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    Keeper
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    BeatJunky
    BeatJunky

    150 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 mai 2016
    Un film extrêmement réaliste sur ces jeunes filles insouciantes (ça n'engage que moi) qui succombent au désir de devenir Maman sans penser sur tout ce que cela implique... Le film met parfaitement bien en évidence les réactions de ces jeunes parents qui ont la fâcheuse tendance d'agir par esprit de contradiction, comme pour se rebeller contre l'autorité parentale... ou d'agir sur un coup de tête sur l'envie du moment sans savoir où ils vont et s'ils pourront assumer... A cette âge on idéalise beaucoup (trop... ?) et Guillaume Senez, le jeune metteur en scène qui signe ici son premier long, nous le fait observer en toute objectivité sans jamais chercher à juger. Les acteurs sont vraiment excellents et contribuent évidemment à rendre ce film aussi réaliste et convaincant . Un très bon film qu'il faudrait montrer aux collégiens/nes pour les amener à réfléchir sur les conséquences/diificultés d'avoir un enfant avant d'avoir une vie posée....
    norman06
    norman06

    346 abonnés 1 664 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 mars 2016
    Un premier long métrage sensible et touchant, malgré des maladresses. Sur un sujet convenu, une certaine grâce et une interprétation juste. On retiendra le jeu sensible de Catherine Salée dans le rôle de la mère, parfaite comme à son habitude.
    Extremagic
    Extremagic

    67 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mars 2016
    Film qui fonctionne mais se montre toutefois très balisé dans sa mise en scène et sa narration enfin pour le scénario je comprends en même temps je ne vois pas vraiment comment on aurait pu traiter autrement cette histoire. On croit aux personnages même si j'ai du mal avec les méchants de service genre la mère de la fille, mais en même temps les ados font aussi des actions débiles alors on comprend sa position. Après j'ai toujours un peu de mal avec ces personnages adolescents, je comprends leur réaction (surtout que là il n'ont pas l'air très fut-fut) et sûrement j'aurais réagit de la même manière à leur âge - encore que j'en doute - simplement qu'à un moment t'as vraiment envie qu'ils prennent leurs responsabilités, qu'ils assument et c'est tout. Du coup c'est assez bien traité même si je n'apprécie pas vraiment les personnages mais je les comprends, mais c'est peut-être (non c'est sûr) simplement les ados que je n'aime pas. J'ai même préféré toute l'intrigue sur le foot, j'ai trouvé qu'elle montrait bien une autre facette du personnage et j'ai même apprécié tous ses coach qui sont plus intelligents que la plupart des entraineurs et des autres protagonistes du film. C'est un petit film qui paie pas de mine mais qui est quand même bien fait ça ne me marquera pas éternellement mais ça vaut le détour si on a rien de mieux à voir.
    Cine vu
    Cine vu

    141 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mars 2016
    Et si on jouait au « Papa et à la Maman » ?

    Ici on pense aux Frères Dardenne, pour la douceur et la finesse des personnages mais aussi pour cette authenticité chez les vrais gens.

    Mélanie et Maxime sont des enfants avec des rêves d’avenir bordés d’illusion, Mélanie est si aimante, si craintive et tout même si têtue comme on peut l’être à 15 ans.

    Ce petit bonhomme, Maxime, ne fait que vouloir être un homme mais il vacille, se cherche pour mieux se perdre. La mère du fils est volontaire pour les soutenir mais ce ne sera pas suffisant, les bases son trop fragiles.

    Un film tendre sur l’adolescence, ses questionnements, ses incertitudes et ses rêves américains.

    Kacey Mottet Klein et Galatéa Bellugi sont incroyables de justesse et d’émotions.

    Guillaume Senez présente son premier long métrage chargé d’amour, de tristesse et de lucidité. On aimerait que le film ne passe pas inaperçu.
    Yves G.
    Yves G.

    1 460 abonnés 3 488 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 mars 2016
    Maxime et Mélanie ont quinze ans. Ils s'aiment. Mélanie tombe enceinte. Gardera ? Gardera pas ? Le titre, pas très heureux, nous met sur la piste. Et on se doute que si Mélanie avortait, il n'y aurait pas beaucoup de film. Donc, même si la décision n'intervient qu'au mitan du film, elle le garde. Vous pensez que je viens de vous spoiler le suspense ? Vous vous trompez. Car la fin du film, étonnante et inéluctable, vous scotchera.

    Mais n'allons pas si vite en besogne. Ou plutôt ne passons pas à côté de ce qui fait l'intérêt de ce premier film si juste qui soutient la comparaison avec les chefs d’œuvre des Dardenne et de Kechiche, excusez du peu. De quoi s'agit-il ? Pas seulement de dénouer le dilemme gardera/gardera pas. Mais surtout de décrire les paradoxes de l'adolescence.

