Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Peter Mullan est, comme toujours, épatant dans "Hector" de Jake Gavin. Le comédien émeut en SDF en quête d’un peu de chaleur humaine dans un monde de plus en plus dur.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Obs
par La Rédaction
C’est le premier film de Jake Gavin, photographe écossais : prometteur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Un road-movie donc, traversé de figures, non pas de style, mais d’êtres humains cabossés, filmés fraternellement, sans misérabilisme ni excès émotionnels. Avec une incontestable finesse. Que du vrai.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un road - movie sur les routes de la détresse sociale, dans un film qui, loin de tout misérabilisme, offre un regard tendre et chaleureux.
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
C’est une histoire simple qui file doucement avec un coeur gros comme ça (...) À l’époque, Hector n’était pas un SDF. Que lui est-il arrivé ? Ce film de Jake Gavin ménage ce suspense avec intelligence et pudeur, à l’image de son personnage principal.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un peu convenu ou attendu, et alors ? Ça fonctionne toujours, parce que le coeur y est.
aVoir-aLire.com
par Niels Euler
Un road-movie pédestre d’une remarquable justesse, qui évite le pathos et dresse un portrait touchant d’un homme qui souffre trop, mais toujours debout.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
Cette volonté de ne pas s’appesantir sur le délabrement pour mettre en avant la notion d’empathie est à la fois la singularité et la limite de ce film, qui assume ses bons sentiments et son petit côté conte de Noël.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Noémie Luciani
Sur le papier, on imagine mal comment "Hector" peut éviter les naïvetés, les hasards improbables, le "trop beau pour être vrai". Mais c'est précisément le genre de miracle qu'un grand acteur peut faire, lorsqu'il croise un réalisateur assez modeste et confiant pour lui laisser les rênes.
Positif
par Grégory Valens
L'acteur est éblouissant : tout en retenue, en demi-teinte, en chuchotements. Il se débat comme il peut avec un scénario mal fagoté et ses révélations à deux balles.
Positif
par Grégory Valens
L'acteur est éblouissant : tout en retenue, en demi-teinte, en chuchotements. Il se débat comme il peut avec un scénario mal fagoté et ses révélations à deux balles.
Première
par Christophe Narbonne
L’acteur écossais est la raison d’être du premier film de Jake Gavin, qui n’est par ailleurs pas exempt de maladresses : au passage, il laisse sur le bord de la route deux personnages secondaires auxquels on commençait à s’attacher ou insiste lourdement sur la petitesse d’un troisième.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
La vie des sans domicile fixe est évoquée avec simplicité et justesse dans cette fiction portée par la composition de Peter Mullan. Ce grand acteur du cinéma social anglais se fait l'interprète d'une détresse humaine qui, comme celle du taiseux Hector, a besoin de porte-voix.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Olivier Bousquet
Un SDF part à la recherche de sa famille. Une volonté de sobriété manifeste qui tient à distance.
Critikat.com
par Nicolas Journet
Peter Mullan est impérial, comme souvent, dans un film social ultra-classique. Du Ken Loach dans les intentions, mais sans sa rage politique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Studio Ciné Live
par Sandra Benedetti
Le film, pudique, délicat, avance sans aller nulle part, sur les traces d'un vagabond opaque à force de non-dits.
20 Minutes
Peter Mullan est, comme toujours, épatant dans "Hector" de Jake Gavin. Le comédien émeut en SDF en quête d’un peu de chaleur humaine dans un monde de plus en plus dur.
L'Obs
C’est le premier film de Jake Gavin, photographe écossais : prometteur.
La Voix du Nord
Un road-movie donc, traversé de figures, non pas de style, mais d’êtres humains cabossés, filmés fraternellement, sans misérabilisme ni excès émotionnels. Avec une incontestable finesse. Que du vrai.
Le Dauphiné Libéré
Un road - movie sur les routes de la détresse sociale, dans un film qui, loin de tout misérabilisme, offre un regard tendre et chaleureux.
Le Journal du Dimanche
C’est une histoire simple qui file doucement avec un coeur gros comme ça (...) À l’époque, Hector n’était pas un SDF. Que lui est-il arrivé ? Ce film de Jake Gavin ménage ce suspense avec intelligence et pudeur, à l’image de son personnage principal.
Ouest France
Un peu convenu ou attendu, et alors ? Ça fonctionne toujours, parce que le coeur y est.
aVoir-aLire.com
Un road-movie pédestre d’une remarquable justesse, qui évite le pathos et dresse un portrait touchant d’un homme qui souffre trop, mais toujours debout.
La Croix
Cette volonté de ne pas s’appesantir sur le délabrement pour mettre en avant la notion d’empathie est à la fois la singularité et la limite de ce film, qui assume ses bons sentiments et son petit côté conte de Noël.
Le Monde
Sur le papier, on imagine mal comment "Hector" peut éviter les naïvetés, les hasards improbables, le "trop beau pour être vrai". Mais c'est précisément le genre de miracle qu'un grand acteur peut faire, lorsqu'il croise un réalisateur assez modeste et confiant pour lui laisser les rênes.
Positif
L'acteur est éblouissant : tout en retenue, en demi-teinte, en chuchotements. Il se débat comme il peut avec un scénario mal fagoté et ses révélations à deux balles.
Positif
L'acteur est éblouissant : tout en retenue, en demi-teinte, en chuchotements. Il se débat comme il peut avec un scénario mal fagoté et ses révélations à deux balles.
Première
L’acteur écossais est la raison d’être du premier film de Jake Gavin, qui n’est par ailleurs pas exempt de maladresses : au passage, il laisse sur le bord de la route deux personnages secondaires auxquels on commençait à s’attacher ou insiste lourdement sur la petitesse d’un troisième.
Télérama
La vie des sans domicile fixe est évoquée avec simplicité et justesse dans cette fiction portée par la composition de Peter Mullan. Ce grand acteur du cinéma social anglais se fait l'interprète d'une détresse humaine qui, comme celle du taiseux Hector, a besoin de porte-voix.
VSD
Un SDF part à la recherche de sa famille. Une volonté de sobriété manifeste qui tient à distance.
Critikat.com
Peter Mullan est impérial, comme souvent, dans un film social ultra-classique. Du Ken Loach dans les intentions, mais sans sa rage politique.
Studio Ciné Live
Le film, pudique, délicat, avance sans aller nulle part, sur les traces d'un vagabond opaque à force de non-dits.