyrique et l’amorti se doublant sans mal d’une réflexion philosophique sur les origines et le devenir des hommes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
CNews
par La rédaction
[...] une expérience cinématographique d’une grande beauté [...].
Cahiers du Cinéma
par Nicholas Elliott
Claire Denis pousse encore plus loin les limites de son cinéma. Jamais son art du déplacement ne se sera approché de si près de l’ouverture absolue.
L'Ecran Fantastique
par Ava Cahen
[...] un film de SF hors-normes et intimiste, niché quelque part entre Tarkovski ("Solaris") et Glazer ("Under the Skin"), sidérant et sensuel.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
La beauté du geste, radical et poétique, est la promesse d'un aller simple vers une extase proche de l'hypnose.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
[...] un mélodrame spatial captivant et hypnotique, filmé à huis clos, qui aborde des sujets comme l’isolement, la manipulation génétique, la quête de la perfection, la toute-puissance de la nature, la frustration sexuelle, la corruption de la morale.
Télérama
par Louis Guichard
POUR : Tableau stylisé d’une humanité au pied du mur, sans idéal ni espérance, High Life est un vrai film de mise en scène, un spectacle fascinant, mais aussi un objet de réflexion dérangeant : autant de raretés sur nos écrans.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Blois
Un film étrange et dérangeant, à l'esthétique claustrophobe dépouillée, où excellent Robert Pattinson et Juliette Binoche.
Bande à part
par Isabelle Danel
Claire Denis s'attaque aux genres pour mieux parler de l'humain, explorer ses failles et ses désirs.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
High Life peut parfois manquer d’incarnation. Comme si la puissance des enjeux et du propos se dissolvait dans le jeu atone et éthéré de Robert Pattinson.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Axel Scoffier
Inabouti dans son geste de film d’action et inutilement insistant sur ses enjeux philosophiques, "High Life" n’est jamais meilleur que lorsqu’il se rapproche de ses acteurs principaux et interroge ces enjeux de filiation, par la voie de la folie d’une mère ou celle du détachement timide d’un père.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
L’usage de l’ellipse et un rythme lent accompagné d'une bande son monocorde, peuvent rebuter. Mais cela serait passer à côté d’un beau sujet, traité avec originalité, au carrefour du cinéma de genre et d’auteur. Une aventure philosophique, ce vers quoi tend depuis toujours le meilleur de la science-fiction.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
On ne voit pas trop, par-delà l’ambition scénaristique et la performance artistique, où Claire Denis veut en venir. Comme ses personnages, son film tourne en rond dans l’atmosphère confinée de cette réclusion céleste qui n’ouvre que sur le vide, le néant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Après son passage inattendu du côté de la comédie, Claire Denis revient à nouveau là où on ne l’attendait pas : dans l’espace. Et ce voyage prend la forme d’un objet froid et hermétique, autant que cohérent et fascinant, que l’on observe à distance mais non sans intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Sud Ouest
par Sophie Avon
Construit à rebours, le film de Claire Denis apparaît comme une méditation sur la vie et l’humanité avec des moments de grâce et des prétextes de pure forme.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Culturopoing.com
par Thomas Roland
Finalement, "High Life" affiche une certaine convenance et se révèle bien vain dans sa description d’une humanité sur le déclin. En brassant cette thématique très dans l’air du temps, l’extinction de l’espèce humaine, Claire Denis n’arrive cependant pas à dissimuler la banalité de son propos.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Improbable best-of des tropismes d'un cinéma d'auteur ringard et incapable de penser les genres qu'il investit, "High Life" a le mérite de proposer une version doloriste et inédite du porno soft dominical.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Eric Libiot
Une fois de plus, le film de genre est pris avec des pincettes par une cinéaste qui n'ose jamais (se) faire plaisir. Agaçant.
Ouest France
par La Rédaction
Un film-concept étrange, mais rapidement ennuyeux.
Positif
par William Le Personnic
Si le thème de la paternité ambiguë dans un environnement hostile (Robert Pattinson captivant) et quelques associations d'images sont troublants, les mystères restent en suspens [...] et les questionnements métaphysiques demeurent superficiels.
Première
par Sylvestre Picard
L'ouverture du film, où Robert Pattinson s'occupe de son bébé autour d'un jardin artificiel, est d'une légère simplicité, est sans doute la plus passionnante ; malheureusement la suite est beaucoup plus conventionnelle, prévisible, et, malheureusement, ronflante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Frédéric Mercier
Si le geste est beau dans le désert français, à force de chercher les clés d’une poésie cosmique, Denis plonge parfois dans des poncifs fumeux d’un modernisme ringard.
Le Figaro
par La Rédaction
Un an après Un beau soleil intérieur, Claire Denis revient avec ce qui ressemble à une grosse farce: High Life, un premier essai de science-fiction raté. La réalisatrice, qui s'est prise pour Kubrick et Tarkovski, accouche d'un nanar où l'énormité du propos le dispute au grotesque.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Mad Movies
par Gilles Esposito
On en rirait si les monologues existentiels des personnages ne provoquaient pas un ennui aussi monumental.
Télérama
par La Rédaction
CONTRE : Juliette Binoche, qui brillait dans le précédent film de Claire Denis, Un beau soleil intérieur, se livre à un numéro grand-guignolesque de docteur Frankenstein de la PMA, sans parvenir à être autre chose que ridicule. A l’image du film tout entier.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Septième Obsession
Si "High Life" restera incontestablement l’un des sommets de la filmographie de Claire Denis, c’est sans doute dû à ce point de cristallisation de ses recherches esthétiques et intellectuelles.
Le Monde
Aucun film récent ne donne l’impression d’aller, au point où le fait celui-ci, à l’os de notre époque.
