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    Dans le noir
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    332 critiques spectateurs

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    Tanachou.
    Tanachou.

    64 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 février 2023
    Ayant beaucoup entendu parler de ce film qui était très attendu au cinéma et étant fan de films d'horreur, je me suis donc empressée d'aller le voir à sa sortie. Que dire? Je ne comprend pas pourquoi ce film a fait autant de bruit. Terrifiant? On sursaute une fois ou deux, mais il n'y a pas de quoi sauter au plafond. On constate un cruel manque de suspens, malgré le jeu d'acteur de Teresa Palmer qui essaie tant bien que mal sauver le film... C'est une histoire qui tourne rapidement en rond, et dont la fin est plus que prévisible. Dommage.
    Bowen Tyler
    Bowen Tyler

    2 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 janvier 2023
    Une tension redoutable ne lâche à aucun moment le spectateur jusqu'à la fin du film. Les personnages sont attachants et crédibles (ce qui n'est pas toujours le cas dans ce genre de productions) si bien que l'on craint sans cesse pour eux. DANS LE NOIR est une belle réussite du film d'horreur à côté de laquelle in ne faut pas passer si l'on aime jouer à se faire peur.
    Scofield
    Scofield

    15 abonnés 528 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 août 2022
    Honorable film d'horreur avec un bon suspense et une ambiance angoissante. Il n'est pas toujours nécessaire de verser des litres de sang pour avoir une atmosphère de peur. Teresa Palmer est bien mignonne, ce qui procure encore un peu plus de plaisir à regarder ce film.
    Rourkewhite
    Rourkewhite

    65 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 août 2022
    Malgré un scénario boiteux qui se révèlera rapidement médiocre, "Lights Out" possède un véritable avantage sur toutes les innombrables autres productions du genre: il fout grave les pétoches! Par ailleurs, le film est mené par l'excellente et trop rare Teresa Palmer qui bouffe systématiquement l'écran! Dommage donc que le film se flingue avec des explications impossibles, sans quoi on tenait un petit bijou!
    Sasa323
    Sasa323

    50 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 juin 2022
    Pas mal, sans plus. Un film un peu en demi-teinte. De bons passages bien flippants mais une réalisation perfectible, des acteurs pas toujours très crédibles, le conflit entre la mère et la fille n'est pas assez développé je trouve, et la résolution de la mort du père au début est un peu bâclée. Par contre le monstre est bien flippant et le réalisateur raconte très bien son histoire. J'ai cru comprendre qu'une suite était en préparation mais n'a pas encore vu le jour, ça pourrait être intéressant.
    pelu
    pelu

    17 abonnés 1 074 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 janvier 2022
    encore une fois le film n est pas decevant mais franchement ce genre de production ou de scénario il faut le dire se ressemble un peu tous. cependant celui ci un brin original avec l idee de la lumière et l ombre fait espérer au début mais on tombe vite dans la simplicité plein de screener sans rentrer dans les détails de son histoire son passé pourtant la trame me paraissait bien bonne. on aperçoit à peine l esprit on ressent peut sans férocité et le final prévisible. dommage
    STRANGELines
    STRANGELines

    16 abonnés 102 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 juin 2021
    Il y'a plein de mécanismes implicitement jonchés dans le noir qui interfèrent avec le choix des personnages, et dont le scénario se chargera d'expliciter au fur et à mesure que l'histoire progresse qui, avec une habileté rare, finit par donner une structure globale à sa proposition de départ.

