Avis : Brice 3 - Page 10

J'ai été une grande fan du premier mais là, j'ai pris sur moi pour rester jusqu'à la fin , scénario 0 , effets spéciaux 0 , personnages 0 , ... J'encorage personne à payer pour ça

L'intrigue est juste chiante à mourir, triste de voir que Jean Durjardin à très mal exploité son personnage phare après le parcours qu'il a eu.

Super film, un plaisir de retrouver notre comédie préférée avec un format étonnant ! Un bon moment à partager avec les amis
👍🏼👍🏼

Même si il est plaisant de retrouver Brice De Nice, notre joie sera cependant de courtes durée en constatant que ce nouvel opus manque d’inspiration au niveau de son histoire. Brice 3, c’est un peu on prend les mêmes et on recommence sauf que l’age passant, le héros devient plus pitoyable que vraiment drôle. Sa dernière réplique dans le film souligne d’ailleurs assez bien les motivations de James Huth et Jean Dujardin. Pas sur que cette blague soit au gout de tout le monde et que cette suite remporte le même succès.

Un film qui répond limite à une franchise avec ses normes, ses running-gags et dans ce cadre est une réussite.
PLV : à réserver néanmoins à ceux qui ont clairement pris plaisir au premier.

Comment peux t on faire un film aussi désastreux !! Il y a beaucoup de mondes qui participe à l'élaboration d'un film, tous ont cautionné ceci ? C'est vrai il reste des scènes sketchs qui peuvent faire sourire mais pour en faire un film .....
Comme dans le premier opus, le scénario est rocambolesque ou inexistant, à choisir.
Brice a cassé le 2 mais il aurait du cassé toutes les suites. Jean Dujardin n'a plus besoin de ça pour exister. Son talent mérite de meilleurs histoires ....

Une suite sans imagination qui ne fait rire qu'une à deux fois dans le film. Le premier opus n'était déjà pas un chef d'oeuvre mais il avait le mérite de l'originalité (ou au moins de la fraîcheur). Ce Brice 3 manque cruellement de tout et même au 112ème degré, il lasse très rapidement.