Les Inrockuptibles
"High Life" est un stalker, feu follet qui nous guide dans une forêt sombre où la ligne droite n’est jamais le plus court chemin pour atteindre l’utopie. La beauté et l’émerveillement de l’utopie, l’amour, malgré tout.
Libération
Trip visuel et sonore dont on peine à s’extraire, le planant "High Life" est d’une densité qui amalgame sans cesse le sublime et le repoussant, le lyrique et l’amorti se doublant sans mal d’une réflexion philosophique sur les origines et le devenir des hommes.
CNews
[...] une expérience cinématographique d’une grande beauté [...].
Cahiers du Cinéma
Claire Denis pousse encore plus loin les limites de son cinéma. Jamais son art du déplacement ne se sera approché de si près de l’ouverture absolue.
L'Ecran Fantastique
[...] un film de SF hors-normes et intimiste, niché quelque part entre Tarkovski ("Solaris") et Glazer ("Under the Skin"), sidérant et sensuel.
L'Obs
La beauté du geste, radical et poétique, est la promesse d'un aller simple vers une extase proche de l'hypnose.
Le Journal du Dimanche
[...] un mélodrame spatial captivant et hypnotique, filmé à huis clos, qui aborde des sujets comme l’isolement, la manipulation génétique, la quête de la perfection, la toute-puissance de la nature, la frustration sexuelle, la corruption de la morale.
Télérama
POUR : Tableau stylisé d’une humanité au pied du mur, sans idéal ni espérance, High Life est un vrai film de mise en scène, un spectacle fascinant, mais aussi un objet de réflexion dérangeant : autant de raretés sur nos écrans.
Voici
Un film étrange et dérangeant, à l'esthétique claustrophobe dépouillée, où excellent Robert Pattinson et Juliette Binoche.
Bande à part
Claire Denis s'attaque aux genres pour mieux parler de l'humain, explorer ses failles et ses désirs.
CinemaTeaser
High Life peut parfois manquer d’incarnation. Comme si la puissance des enjeux et du propos se dissolvait dans le jeu atone et éthéré de Robert Pattinson.
Critikat.com
Inabouti dans son geste de film d’action et inutilement insistant sur ses enjeux philosophiques, "High Life" n’est jamais meilleur que lorsqu’il se rapproche de ses acteurs principaux et interroge ces enjeux de filiation, par la voie de la folie d’une mère ou celle du détachement timide d’un père.
Franceinfo Culture
L’usage de l’ellipse et un rythme lent accompagné d'une bande son monocorde, peuvent rebuter. Mais cela serait passer à côté d’un beau sujet, traité avec originalité, au carrefour du cinéma de genre et d’auteur. Une aventure philosophique, ce vers quoi tend depuis toujours le meilleur de la science-fiction.
La Croix
On ne voit pas trop, par-delà l’ambition scénaristique et la performance artistique, où Claire Denis veut en venir. Comme ses personnages, son film tourne en rond dans l’atmosphère confinée de cette réclusion céleste qui n’ouvre que sur le vide, le néant.
Les Fiches du Cinéma
Après son passage inattendu du côté de la comédie, Claire Denis revient à nouveau là où on ne l’attendait pas : dans l’espace. Et ce voyage prend la forme d’un objet froid et hermétique, autant que cohérent et fascinant, que l’on observe à distance mais non sans intérêt.
Sud Ouest
Construit à rebours, le film de Claire Denis apparaît comme une méditation sur la vie et l’humanité avec des moments de grâce et des prétextes de pure forme.
Culturopoing.com
Finalement, "High Life" affiche une certaine convenance et se révèle bien vain dans sa description d’une humanité sur le déclin. En brassant cette thématique très dans l’air du temps, l’extinction de l’espèce humaine, Claire Denis n’arrive cependant pas à dissimuler la banalité de son propos.
Ecran Large
Improbable best-of des tropismes d'un cinéma d'auteur ringard et incapable de penser les genres qu'il investit, "High Life" a le mérite de proposer une version doloriste et inédite du porno soft dominical.
L'Express
Une fois de plus, le film de genre est pris avec des pincettes par une cinéaste qui n'ose jamais (se) faire plaisir. Agaçant.
Ouest France
Un film-concept étrange, mais rapidement ennuyeux.
Positif
Si le thème de la paternité ambiguë dans un environnement hostile (Robert Pattinson captivant) et quelques associations d'images sont troublants, les mystères restent en suspens [...] et les questionnements métaphysiques demeurent superficiels.
Première
L'ouverture du film, où Robert Pattinson s'occupe de son bébé autour d'un jardin artificiel, est d'une légère simplicité, est sans doute la plus passionnante ; malheureusement la suite est beaucoup plus conventionnelle, prévisible, et, malheureusement, ronflante.
Transfuge
Si le geste est beau dans le désert français, à force de chercher les clés d’une poésie cosmique, Denis plonge parfois dans des poncifs fumeux d’un modernisme ringard.
Le Figaro
Un an après Un beau soleil intérieur, Claire Denis revient avec ce qui ressemble à une grosse farce: High Life, un premier essai de science-fiction raté. La réalisatrice, qui s'est prise pour Kubrick et Tarkovski, accouche d'un nanar où l'énormité du propos le dispute au grotesque.
Mad Movies
On en rirait si les monologues existentiels des personnages ne provoquaient pas un ennui aussi monumental.
Télérama
CONTRE : Juliette Binoche, qui brillait dans le précédent film de Claire Denis, Un beau soleil intérieur, se livre à un numéro grand-guignolesque de docteur Frankenstein de la PMA, sans parvenir à être autre chose que ridicule. A l’image du film tout entier.