    Le risque d'incohérence pour ce genre de cinéma centré sur une "logique désarticulée" (parfois une logique de guignol) dans le fonctionnement de l'antagoniste, s'amplifie au fur et à mesure que son champ d'action augmente. Parce que dès le départ, le scénario s'est fixé des "dispositifs" (à son fonctionnement) qui participent sensiblement à l'évolution du trame scénaristique. Et cette même "logique" pour prendre véritablement de forme, se nourrit de ces dispositifs déjà instaurés, dispositifs qui dictent l'évolution psychologique des personnages et les choix qui en découlent. Raison pour laquelle si ces "dispositifs" sont mal gérés dans un scénario ou que le scénario est mal géré dans son évolution parce que certains dispositifs lui font parfois obstacle, cela peut forcément influer sur la crédibilité des personnages (antagoniste(s)/protagonistes). Ce qui nous amène donc au problème des incohérences que l'on remarque dans la plupart des films de ce genre (je salut "La Nonne" de Cory Hardy au passage). Et le fait que certains de ces dispositifs tombent à plat dans certains cas de figure, est que le scénario a souvent tendance à sacrifier ce soupçon de réalisme qui pourrait naturellement apporter plus de nuances à l'ensemble. Et c'est avec ces mêmes "dispositifs de fonctionnement" que le scénario se charge de nous manipuler à sa guise. On remarque à cet effet des spectateurs se plaindre parfois des choix absurdes ! de certains personnages, choix qui vous sortent littéralement de l'ensemble.
    Mais il faut aussi comprendre par là que tout ne se résume pas aux dispositifs. Il y'a aussi des choix à adopter dans le processus établi d'avance par ces mêmes dispositifs. Et on se rend bien compte que plus les choix obéissent aux normes d'écriture des personnages, et plus la "méthode" adoptée devient crédible, justifiant par là la véracité des personnages (antagoniste(s)/protagoniste(s)). Et il devient plus facile au spectateur d'adhérer à ces choix quelque soit l'ampleur de la menace. Ces choix deviennent même indispensable pour le scénario. On peut citer à cet effet "The Lights Out" et tant d'autres films qui réussissent à établir avec clarté les véritables enjeux de la menace, sans que celle-ci en perde de sa crédibilité. Parce que les choix établis par les protagonistes lui donne une véritable raison d'exister : une motivation. Et cette "logique désarticulée" - imprévisible dans son aspect, flottante ou devrais je même dire guignolesque ! n'a pas lieu d'être, car le spectateur comprend les réels motivations de l'antagoniste, dans ce cas-ci sont parfaitement connues, malgré le fait que ce dernier soit toujours imprévisible dans son aspect. La menace (ici l'antagoniste en question, comme entité ou créature) reste cohérent dans son ensemble et les autres personnages (le(s) protagoniste(s)) avec elle. Et la raison qui fait fonctionner toute cette machinerie se résume à sa faculté de ne jamais perdre ce soupçon de réalisme qui rend l'œuvre plus cohérent quelque soit les tournures ou les dimensions prises. Dans "Annabelle : Creation" comme dans "La Nonne" ou dans "La Llorona" c'est une toute autre histoire.
    Par exemple : la règle veut que dans "Annabelle : Creation" les protagonistes soient bêtement ! attirés dans des pièges qu'ils pouvaient deviner à l'avance. La maladresse dont l'écriture fait preuve révèle parfois une certaine paresse scénaristique qui fait entorse à certains dispositifs déjà assimilés, ici se veut d'être justifier par une espièglerie propre à l'enfant. Car il y'a dans "Annabelle : Creation" certains choix qui ne peuvent pas être prises pour de la curiosité. Parce que ce sont ces dispositifs scénaristiques qui dictent le caractère des personnages, en leur donnant une certaine allure - voire une certaine crédibilité tangible qui permet au spectateur de s'acclimater, et même de s'identifier à eux. Et les choix qui découlent des personnages (ici exposés à des menaces) ne doivent jamais perdre le spectateur en cours de route. Car jouant toujours sur la sensibilité des protagonistes que l'antagoniste précède de ses atouts surréalistes qu'il va opposer à ceux inférieurs de ses proies sans jamais - lui aussi - perdre en cours de route son véritable objectif. On se rappelle des apparitions inutiles de la nonne maléfique, et les intentions confuses de la dame pleureuse (La Llorona) qui se permettait de nettoyer les cheveux de la petite au lieu de passer à l'acte. Cela nuit malheureusement l'intérêt du spectateur.
    Ces marionnettistes préfèrent (expressément) emprunter des détours incompréhensibles qui font entorse à l'ampleur des enjeux déjà instaurés, en minimisant -avec une tartuferie assurée- le danger, parce qu'il y'a un des "dispositifs de fonctionnement" érigé en règle qui se soucie de privilégier certains personnages plutôt que d'autres ("cette logique désarticulée" dédiée au fonctionnement du protagoniste fait ici son effet) car ce qui est valable pour certains personnages de seconde zone ne l'est pas forcément pour d'autres, allant jusqu'à créer pleine d'interrogations à l'égard du spectateur sur l'aspect de la menace en question. Ce qui fait que leurs prémisses de base se voient immédiatement remis en cause. On voit chez Andrew W. Marlowe avec son ange déchu (qui cherche plutôt à se faire désirer que de passer à la vitesse supérieure) retardés l'inévitable, parce que s'ils y risquent, c'est la durée finale du film qui va en subir. Ridicule ! Et on arrive à se demander (en rigolant) si enfin de compte le diable est réellement puissant que ne le prétend ses allures outrancières. Parce que tout ce qu'il sait faire au fond c'est attirer bêtement l'attention sur lui avant même de penser à son objectif premier qui est tout simplement de se faire discret. Non seulement les choix de l'antagoniste nous montrent qu'on a affaire à un crétin abouti, mais le scénario nous prouve d'avantage que ce dernier est un crétin bruyant.
    Ils trahissent leurs prémisses de base parce que le mécanisme instauré chez l'antagoniste se voit incompatible avec les exigences du scénario. Dans "Lights Out", David F. Sandberg parvient à se démarquer de ce classicisme : ne perdant jamais de vu la thématique du surnaturel, il parvient à démystifier le caractère transcendant de la menace en conservant certaines de ses attributs ou archétypes humains sans toutefois ôter le mystère autour d'elle. Sandberg dépeint la vieille mythologie du spectre vengeresse, en donnant à l'entité un caractère tangible qui lui donne toujours un but précis à atteindre. Il donne à cette dernière une raison d'exister, en faisant correspondre le mobile de ses actions à des obsessions qui restent fidèle à ses origines. Plus proche de l'humain comme jamais dans sa qualité spectrale - ici la menace en question, Sandberg attribue à cette dernière un mécanisme qui ne contre dit jamais sa mythologie de base. Rendant la présence de la menace décisive ! À chaque fois qu'elle apparaît sur la scène.

