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duartelittle
37 abonnés
225 critiques
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4,0
Publiée le 8 septembre 2016
Mon avis en quelques mots: Flippant, terrifiant, angoissant, efficace!
Flippant, sans le moindre doute. Terrifiant, pour sûr. Angoissant, plus qu'il ne le faut. Le tout pour un film d'épouvante efficace qui a le mérite de nous donner exactement ce qu'on est venu chercher: un max de frissons.
Après avoir vu le court métrage "lights out" du même réal ( 3min flippantes) je suis évidement allée voir "dans le noir". Pas déçue, ça fout la trouille. je ne me casse pas la tête à me dire que les explications concernant la chose qui terrifie cette famille ne sont pas abouties. l'angoisse est présente, les acteurs ne sont pas mauvais, on retrouve quelques têtes connues. J'ai aimé et ne regrette pas d'y être allée.
Dans la catégorie séance estivale nous n’attendons plus grand-chose. Mais si James Wan (« Saw », « The Conjuring », « Insidious »…) intervient en tant que producteur, un regard avant tout amusé puis ensuite curieux peut être posé sur ce film d’horreur. Si la bande annonce, alléchante et fonctionnant sur le principe, éculé mais efficace, des jump scares pouvait donner envie, le résultat s’avère beaucoup plus mitigé. On ne peut condamner la faiblesse du scénario qui dans le genre fait souvent figure d’étendard, en outre, la mise en scène ampoulée de David F. Sandberg ne permet jamais de rentrer totalement dans l’histoire. Ce qui fonctionne sur un court-métrage ne se transpose pas forcément à coup de baguette magique, et financière, en long-métrage, ce qui est le cas ici, puisque « Dans le noir » fait suite au court du même réalisateur. Le spectateur est ainsi malmené comme il se doit mais reste sur une impression mitigée d’un film de série B qui ne sort pas des sentiers battus et ne mise sa force tranquille que sur de simples effets de terreur passagère. C’est donc sur un aspect purement esthétique et graphique que « Dans le noir » tire son épingle du jeu, maigre consolation dans le secteur cinématographique qui en plus de ne plus savoir se renouveler, peine de plus en plus à mettre en scène avec qualité des recettes apparemment éculées.
Le concept était bon, mais mal exploité. Une fois de plus, un film qui surfe trop sur le monde des esprits, alors que l'idée des peurs d'enfance était bonne. La peur suscitée par cette silhouette, trop vite effacée par l'arrivée de la lumière qui enlève tout intérêt à ce film. Une grosse déception.
"Dans le noir" était défini comme le nouveau film flippant après le très réussi "Conjuring 2 : Le Cas Enfield". Et il y a de quoi puisque James Wan, le papa de ce dernier, est à la production. Résultat ? Rien de très extraordinaire, sans pour autant être le gros navet de l'année. Ce film vous fera sans doutes (ou pas) sursauter à certains passages, car il reste malgré tout assez prenant.
la bande annonce était accrocheuse et elle m'a donné envie de voir le film. finalement il fallait rester sur cette bande annonce car le film ne donne pas plus d'émotions même si je ne me suis pas ennuyé.
Une créature terrifiante exerce son emprise sur une famille. Il s'agit d'une amie d'enfance de la mère de famille Sophie qui a connu un destin tragique. Cherchant à découvrir la vérité, la fille de sophie, Rebecca qui a quitté le foyer familial très jeune comprend que le danger rôde toujours… surtout quand toutes les lumières sont éteintes.
"Dans le noir" (Lights out) est une réalisation de David F Sanberg, produite par James Wan. Il s'agit d'un petit film d'horreur plutôt pas mal. Le suspense est bien entretenu, l'angoisse bien distillée, la créature pas trop omniprésente mais suffisamment dans le décor pour que le spectateur soit sur ses gardes. On peut saluer le casting notamment la craquante Teresa Palmer (Rebecca) et Maria Bello (Sophie). Le film n'échappe pas à la règle des fameux jumpscares mais on demeure dans la moyenne. Le film est servi par une bonne bande originale, angoissante à souhait de Benjamin Wallfisch. La durée du film de moins de 1h30 est idéale compte tenu du script.
agréablement surpris par ce film, histoire concret par rapport a d'autre films d'horreur...j'ai bien aimé la diversité de chaque scène.. a découvrir !!!
On pourra toujours lui reprocher son manque d'intrigues, Dans le noir, démontre que sans se foutre de la tête du spectateur, le cinéma d'épouvante peut aussi faire clair, simple et pas moins efficace. Un essai plutôt enthousiasmant donc, qui, espérons-le, sera réitéré pour Annabelle 2 dont le réalisateur à pris les rênes. La critique complète est en ligne sur le site Terreurvision.
