Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Obs
par François Forestier
Un documentaire exceptionnel. Pour son premier film, le directeur photo espagnol Mauro Herce filme la vie à bord du porte-container "My Fair Lady", et c’est absolument hypnotique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le cinéaste a concocté une sorte de symphonie concrète à base de bips, de grondements et de rumeurs diverses, captés sur place. Une expérience à part, un vrai trip pour grand écran. Ce n’est pas le cas de tous les documentaires.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Arnaud Schwartz
Ce documentaire d’une rare poésie visuelle plonge le spectateur dans une rêverie sans limite en explorant les entrailles mécaniques d’un monstre des mers.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Noémie Luciani
Le documentaire de Mauro Herce réussit à captiver en épousant le rythme d’un cargo, le « Fair-Lady ».
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Luc Chessel
"Dead Slow Ahead" nous propose, avec une précision si entièrement fonctionnelle qu’elle touche au rêve, à un règne d’images et de sons ne communiquant qu’entre eux à l’infini, une expérience de la fascination pure.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Michel Ciment
Il réussit dans ce film fascinant à abolir la frontière entre le réel et l'imaginaire.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Primé à Locarno, ce film de pure sensation ouvre l'imaginaire, avec un côté abscons qui peut rebuter. À tort. Car ce voyage est une oeuvre d'art, au sens premier du terme.
Transfuge
par Nicolas Klotz
(...) un film poétique et halluciné.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Le premier long métrage de Mauro Herce compose une métaphore envoûtante autant qu’effrayante autour d’hommes au service d’une machine avançant sans but.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Mauro Herce regarde les humains comme des scories anecdotiques. Il transforme le réel en trip hypnotique. (...) Un rêve splendide, vaste, flou, rougeoyant et mouvant. Un outre monde.
Première
par Damien Leblanc
La réussite du film tient à sa façon de distiller une atmosphère de douce apocalypse sans avoir recours à des images de destruction ou autres voix off pétrifiantes ; il suffit de quelques plans (...) pour ressentir toute la déconnexion métaphysique.
Télérama
par Nicolas Didier
Réalisé par un chef opérateur confirmé, le film épouse cette lenteur hypnotique, se focalisant sur une machinerie incroyablement complexe : un ballet de grues dans un décor de tuyaux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
Un documentaire exceptionnel. Pour son premier film, le directeur photo espagnol Mauro Herce filme la vie à bord du porte-container "My Fair Lady", et c’est absolument hypnotique.
L'Humanité
Le cinéaste a concocté une sorte de symphonie concrète à base de bips, de grondements et de rumeurs diverses, captés sur place. Une expérience à part, un vrai trip pour grand écran. Ce n’est pas le cas de tous les documentaires.
La Croix
Ce documentaire d’une rare poésie visuelle plonge le spectateur dans une rêverie sans limite en explorant les entrailles mécaniques d’un monstre des mers.
Le Monde
Le documentaire de Mauro Herce réussit à captiver en épousant le rythme d’un cargo, le « Fair-Lady ».
Libération
"Dead Slow Ahead" nous propose, avec une précision si entièrement fonctionnelle qu’elle touche au rêve, à un règne d’images et de sons ne communiquant qu’entre eux à l’infini, une expérience de la fascination pure.
Positif
Il réussit dans ce film fascinant à abolir la frontière entre le réel et l'imaginaire.
Studio Ciné Live
Primé à Locarno, ce film de pure sensation ouvre l'imaginaire, avec un côté abscons qui peut rebuter. À tort. Car ce voyage est une oeuvre d'art, au sens premier du terme.
Transfuge
(...) un film poétique et halluciné.
Les Fiches du Cinéma
Le premier long métrage de Mauro Herce compose une métaphore envoûtante autant qu’effrayante autour d’hommes au service d’une machine avançant sans but.
Les Inrockuptibles
Mauro Herce regarde les humains comme des scories anecdotiques. Il transforme le réel en trip hypnotique. (...) Un rêve splendide, vaste, flou, rougeoyant et mouvant. Un outre monde.
Première
La réussite du film tient à sa façon de distiller une atmosphère de douce apocalypse sans avoir recours à des images de destruction ou autres voix off pétrifiantes ; il suffit de quelques plans (...) pour ressentir toute la déconnexion métaphysique.
Télérama
Réalisé par un chef opérateur confirmé, le film épouse cette lenteur hypnotique, se focalisant sur une machinerie incroyablement complexe : un ballet de grues dans un décor de tuyaux.