Derniers Avis : Brice 3 - Page 9

Le film serait mieux sans la scene animé et en rajoutant les scenes coupées. Film bien con avec un Brice comme on aime. Bien évidemment ce n'est pas un chef d'oeuvre mais c'est toujours drole a regarder entre amis ou en famille. A regarder en laissant le cerveau de coté !!

L'un des pires films que j'ai vu de ma vie... Aucun intérêt au niveau du scénario. Mais qui l'a écrit ? Aucune émotion, de l'humour bas de gamme et aucune ligne directrice... Jean Dujardin rabaisse son niveau au plus bas. Le plus dur n'est pas d'être au plus haut, c'est d'y rester.

Brice a décidé de casser le volume 2, c'est donc tout naturellement que l'on passe à "Brice 3". Ce personnage écervelé revient sur le devant de la scène après une bonne décennie de vacances ; on espère donc que cette longue pause ou cette soudaine résurrection soit bénéfique... Que nenni ! Inutile de vous dire que cette longue absence n'a pas été vouée à la recherche et l'écriture des vannes, vous vous en rendrez rapidement compte par vous-mêmes. En effet, les blagues et vannes en tout genre (tout comme le scénario, mais là ne sera pas la surprise) seront extrêmement lamentables. Un festival de jeux de mots que même Laurent Ruquier n'oserait pas sortir. Brice à beau avoir réussi ses spots promotionnels (belle blague quant au streaming), il en sera tout autre quant au contenu de cette suite. Les fans nostalgiques des "Nous Ç Nous" (s'il y en a encore) auront le plaisir de voir la troupe réunie sur un bateau, génial non ? En résumé, la bande-annonce et les teasers suffisent amplement. Jean Dujardin était peut-être le seul à ne pas en avoir pris conscience, mais Brice de Nice appartient bel et bien au passé.

Un second volet qui ne manque pas de rythme certes mais un scénario creux sans queue ni tête, un humour qui tombe complètement à plat pour quelques sourires au mieux. Une suite inutile et sans intérêt.

j'adore dujardin mais ici . on a touché le fond .. l'humour ne fonctionne pas . j'espère qu'il n'y aura pas de suite .

Ressusciter le personnage de Brice Agostini dit "Brice de Nice" après une absence de onze ans était un pari risqué. On est en effet désormais très loin pour Jean Dujardin de l'époque de la sitcom "Un gars, une fille" au sortir de laquelle avec l'aide de son ami James Huth, il avait décidé de porter à l'écran les aventures délirantes d'un surfeur d'opérette né de son imagination, n'ayant pratiqué la planche que dans ses rêves où vient le visiter régulièrement la statue du commandeur de Bodhi Salver (Patrick Swayze), le héros de "Point Break", le film culte de Kathryn Bigelow sorti en 1991. En onze ans, le p'tit Jean est devenu Monsieur Dujardin, le seul acteur français oscarisé dans la catégorie reine pour "The artist" (2011). Entre temps il s'était imposé dans l'hexagone comme l'acteur comique numéro un, prenant la suite de José Garcia grâce au personnage d' OSS 117 qu'il avait parodié à deux reprises avec bonheur dans des productions de luxe sous la houlette de Michel Hazanavicius. Depuis 'The artist" et sa pluie de récompenses, son statut ayant changé, Jean Dujardin souvent comparé à Jean-Paul Belmondo a suivi un peu la même voie que José Garcia, choisissant de faire évoluer sa carrière vers des rôles plus sérieux visant à lui façonner un statut de sex-symbol. Le résultat, il faut bien l'avouer n'a guère été convaincant, des films comme "Möbius" (Eric Rochant en 2013) et "La French" (Cédric Jimenez en 2014) brouillant l'image de l'acteur sans lui offrir de nouveaux débouchés. Le bouquet sera atteint avec le kitchissime et ripoliné "Un de plus" de Claude Lelouch qui frise sans rougir le ridicule. En outre, son Oscar ne lui a permis que quelques apparitions dans des seconds rôles très mineurs à Hollywood ("Le loup de Wall Street" de Martin Scorsese en 2013, "Monuments men" de George Clooney en 2014) qui ont laissé moins de trace que sa présence dans une publicité pour une célèbre marque de café auprès de George Clooney. Autant dire que l'atterrissage n'a pas été simple même si Jean Dujardin jouit toujours d'une forte cote d'amour dans sa patrie d'origine. Comme José Garcia, il lui fallait donc se résoudre à retourner à ce qu'il sait faire de mieux, faire rire . Mais se parer à nouveau à près de 45 ans de la perruque blonde de Brice de Nice pouvait s'avérer être une mise à l'eau un peu brusque. On craignait donc le pire, d'autant plus que l'opus original malgré son succès avait beaucoup clivé à sa sortie. Mais c'était oublier que Brice de Nice est Jean Dujardin et réciproquement. Aucun changement à l'horizon pour le plus grand bonheur des fans, Brice est toujours aussi naïvement méchant et le passage du temps n'a en rien altéré son entrain "à casser". On peut même parler d'un véritable exploit réussi par Huth et Dujardin tellement réaliser une suite paraissait déjà improbable en 2005. Les deux compères ont évité l'écueil en passant directement à Brice 3 sous-titré "...parce que le 2 je l'ai cassé". On pourra préférer la première partie du film, plus intimiste où Brice nous rappelle avec bonheur sa véritable nature et nous invite à la redécouverte de son environnement baroque au bord de la petite plage de Nice entièrement dédiée à ses petites manies autocentrées. En effet le retour de Marius de Fréjus (Clovis Cornillac) sur une plage d'Hawaï où sévit un sosie de Brice devenu gourou despotique des lieux s'avère un peu moins réussi malgré l'analogie bien trouvée avec la fameuse Skull Island de King Kong. Le tout nous est narré par un Brice cacochyme qui comme l'indien centenaire joué par Dustin Hoffman dans "Little Big Man" (Arthur Penn en 1970) ne prend pas beaucoup de gants avec la réalité historique de sa vie pour épater les vilains petits garnements qu'il a bien du mal à convaincre. Ceux qui sont tombés sous le charme de "Brice de Nice" en 2005 seront à nouveau séduits n'en déplaise aux nombreux critiques qui ont vilipendé le film. Ces mêmes critiques ont bizarrement été beaucoup moins sévères avec des films comme les "Tuche 1 et 2 " ou "Papa ou maman 1 et 2" qui en plus d'être moins originaux tentent de nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Bravo Monsieur Dujardin, comme José Garcia n'était pas De Niro ou Al Pacino, vous n'êtes pas Jean-Paul Belmondo ou Alain Delon mais tout simplement Jean Dujardin, un grand acteur comique. Ravi de vous retrouver !