    Adapté de son court-métrage qui a terrifié la Toile en 2013, "Lights Out" au budget plus que raisonnable, est le premier long métrage du réalisateur suédois. Tout en s'amusant à nous faire peur, il jongle avec les codes horrifiques dont la maîtrise dénote un(e) certain(e) respect/admiration pour le genre. Ce dernier excelle par son savoir-faire ingénieux qui assimile la sobriété à la profondeur dans sa mise en scène. Robert F. Sandberg (à qui l'on doit le second volet de la poupée Annabelle sorti en 2017) entend revitaliser les obsessions primaires qui ont marqué notre enfance : la peur du noir, en reprenant les mêmes archétypes qui ont façonné la plupart des films de son modèle (James Wan) à savoir : la famille, l'enfance, la terreur du noir... Situant sa mémoire créatrice dans les racines de l'épouvante classique, en lorgnant spécifiquement du côté de "La Maison Du Diable" (1963) de Robert Wise, le réalisateur suédois (tout comme son modèle) démontre encore une fois que c'est dans les vieux pots qu'on fait les meilleures soupes.
    Anna_
    Anna_

    23 abonnés 743 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 mars 2021
    Après avoir vu le court métrage de David F. Sandberg que j'ai trouvé vraiment original, j'ai décidé de regarder cette adaptation.

    L'idée de départ du court métrage est bien respectée et il y a une bonne ambiance. Je trouve cependant que l'histoire n'est pas assez approfondie, la créature (appelez ça comme vous voudrez) manque d'action et de présence.

    Pour un film d'horreur la fin est une vraie fin (c'est rare pour être signalé) : il n'y a pas un truc qui nous fait dire qu'il y aura une suite.
    Benjamin Blanchard
    Benjamin Blanchard

    5 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 janvier 2021
    De base, j'avais adoré le court-métrage (Lights Out), qui ne dure que 3 min. Quand j'avais appris qu'il allait avoir une version en long-métrage, j'étais content et inquiet, car le concept ne pouvez que tenir sur une courte idée, mais bon allons lui donner ça chance. Le tout forme quelques choses de bizarre autour du film. Le réalisateur (aussi du court-métrage) a quand même réussi a faire tenir un certain stress tout le long du film, mais niveau peur… on est très loin du court-métrage. Mais surtout ce qui pour moi plombe une grande parti du film est c'est INCOHRENCE. Je n'avais jamais autant d'incohérence dans un film, le dernier que je trouvais bien mais avec des incohérence folles s'était Sinister. Dans le noir a vraiment trop de moment chelou pour qu'on passe à côtés. Des réactions, décision de personnages totalement surréaliste. Enfin bon, il fallait s'en douté vu le scénario et de quoi et tiré le film. Le film reste regardable, après pour ce qui n'aime pas les incohérence, je regarder pas, mais sinon ça ce laisse regarder.
    Bryan V.
    Bryan V.