David Sandberg avait réalisé en 2014 et 2015 une série de court métrage durant 5 minutes chacun, qui étaient tous grandiose. En 5 minutes le réalisateur Suédois réussi à nous mettre mal à l’aise et nous plonger dans un climat très angoissant. Le pari était réussi avec très peu de moyens, une seule actrice et 5 minutes il arrive à être aussi flippant qu’un long métrage.
Son pari pour son tout premier Long métrage sera-t-il aussi une réussite ?
Avant de commencer pour appréciez le film dîtes vous sa : " Chaque scène du film est un court métrage, et ces dernières sont toutes reliés par une histoire".
Ici l’objectif était de réveiller une peur qui parle à tout le monde c’est-à-dire la Peur du noir. Une peur qu’on retrouve très facilement dans la vie de tous les jours.
On va commencer par la réalisation, le point fort du court métrage, qui ici disparaît été le fait qu’il soit sans musique et que donc les « Jump Scare » n’était basé que sur la mise en scène et malheureusement dans le film la grande majorité des jump scare sont essentiellement basé sur le son ! Le réalisateur nous met face à des plans qui sont souvent long avec toujours cette démarcation dans chaque plan entre la lumière et le côté sombre qui introduit un climat d’angoisse.
Concernant les acteurs, leur réaction face au danger est similaire à celle qu’on aurait pu avoir à leur place, et rend les scènes réalistes
Les apparitions trop nombreuses de l’entité lui font perdre se côté mystérieux, on finit par s’y habituer et cela perd son « effet de surprise »
Le scénario est assez original pour une fois, nous avons à faire à une sorte de thriller psychologique qui change et se démarque des autres films d’horreur (cf : It Follows) spoiler: (Gros point fort du film, les protagonistes, n’ont à aucun moment fait allusion à un cas de possession et n’ont fait appel à aucun « exorciste»)
Le film brise également quelque code du cinéma d’horreur.
David Sandberg à très bien géré les apparitions de son « entité » avec des effets de lumières qui sont géré de manière géniale ! spoiler: ( L’éclairage avec le smartphone et les phares de la voiture)
Au niveau de la bande son, aucun son ne particulièrement mis mal à l’aise contrairement à d’autre film tel que Sinister ou Insidious.
Parlons maintenant de « l’entité » qui n’est pas révélé et qui laisse notre imagination nous faire peu à partir de la silhouette. Malheureusement les déplacements en mode marionnette à la "The Grudge", lui font perdre le côté réaliste et pour moi je trouve sa nul sérieusement.
* En conclusion : Light Out n'à pas su exploiter son idée de base et se retrouve "sans idée" nouvelle pour nous faire peur. Le film reste tout de même angoissant, avec une bonne mise en scène et de bons acteur. Il est dommage que le film n'exploite pas assez cette peur du noir.
Comme l'indique le titre, tout se passe... dans le noir (eh oui, ils ne savent pas qu'on peut tirer les rideaux!). Il faut donc une bonne volonté évidente pour suivre ce film d'horreur guère original mais, malgré tout, plutôt réussi...
J'avais vu le court-métrage de Youtube et attendais beaucoup de ce film. L'ambiance est pas trop mal, spoiler: mais les morts sont trop prévisibles, que ce soit le père au tout début, ou la mère à la fin ! Les moments les plus flippants étaient dans la bande annonces. Quand à la fin, ben on est stoppé net dans notre élan. Scénario trop rapide et prévisible, fin bâclée non digne d'un film d'horreur malgré une idée prometteuse. Je vous conseil plus le cout-métrage youtube que ce film.
Après avoir enflammé le web avec "Lights out", un court-métrage ultra-simple et ultra-flippant par son principe (une mystérieuse silhouette apparaissant seulement dans le noir et disparaissant une fois la lumière allumée), David F. Sandberg n'a pas manqué de se faire remarquer à Hollywood. Produit par James Wan, ce "Dans le noir" version longue part donc du même principe mais prend le temps de bien construire son intrigue et ses personnages. Au lieu de se précipiter tête baissée dans un produit de genre calibré, le film préfère se montrer intelligent et dévoiler une tragédie familiale avec peu de personnages, pas loin d'être stéréotypés mais loin d'être stupides ou énervants. Si "Dans le noir" nous réserve quelques frayeurs (le climax dans la maison est plutôt réussi) et qu'il use parfois de jump-scare un peu faciles, on peut également voir en cette entité malfaisante la métaphore de la dépression d'une mère affectant toute sa famille. Loin d'être inintéressant, le film joue très bien avec nos peurs et nous réserve quelques surprises, s'avérant meilleur que certaines autres productions du genre sans être transcendant pour autant. On saluera tout de même l'effort du scénario, classique mais construisant ses personnages avec un certain soin.