Ressusciter le personnage de Brice Agostini dit "Brice de Nice" après une absence de onze ans était un pari risqué. On est en effet désormais très loin pour Jean Dujardin de l'époque de la sitcom "Un gars, une fille" au sortir de laquelle avec l'aide de son ami James Huth, il avait décidé de porter à l'écran les aventures délirantes d'un surfeur d'opérette né de son imagination, n'ayant pratiqué la planche que dans ses rêves où vient le visiter régulièrement la statue du commandeur de Bodhi Salver (Patrick Swayze), le héros de "Point Break", le film culte de Kathryn Bigelow sorti en 1991. En onze ans, le p'tit Jean est devenu Monsieur Dujardin, le seul acteur français oscarisé dans la catégorie reine pour "The artist" (2011). Entre temps il s'était imposé dans l'hexagone comme l'acteur comique numéro un, prenant la suite de José Garcia grâce au personnage d' OSS 117 qu'il avait parodié à deux reprises avec bonheur dans des productions de luxe sous la houlette de Michel Hazanavicius. Depuis 'The artist" et sa pluie de récompenses, son statut ayant changé, Jean Dujardin souvent comparé à Jean-Paul Belmondo a suivi un peu la même voie que José Garcia, choisissant de faire évoluer sa carrière vers des rôles plus sérieux visant à lui façonner un statut de sex-symbol. Le résultat, il faut bien l'avouer n'a guère été convaincant, des films comme "Möbius" (Eric Rochant en 2013) et "La French" (Cédric Jimenez en 2014) brouillant l'image de l'acteur sans lui offrir de nouveaux débouchés. Le bouquet sera atteint avec le kitchissime et ripoliné "Un de plus" de Claude Lelouch qui frise sans rougir le ridicule. En outre, son Oscar ne lui a permis que quelques apparitions dans des seconds rôles très mineurs à Hollywood ("Le loup de Wall Street" de Martin Scorsese en 2013, "Monuments men" de George Clooney en 2014) qui ont laissé moins de trace que sa présence dans une publicité pour une célèbre marque de café auprès de George Clooney. Autant dire que l'atterrissage n'a pas été simple même si Jean Dujardin jouit toujours d'une forte cote d'amour dans sa patrie d'origine. Comme José Garcia, il lui fallait donc se résoudre à retourner à ce qu'il sait faire de mieux, faire rire . Mais se parer à nouveau à près de 45 ans de la perruque blonde de Brice de Nice pouvait s'avérer être une mise à l'eau un peu brusque. On craignait donc le pire, d'autant plus que l'opus original malgré son succès avait beaucoup clivé à sa sortie. Mais c'était oublier que Brice de Nice est Jean Dujardin et réciproquement. Aucun changement à l'horizon pour le plus grand bonheur des fans, Brice est toujours aussi naïvement méchant et le passage du temps n'a en rien altéré son entrain "à casser". On peut même parler d'un véritable exploit réussi par Huth et Dujardin tellement réaliser une suite paraissait déjà improbable en 2005. Les deux compères ont évité l'écueil en passant directement à Brice 3 sous-titré "...parce que le 2 je l'ai cassé". On pourra préférer la première partie du film, plus intimiste où Brice nous rappelle avec bonheur sa véritable nature et nous invite à la redécouverte de son environnement baroque au bord de la petite plage de Nice entièrement dédiée à ses petites manies autocentrées. En effet le retour de Marius de Fréjus (Clovis Cornillac) sur une plage d'Hawaï où sévit un sosie de Brice devenu gourou despotique des lieux s'avère un peu moins réussi malgré l'analogie bien trouvée avec la fameuse Skull Island de King Kong. Le tout nous est narré par un Brice cacochyme qui comme l'indien centenaire joué par Dustin Hoffman dans "Little Big Man" (Arthur Penn en 1970) ne prend pas beaucoup de gants avec la réalité historique de sa vie pour épater les vilains petits garnements qu'il a bien du mal à convaincre. Ceux qui sont tombés sous le charme de "Brice de Nice" en 2005 seront à nouveau séduits n'en déplaise aux nombreux critiques qui ont vilipendé le film. Ces mêmes critiques ont bizarrement été beaucoup moins sévères avec des films comme les "Tuche 1 et 2 " ou "Papa ou maman 1 et 2" qui en plus d'être moins originaux tentent de nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Bravo Monsieur Dujardin, comme José Garcia n'était pas De Niro ou Al Pacino, vous n'êtes pas Jean-Paul Belmondo ou Alain Delon mais tout simplement Jean Dujardin, un grand acteur comique. Ravi de vous retrouver !

On s'attends à une daube, comme l'était le premier, mais avec cet humour bien spécial qui faisait qu'on l'appréciait. Cette fois on est déçu et pourquoi ? Parce que tout simplement le film ne se renouvelle pas du tout, mais reprends simplement tout et je dis bien tout les gags du premier, autrement dit on fini vite par ce lasser en attendant qu'une blague pourrie mais nouvelle sorte du lot. Malheureusement j'attends toujours ...

L'idée de ce 2è opus est un flashback. Dès le début, on retrouve Brice, en vieillard, qui raconte ses aventures à quelques enfants. Il va retrouver son meilleur ami Marius de Fréjus à l'autre bout du monde. Avant cela, Brice va aller à Bordeaux, puis à Hossegor, ou il va retrouver son ennemi Igor, qui a eu quelques ennuis depuis leurs dernières rencontres. Il va faire connaissance de Grégor et de sa bande.
Autant dire tout de suite que c'est du grand n'importe quoi. Brice est toujours aussi immature, feignant, et sympathique. On retrouve les mimiques, les gadgets, le "yellow" du personnage, ses phrases cultes, son Kass Contre Kass, ses vannes et ses acolytes. Il s'est donné du mal à faire une suite, il y a du boulot ! On a le surf, le soleil, les voyages, quelques scènes de mangas... et les gros pouces de Marius,

Bon tout n'est pas réussi. Dujardin s'est fait plaisir. Mais ca traine un peu . Et puis on a l'impression d'une série de sketches. On se surprend à rire aux blagues déja entendues dans le premier. Pour le reste, les nouveautés, c'est moins drôle. De toute facon, Le film est beaucoup moins drôle et réussi que le premier

Dujardin ne se prend toujours pas au sérieux. Bruno Salomone est toujours aussi bon dans son role d'Igor. Alban Lenoir prend les "commandes" de la bande de surfeurs d'Hossegor. Et Clovis Cornillac est toujours aussi dingo.