    Guillaume Senez est sans cesse sur la corde raide. Et on tremble tout le long du film qu'il n'en tombe, en versant dans le moralisme et/ou dans le sentimentalisme. Il parvient étonnamment à éviter ces deux périls. Son ton est toujours juste. Il réussit miraculeusement à décrire un âge contradictoire. Maxime et Mélanie sont deux gamins amoureux, qui se roulent des pelles et s'écrivent des textos (admirablement bien orthographiés, seule entorse au réalisme du film) et qui s'enflamment à l'idée d'avoir un enfant. Ils n'ont évidemment pas la moindre conscience des conséquences de leur choix. Et on frémit pour eux des périls qui les guettent : la fatigue de la petite enfance, la lassitude dans le couple, le décalage avec les amis du même âge...

    Cette conscience-là, ce sont leurs parents qui tentent de la leur faire acquérir. Du côté de Mélanie, une mère dont on comprend qu'elle a eu, elle aussi, un enfant très jeune. Et qui refuse à sa fille la liberté de faire, comme elle, le mauvais choix. Du côté de Maxime, deux parents, plus âgés, plus aisés, mais divorcés : un père, entraîneur de foot, qui rêve pour son fils la carrière de joueur qu'il n'a pas eue, et une mère qui porte seule l'éducation de son fils.

    Vous me direz que le sujet a déjà été traité dans Juno. Et vous aurez raison. J'ai un excellent souvenir de Juno... le problème est que je n'en ai aucun souvenir ! Du coup, sauvé par mon Alzheimer, j'ai savouré Keeper comme l'un des tout meilleurs films de ce début d'année 2016.
    mem94mem
    mem94mem

    116 abonnés 575 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 mars 2016
    Le film (love story adolescente) est épatant. Il bénéficie d'une écriture scénaristique soignée, d'un duo de jeunes acteurs percutant dans la justesse des situations, des dialogues et des émotions. On croit complètement à cet amour, alors qu'il n'y a aucune scène filmé au lit. Guillaume Senez a du talent à revendre. Il est définitivement à suivre. Les seconds rôles sont formidables aussi.
    Sylvain P
    Sylvain P

    336 abonnés 1 356 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mars 2016
    Kacey Mottet Klein poursuit son petit bonhomme de chemin avec des films exigeants et remarquables et son indéniable talent. Le thème de Keeper est difficile : un jeune couple d'ado de 15 ans décide de garder un bébé suite à une grossesse non désirée, contre l'avis de tous les adultes les entourant. Les adultes ont bien évidemment raison, mais le regard de ce père raté en devenir est porté avec grâce et intelligence. Il ne s'agit d'un plaidoyer anti-avortement, mais d'un parcours humain émouvant et sensible qui retourne le spectateur.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 24 mars 2016
    Le film traite de l'adolescence, époque où on se cherche. Cependant, les deux protagonistes - très bien interprétés - doivent passer d'une façon brutale à l'âge adulte. Si au début, ils prennent la nouvelle avec difficultés, par la suite ils acceptent avec enthousiasme. Mais, de la naïveté de la jeunesse, progressivement la réalité se rappel à eux. Un petit point d'originalité, on suit surtout le garçon qui accepte progressivement le rôle de père (sans vraiment savoir les tenants et les aboutissants). Niveau des parents ont à les deux visions: les parents qui vont appuyer leur fils et la mère qui refuse la situation de sa fille. Cette dernière ayant vécu cela avec la naissance de Mélanie. C'est juste un peu dommage que cette mère passe tout le temps pour celle qui monte le volume. Une colère qui cache une peur pour sa fille. Après tout, à 15 ans, tout est à faire. Pour nous montrer cela, une réalisation assez classique, voir scolaire. Mais à y réfléchir le film ne se prêter pas à autres choses. On trouve les sms et écris sur les réseaux sociaux à l'écran. Ceci est maintenant fait régulièrement. Quelques plans sont un peu long surtout sur des blancs. On est vraiment en empathie pour le personnage de Maxime qui souhaite être père et doit faire des choix: foot ou pas foot. Il y a une évolution passant de l'inconscience de leurs décisions jusqu'à la prise en compte de l'obstacle. Etant donné qu'on ne suit que Maxime, à un certain moment on s’inquiète pour Mélanie dont on a plus de nouvelle depuis un moment (j'en dis pas plus pour éviter le spoil).