Pourquoi 5 étoiles ?
Parce que ce film était exactement ce que je m'attendais à voir : un brice de nice mais en plus travaillé en plus wtf.
En direct dans la lignée des Rrrrrrrr et autres comédies française bidesques mais qui se laissent regarder avec une bonne bouteille et des amis barrés, Brice 3 a le mérite de s'assumer et ça c'est beau.
(je lui aurais mis 3, mais pour les deux dernières minutes de film ce chef d'oeuvre vaut 5). allez le voir et faites vous un opinion mais si vous êtes entre pote ça ne peut qu'aller bien !

allez y suivez la suite des aventures de Brice!
Vous allez vous éclater
les répliques tuent
la fidélité à l'original
la participation de son confrère de l'époque
les animations
le rythme
vous n'avez pas le temps de vous ennuyer
ceux qui n'ont pas apprécié ont dû passé une sale journée!

Ni divertissant ni intéressant... une suite des pseudos blagues qui n'amusent personne. Une vraie perte de temps

Une comédie sans temps mort qui enchaîne les situations loufoques et les belles grimaces de Jean Dujardin.

Une comédie sympathique et divertissante ou il ne faut pas réfléchir mais se laisser embarquer dans ce scénario délirant. A la façon de Dustin Hoffman dans "Little Big Man", le vieux roi de la glisse raconte à des enfants une de ses aventures ; lorsque le Brice de la Baie des Anges dérape, ses auditeurs attentifs le remettent dans le droit chemin. Malheureusement, ce récit n'a pas l'humour et la finesse du film d'Arthur Penn, mais il nous propose néanmoins quelques bons gags, de jolies scènes surréalistes et de ravissants décors naturels. Jean Dujardin, coscénariste, excelle dans ce rôle sur mesure de ce second volet lui aussi réalisé par James Huth.
Cela change de rire un peu dans cette époque sombre ou, sur les 7 films nominés pour l'Académie des César 2017, on compte 1 Thriller, 2 Comédies dramatiques et pas moins de 4 Drames !

Qualités du film: y'a 4 blagues drôles, c'est donc très au dessus du 1er où il y'en avait zéro. Ca faisait presque plaisir de retrouver ses copains de la télé mais grosse déception que ça soit juste 30 secondes pour une chanson pourrie.

Du très grand Dujardin! Navet si ce film est pris au premier degrés, ce que bcp ont tendance à faire.. Mais quand on aime l'humour de l'acteur ce film est génial!

Bon je n'ai pas souvent l'habitude d'écrire de critique mais quand je vois toutes les négativités décrite pour ce film, je ne peux pas m’empêcher de mettre ma petite touche.

Je viens de finir de regarder le film et franchement, je l'ai trouvé ... SYMPA.

OK, ce n'est pas un chef d’œuvre mais par rapport au premier, il y a eu quand même plus de travail scénaristique. Les décors, l'ambiance et l'histoire sont sympa et relativement bien ficelé même si c'est dommage pour les touches de WTF encore un peu trop présente.

Quoi qu'il en soit j'ai passé un bon moment :)

Fuyez, pauvres fous ! James Huth, c'est ce fils à papa qui depuis toujours ou presque (Serial Lover est ce « presque ») a décidé de ne réaliser que des daubes sans nom. De son côté, Jean Dujardin est bourré de talent mais entretient des amitiés qu'on ne saurait recommander. Un soir, probablement tard, probablement ronds comme des queues de pelles, les deux compères se sont dits : « Hé mec ! Si on faisait la suite de Brice ! ». Et bien sûr, la Gaumont a trouvé le moyen de financer ce qui ressemble fort à une bonne grosse arnaque. Le machin en question est d'une nullité abyssale. C'est simple, il n'y a rien à sauver. C'est moche, lourd, bête (dans le sens idiot et inutile), pas drôle du tout du tout, super ennuyeux, limite raciste et misogyne. Le jeu des acteurs ? Les seuls à sauver sont les quelques gamins qui jouent dans le film. L'histoire n'a absolument aucun sens et le personnage de Brice, déjà insupportable dans le premier film est ici à claquer. Seuls les gamins de moins de 7 ans y trouveront peut-être leur compte, vous voilà prévenus. Alors fuyez pauvres fous !