Laissez votre cerveau à l'entrée de la salle et profitez du grand n'importe quoi. Si vous êtes fan ca va passer tout seul. Pour les autres, ca va être un peu plus compliqué.

Débile mais assez drôle. Une comédie bien faite dans la lignée du 1er épisode en mieux réalisé.
Dujardin y va à fond et ça fait plaisir de le revoir jouer cet abruti de Brice.
Le scénario s'essouffle à l'arrivée en Thaïlande, mais on passe un bon moment
et les enfants adorent.

Ce film c'est un gros délire, quelques moments drôles mais j'aurai aimé une vrai histoire car là ça n'a ni queue ni tête, les scénaristes ont du prendre des substances illicites avant de pondre le script ! j'avais mi la moyenne au premier mais celui n'aura que 2/5 !

BRICE 3 est un déchaînement hilarant durant vingt minutes avant de s'effondrer totalement, en bafouant le plaisir du spectateur dans des délires peu convaincants. Brice de Nice n'est plus ce qu'il était...

Critique complète ici.

Alors que Brice de Nice premier du nom ne me laissais pas un excellent souvenir, le cinéaste James Huth et l'acteur oscarisé Jean Dujardin décident cette année de réanimer ce phénomène quelque peu daté, en lui consacrant une suite sobrement intitulée Brice 3 (puisque le second volet fut préalablement « cassé »). Etant donné la triste capacité qu'a le cinéma français à clôturer ses trilogies comiques en catastrophe, il y avait de quoi avoir peur. Mais contre toute attente, c'est une franche réussite et j'ai ri. Beaucoup. Devenu plus ringard qu'il ne l'a jamais été, le casseur-surfeur niçois commence sérieusement à vieillir, son cerveau fait le diamètre d'une balle de golf et son quotient intellectuel équivaut à celui d'une huitre. Rien de bien palpitant a priori, cependant, la fausse trilogie prend une tournure totalement inattendue et choisit de pousser l'absurde à son maximum, en mettant de côté toute forme réalisme, voire de cohérence. En effet, malgré un petit ventre mou au milieu du film, il faut reconnaître une certaine audace de la connerie, un sens quasi virtuose de la démesure et du grand n'importe quoi qui rappelle la dinguerie géniale de La Loi de la jungle, mais en beaucoup plus teubé et surréaliste. Le tout est dynamité par une mise en scène pleine de kitsch et de fulgurances en tout genre (surgissement d'un dessin animé, poissons qui chantent, publicités sortant de nulle part, cassages de quatrième mur à tout va...). Concernant ensuite le système narratif qui jalonne tout le film, je vous promets un immense fou-rire lorsque vous découvrirez de quoi il s'agit (excellente scène d'ouverture au passage). Mais Brice 3, c'est également une des plus belles scènes de fin qu'on ait pu vu voir cette année avec, dans un tout autre registre, celle de l'excellent polar flamand Les Ardennes. En bref, voilà une comédie aussi crétine que formidable. Une bizarrerie régressive venant d'un univers parallèle lointain, qui se savoure comme un nanar joyeusement assumé. Hilarant.

N'en parlons même pas de ce film,tout commence déjà très mal ça veut dire que c'est nul,Jean Dujardin incarnant encore Brice,reste toujours dans son humour médiocre et avec ses blagues pourrie,la comédie ne fait que commencer mais on s'ennuie.La scène ou il rencontre le surfeur musclé,c'est marrant.Les acteurs sont encore plus mauvais que dans la première de 2004 ou 2005.Brice toujours avec sa coiffure minable moche.Dans Brice rien n'auras changé.