    Le scénario et les dialogues sont vrais, semble authentique sans jugement ou une volonté partisane. Par cela, le film est intelligent, bien dosé. Good job monsieur pour votre premier long métrage.
    Pauline_R
    Pauline_R

    176 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mars 2016
    Une très jolie surprise pour un premier film attachant et intimiste, portrait réussi de deux adolescents confrontés à une première grossesse. Finement écrit, Keeper m'a fait passer par toutes les émotions : tendresse, énervement, frustration, empathie et tristesse...au regard du comportement et des choix de ces gamins "attachiants" qui oscillent entre rêves et réalité, entre espoir et peur. Le choix des acteurs est pour beaucoup dans la qualité et la justesse du film, Kacey Mottet Klein et Galatéa Bellugi incarnant à merveille ce couple d'adolescents à la fois immatures et sensibles.
    pierre72
    pierre72

    137 abonnés 367 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 mars 2016
    Je n'ai pas un attrait particulier pour les nombreux films autour de l'adolescence qui fleurissent régulièrement sur les écrans, comme des boutons sur une peau acnéique. L'adolescent ne va pas bien, il est en crise, cherche les limites, s'essaye à diverses activités qui font froncer les sourcils de parents forcément dépassés et quand il arrive à prononcer un dialogue de plus de quatre mots, c'est qu'on est dans un film d'André Téchiné, fin observateur de ce passage de la vie mais dont l'âge vénérable peut nous faire douter d'un regard neuf (quoique ...).
    "Keeper" possède tout cela : un couple d'ados ayant un langage minimum, vivant dans une banlieue pavillonnaire assez sinistre et dont la fille va se retrouver enceinte à quinze ans. Le film va les suivre dans leur questionnement, leur errance et leur passage forcé à un âge plus adulte.
    Enorme bon point au scénario qui ne choisit pas la facilité, jouant des hésitations des deux jeunes protagonistes pour surprendre en empruntant des chemins pas toujours attendus, faisant ainsi ressentir leur malaise à trouver la bonne issue. Les deux jeunes acteurs y sont pour beaucoup, étonnants de naturel dans une mise en scène proche du documentaire. On retiendra aussi la totale absence de manichéisme du film face à deux sujets sensibles qui hantent cette histoire : l'avortement et l'adoption. Guillaume Senez a l'intelligence de poser le décor, l'histoire, sans détours, avec une justesse de ton impeccable, laissant le spectateur faire son jugement. Pour tout cela , "Keeper" est sans doute un long- métrage au dessus de la mêlée habituelle du genre.
    Cependant, même si le récit avance à bonne allure, le film pâtit de quelques petites scories qui m'ont empêché d'adhérer totalement. La première, sans doute indépendante du réalisateur, fut pour moi l'inévitable comparaison avec le cinéma des frères Dardenne. Du coup, face à la tension des films de ces derniers, on a parfois l'impression que "Keeper " est du Dardenne sous Prozac.
    La fin sur le blog
    poet75
    poet75

    270 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mars 2016
    Mélanie (Galatéa Bellugi) et Maxime (Kacey Mottet Klein) sont deux adolescents de 15 ans qui s'aiment d'amour tendre ou, plus exactement, qui apprennent à s'aimer : une des premières scènes du film l'indique habilement, aimer c'est aussi respecter l'autre, ne pas l'obliger à faire ce pour quoi il (ou elle en l'occurrence) n'éprouve que dégoût. A 15 ans, on a tout le temps qu'il faut pour découvrir ce que c'est que de s'aimer vraiment. En tout cas, on devrait avoir tout le temps nécessaire, mais pour les deux tourtereaux de ce film, les choses se compliquent de façon inattendue le jour où Mélanie découvre qu'elle est enceinte !
    Deux adolescents de 15 ans confrontés à la naissance d'un enfant : on imagine aisément que cela ne va pas de soi. Ce n'est pas un âge pour être parents et pourtant il faut bien se prononcer et prendre des décisions. Les discussions sont d'autant plus vives que, on s'en doute, à cet âge-là, on est bien obligé un jour ou l'autre de tout révéler aux parents et d'entendre leur avis. Ceux de Maxime (bien que séparés) se rejoignent dans une position d'ouverture et d'accueil. C'est surtout le cas de la mère du garçon, le père étant habité aussi par d'autres préoccupations. Quant à la mère de Mélanie, elle se souvient trop d'avoir elle-même souffert d'avoir eu sa fille alors qu'elle était très jeune pour accepter que cette dernière subisse le même sort. Discussions, petits arrangements, peurs, hésitations, décisions : le film avance en prenant en compte tous les enjeux, toutes les difficultés, faisant naître et grandir chez le spectateur une empathie pour les deux personnages d'adolescents, joués par deux acteurs qui, en dépit de leur âge, font preuve d'un grand talent. Quand Mélanie, soutenue par Maxime, décide de tenir tête à sa mère qui voudrait la faire avorter et lui affirme qu'elle veut garder l'enfant, on en reste pantois d'admiration tant le jeu de l'actrice est fort et convaincant.
    Pour Maxime, les décisions à prendre s'avèrent d'autant plus complexes que le cœur du garçon est divisé : s'il est habité d'un côté par son amour pour Mélanie, il l'est aussi d'un autre côté par sa passion pour le football. Belle idée que d'en avoir fait un gardien de but qui, guidé par son père, rêve de grimper les échelons de l'excellence. Le « keeper », le gardien, se trouve empêtré dans ses dilemmes. Que lui faut-il garder ? Garder un but, garder Mélanie, garder l'enfant... Peut-on tout garder sans rien perdre ? Ou faut-il faire des choix et, de ce fait, accepter des renoncements ? Et quels choix opérer quand on a affaire à une fille imprévisible comme Mélanie ?
    En optant pour un sujet aussi délicat, aussi périlleux pour son premier film, le belge Guillaume Senez a pris tous les risques. Mais il a su parfaitement maîtriser sa mise en scène, choisir ses acteurs et les diriger et réussir un film qui échappe totalement à tous les écueils, et en particulier à celui du moralisme. Ce n'est certes pas de leçons de morale dont ont besoin les deux adolescents qui sont au cœur de ce long-métrage, mais d'écoute, d'accompagnement, de soutien et, peut-être, de miséricorde. Jamais le réalisateur n'invite à juger ses personnages, il veut simplement nous les faire aimer tels qu'ils sont, forts et fragiles en même temps. 8/10
    Loïck G.
    Loïck G.

