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Padami N.
62 abonnés
514 critiques
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2,5
Publiée le 23 mars 2019
le film vaut pour N.Nolte qui joue le vieux atteint d'Alzheimer...le récit est pathos et utilise l'humour et les sourires faciles le d'enfants pour amadouer et faire passer la pilule......
un peu long et surjoué, un peu tout le long dans l'excès et fatiguant à la longue malgré une succession ininterrompue de gags. De beaux paysages sur la fin sinon tout s'oublie assez vite. A éviter pour ceux qui s'intéresse a la maladie d'Alzheimer..
Film tendre et romanesque. Nous avons ri et pleuré, touché par ce film. Nick Nolte livre une très belle prestation. Nous n'avons pas vu le temps s'écouler tant ce film nous a pris au cœur.
Pour la jeune actrice qui est à peu près crédible....quand on s’attend à un traitement d’un sujet grave, traité avec un minimum de profondeur... et que l’on se retrouve avec un navet... et bien on quitte la salle.
film passionnant , il y a une vrai accroche a avoir avec la petite fille qui joue très bien son rôle avec simplicité et sincérité. J'ai passé un bon moment, le seul bémol est que le film est un peu trop long mais c'est a chacun d'en juger...
Du jamais vu à l'écran. Insupportable. Voilà un film qui menace vos yeux d'être atteints d'un blépharospasme, sorte de clignement perpétuel qui vous fait voir le monde en pointillé. Dès la première image, vous avez une succession ininterrompue de plans qui durent chacun au maximum une seconde. Pas de caméra posée, pas de travelling, juste une grammaire cinématographique qui tend vers le zéro absolu. Le film est un immense hoquet qui annone ses images à la vitesse d'un TGV. Impossible de voir quoi que ce soit, de laisser l'œil se reposer ne serait-ce que l'espace d'une demi-seconde dans ce montage réalisé à la hache. On se croirait à la (mauvaise) télévision un samedi soir dans ces (mauvaises) émissions faites de (mauvais) chanteurs où les différentes caméras jouent entre elles un ping-pong effréné sans que l'on ait le loisir de voir ne serait-ce qu'un bref instant le visage de celui où celle qui chante, les plans de coupe étant si rapprochés que la tête vous tourne. L'esthétique du spot publicitaire bat ici son plein, mais le produit vendu est bidon. Voilà pour la forme, qui m'a fait quitter la salle au bout d'une demi-heure, ce qui relève déjà de l'exploit. Pour ce qui est du fond, nous sommes dans les profondeurs abyssales de la nullité. Tout est grotesque, depuis le jeu des acteurs jusqu'à la caricature des situations. Là où l'on attendait un film fait d'émotion et de gravité (ce que semblait promettre une bande annonce on ne peut plus trompeuse et mensongère), on est en présence d'un grand guignol dont le ridicule frise la débilité. Devant tant de niaiseries, j'ai quitté ce rafiot pourri après la scène des déménageurs, refusant de me scarifier l'esprit et les yeux pendant les 2h10 que devait durer ce naufrage.
Aïe aïe aïe ... Affiche, sujet, casting, bande-annonce (la 1ère) alléchants et bing ! Le fiasco. 1h30 de trop sur 2h de film pas crédible du tout, malgré les efforts pour montrer le papi sombrer crescendo dans la maladie. C'est long, pénible, et ridicule, on n'y croit pas. Une gamine de 11 ans qui part en Italie avec papi Alzheimer, et pas une âme pour se poser des questions, on croit rêver ! Pour les fans de N.Nolte : n'y allez surtout pas ! Vous allez être sacrément déçus tant c'est affligeant. Seule la partie accélérée en forme de road-movie du grand-père et de sa petite-fille est sympa, malgré l'utopie. Mais ça ne sauve pas du naufrage...