    70 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 janvier 2021
    Une histoire simple et presque efficace, malgré un effort sur les jumps scare cela à tendance prendre plus sur l'émotion que la sensation.
    vichnou8
    vichnou8

    1 critique Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 novembre 2020
    Lights out est un film d'horreur qui installe son atmosphère terrifique dès les premières minutes et promet de bons moments de frayeur rarement déçus. En dépit d'un scénario assez simple - une créature qui assaille ses victimes dans le noir et disparaît à la lumière -, le réalisateur parvient à nous entraîner dans l'histoire d'une famille dysfonctionnelle sous l'emprise d'une présence maléfique. Quelle est la part de surnaturel, quelle est la part de psychose ? Les deux sont intimement liés. Car l'horreur se situe finalement dans le sort de ces deux enfants qui voient le destin se répéter, l'un après l'autre ; tous deux successivement privés de leur père et réduits à un tête-à-tête angoissant avec une mère déséquilibrée. Au-delà du film d'horreur bien mené, Lights out peut être vu comme une fable psychologique sur le refoulement. Refoulement qu'opère Becca, qui préfère fuir, de peur d'être abandonnée, et qui, réalisant qu'elle n'a pas été abandonnée, trouve le courage de rester.
    Floki
    Floki

    7 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 novembre 2020
    Un bon petit film d'horreur, original (je trouve.), de bonnes petites scènes, assez clichés dans la construction (le mari distant, la police qui arrive 300 ans plus tard etc), mais ca reste un film sympa a voir. Je trouve cela juste dommage qu'ils n'expliquent pas en profondeur la raison de ce "monstre".
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 31 octobre 2020
    C’est un rare film d’horreur qui m’a vraiment fait peur. Pas très gore mais ça engendre une angoisse de ouf. Malheureusement j’ai pas beaucoup aimé la fin, que j trouve triste.
    Theo M
    Theo M

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 septembre 2020
    J'ai passé un excellent moment devant ce film, le format de 1h20 est vraiment bien choisis ce qui permet de ne pas s'ennuyer
    maxime ...
    maxime ...

    237 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 septembre 2020
    Lights Out est un film qui m'a captivé de A à Z. Vraiment, je n'ai clairement pas vu le temps filé ! Un film de genre appréciable tant l'entreprise est bâtit sur une bonne grosse dose d'humilité et une connaissance des codes qui n'invente certes rien mais qui conduit admirablement son récit.

    Il y'a bien des défauts, les acteurs se contentent du schéma initial, la mise en scène est robuste et joue sa partition au fond sans surprises et on peu aussi dire que l'on capte la fin sans trop cherché à mi- aventure mais au fond, qu'est-ce qu'on sans fou ! J'aime bien Teresa Palmer dans ce film, à la fois sobre et ambigu, elle est troublante et signe une jolie prestation. Maria Bello elle aussi fait son jeu, difficile d'être dans le bon ton au vue du rôle sans en faire de trop mais elle s'en sort relativement bien à quelques exceptions. Gabriel Bateman aussi joue bien le coup, certains gosses sont assez exaspérant au cinéma, lui non. Alexander DiPersia est lui beau gosse et sert de pendant masculin au premier rôle qui est ici féminin, sa change un peu !

    Coté histoire rien de bien transcendant, le scénario est simple mais efficace, bien conduit sans fausses complexité à mi-parcours et lapin dans le chapeau qui me gonfle en ce moment. On a nos quelques sursauts, des frissons un peu partout et de la tension y compris dans le silence comme dans le vacarme. Dans le Noir, titre Français pas si mal que ça offre des envies de se promener constamment avec une lampe torche ! Un divertissement efficace.
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