    336 abonnés 1 670 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 mars 2016
    Des multiples facettes de ce film on retiendra peut-être avant tout le passage inhabituel de l’adolescence à l’âge adulte, via une paternité précoce. Le premier film de Guillaume Senez va donc sur des chemins assez fréquentés, mais la manière de les fouler est plutôt attachante. Sans a priori ni concession à une quelconque tendance branchée, le cinéaste donne à voir une vérité crue et parfois même violente, tout à fait réaliste. Il est accompagné par d’excellents comédiens dont le jeune Kacey Mottet Klein qui après « Ma mère » confirme l’intensité de ses interprétations
    Pour en savoir plus
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 23 mars 2016
    A quinze ans, on est fou et on s’en fout. Maxime et Mélanie ont juste l’âge de leurs envies. Envie de s’aimer, c’est bien naturel. De faire un enfant par mégarde, c’est plus problématique. De vouloir le garder, c’est à perdre la raison. Age tendre et tête de bois, Max et Mel n’ont pas beaucoup d’atouts pour endosser si tôt des responsabilités d’adultes. Max est apprenti gardien de but dans club de foot et se voit déjà shootant dans les étoiles. Et Mel est bien placée pour savoir ce que sa mère a enduré en ayant vécu la même situation qu’elle quinze ans plus tôt…
    Les deux ados restent sourds aux mises en garde parentales. C’est donc à marche forcée que Max et Mel feront l’apprentissage de la maturité. Et c’est ce passage à l’âge adulte que suit la caméra. Sans jugement, ni morale, juste par la grâce du numérique qui permet de lire le trouble au plus près des visages. Cela donne de l’émotion et quelques traits d’humour. Comme lorsque Max tente de parler à son fils qu’il tient gauchement dans ses bras : « Ca va aller ? », lui demande-t-il. On sourit en pensant que c’est plutôt le bébé qui devrait s’inquiéter ainsi de son papa…
    A l’image de ses héros, le premier film de Guillaume Senez, jeune cinéaste franco-belge, est bien de son époque : fier et fragile. Ce n’est évidemment pas l’épaisseur du scénario qui impressionne ici, mais la sincérité du propos autant que le naturel des dialogues. Malgré une mise en place un peu lente, le film est parfaitement servi par ses jeunes interprètes, plus vrais que nature. Prisonnier de ses espérances autant que de ses doutes, ce Keeper est le gardien de ses rêves envolés.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    692 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mai 2016
    Cuisant de réalisme, Keeper présente sans sermon ni jugement, les déboires d'un jeune couple brillamment interprété par deux jeunes acteurs spontanés. Le film est humble, social et parle d'un sujet fort avec impartialité.

    http://www.justfocus.fr/cinema/critique-keeper-de-guillaume-senez.html

    https://www.facebook.com/La-7eme-critique-393816544123997/
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    108 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 mars 2016
    Keeper est la belle surprise de ce printemps et laisse présager un avenir prometteur pour son réalisateur. Retenez son nom : Guillaume Senez.

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