Remake du film allemand "Honig Im Kopf" du même réalisateur sorti en 2014, "Du miel plein la tête" va nous plonger dans la vie d'une famille londonienne qui, à la mort de la grand-mère, va accueillir chez elle le grand-père atteint de la maladie d'Alzheimer. Pourtant bourrée de bonnes intentions, cette oeuvre reste malhabile sur certains points. Tout d'abord, répéter à de nombreuses reprises, de façon presque burlesque, la détresse de ce vieil homme malade n'est pas très adroit pour la corde émotionnelle. Ensuite, les caricatures du père de famille persuadé que son père va aller de mieux en mieux et de la fille totalement fan de son grand-père ne sont pas tellement crédibles sur la longueur. C'est dommage, car Nick Nolte incarnant ce vieux monsieur perdant la boule à quelque chose de presque touchant, notamment dans la relation avec sa petite-fille. Maladroit mais poétique. Site www.cinemadourg.free.fr
Quel navet ! Je me suis laissé berné par la bande-annonce très prometteuse et par la presse spécialisée qui ne tarissait pas d’éloges à propos de ce remake d’un film allemand réalisé également par Til Schweiger, et qui, dit-on, a remporté un succès colossal en Allemagne. Le casting est alléchant avec Matt Dillon et Emily Mortimer qui d’ordinaire sont des pros qui savent choisir des sujets intéressants, et avec le couple mythique de « The deep », Nick Nolte et Jacqueline Bisset, dont tout le monde connait les carrières exceptionnelles. Ce film est bête et choquant parce que visiblement le réalisateur trouve comique une personne atteinte d’Alzheimer. Lui, çà le fait rire, moi pas ! Mais si vous êtes de son avis et que vous aimez les gamines de 10 ans mal élevées qui la ramènent tout le temps sans qu’on leur demande et qui imposent leurs points de vue aux adultes même pour des choix de vie primordiaux, qui évoluent dans un monde où tous les gens sont, soit des débiles profonds, soit des « bisounours », soit des caricatures ou les 3 à la fois, et qui sont aveugles et sourds car ils sont incapables de reconnaitre une personne atteinte d’Alzheimer à un stade vraiment très avancé, alors ce film vous plaira. Pour ma part, il m’a fait penser à un énième opus de la série « Beethoven » destinée aux jeunes enfants, dans lequel on aurait remplacé le Saint-Bernard par un vieillard sénile. Et, cerise sur le gâteau, ce navet dure plus de 2 heures, c’est interminable, d’autant qu’il devient prévisible dès son début !
Beaucoup trop romance , pas du tout realiste , tous les personnages sont gentil ou altruiste et donc histoire pas credible. Premiere partie assez ennuyeuse pour toutes ces raisons , seule la derniere partie du film grace surtout aux tres beaux paysages se laisse regarder.
Très déçu, bien par moment mais globalement trop outré et trop peu credible.
Que le fils soit dans le déni de ce qui arrive au père ne tient pas longtemps. Il y a beaucoup trop d indulgence envers ses bêtises, la petite fille est trop émerveillée par son grand père, le grand père fait des bêtises trop énormes. Ça ne fonctionne pas à mon avis. Tout le film sent les émotions à bon marché, la recherche du spectaculaire et la poudre aux yeux du spectateur. Les disputes du couples s apaisent trop facilement, la police trop moqueuse de leur situation.
La musique est trop forte, les moments choisis par le réalisateur sont trop appuyé. Nick Nolte en fait trop pour nous montrer qu il est désorienté, il est trop perdu. Par exemple, lorsqu il boit sa bière, il tremble trop à l approche et au moment de poser ses lèvres subitement il ne tremble plus, surtout, en la reposant, il n a subitement plus de souci moteur. Sa technique de drague avec claquement de lèvre trop grossière, et c est trop grossier que ses proches le laissent faire si longtemps - ça fait recherche de performance d acteur, ça fait pitié.
Le triporteur des bonnes sœurs fait fausse bonne idée, supposément drôle, en s appuyant sur une idée éculée. Mais l idée devient ridicule lorsqu il y a un cahot et que les bonnes sœurs perdent deux concombres. Les bonnes sœurs n ont pas besoin de deux concombres. L idée est faible.
Le film me semble primaire et bien décevant. Dommage, j ai bien apprécié certains moments.
Qui a eu l'idée saugrenue de faire un remake de cette histoire sans grand intérêt ? Les saynètes qui se succèdent à l'écran sur le thème d'un vieil homme qui perd la boule, victime de la maladie d'Alzheimer, sont exposées sur le thème de la comédie sans vraiment faire ressentir le drame de la situation. C'est un peu comme si on plaisantait avec un aveugle qui tomberait dans un trou d'égout, ce qui nous ramène aux grandes heures des gesticulations du cinéma muet. Dialogues consternants et situations improbables composent ce brouet insipide. A éviter, surtout si on veut garder une bonne impression de Nick Nolte, le héros malgré lui de cette pantalonnade, pitoyable.