Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Avec sa galerie d’hurluberlus jusqu’à l’inquiétante logeuse du jeune Coréen, "Chu & Blossom" dérange parfois. Mais dans ce petit film indépendant à la réalisation bien sage pour son sujet, c’est la tendresse et la finesse du regard qui l’emportent, révélant sous la comédie le récit initiatique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Une comédie tendre, pas déplaisante, mais dont le sujet aurait mérité une mise en scène plus barrée.
aVoir-aLire.com
par Jean Demblant
Exemple typique d’élève modèle qui aligne avec rigueur tous les clichés du cinéma indépendant américain, Chu & Blossom parvient, malgré son manque d’originalité, à atteindre partiellement sa cible grâce à une réalisation percutante et un duo charismatique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Sous couvert de fantaisie bariolée, c’est une pochade assez conventionnelle, en particulier dans sa vision simpliste de l’art et des relations amoureuses.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Noémie Luciani
Le choc est moins piquant que prévu dans ce film dont la tonalité douce-amère et le décalage poétique semblent fanés, malgré des élans politiquement incorrects.
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Film indépendant écrit et réalisé à quatre mains, “Chu & Blossom” est un produit idéologiquement manufacturé et, dans l'ensemble, convenu.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Christophe Narbonne
Cette comédie œcuménique sur l’acceptation difficile d’un étudiant coréen par une population blanche combine ce qu’il y a de pire dans le cinéma américain indépendant, à savoir une tendance récurrente au décalage et un conformisme social qui contredit les bonnes intentions de départ.
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Romain Le Vern
On aime toutes les influences revendiquées par les deux réalisateurs (John Waters, évidemment). Mais le film ne tient que sur une volonté superficielle de s'inscrire dans ce serail du cinéma indépendant US et finit, en dépit de sympathiques intentions et de sympathiques moments, par ressembler à de la poussière sur du vide.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Jacques Morice
Très mielleuses et à peine drôles, ces vicissitudes d'un étudiant coréen dans une petite ville américaine. Au point d'en devenir indigentes...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par François Giraud
"Chu & Blossom" est l’exemple même de la comédie américaine indépendante qui cultive ses propres clichés, et dont le désir de rébellion contre le conformisme (hollywoodien) devient la règle d’un nouveau type de conformisme (indépendant, certes).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
Avec sa galerie d’hurluberlus jusqu’à l’inquiétante logeuse du jeune Coréen, "Chu & Blossom" dérange parfois. Mais dans ce petit film indépendant à la réalisation bien sage pour son sujet, c’est la tendresse et la finesse du regard qui l’emportent, révélant sous la comédie le récit initiatique.
Studio Ciné Live
Une comédie tendre, pas déplaisante, mais dont le sujet aurait mérité une mise en scène plus barrée.
aVoir-aLire.com
Exemple typique d’élève modèle qui aligne avec rigueur tous les clichés du cinéma indépendant américain, Chu & Blossom parvient, malgré son manque d’originalité, à atteindre partiellement sa cible grâce à une réalisation percutante et un duo charismatique.
L'Humanité
Sous couvert de fantaisie bariolée, c’est une pochade assez conventionnelle, en particulier dans sa vision simpliste de l’art et des relations amoureuses.
Le Monde
Le choc est moins piquant que prévu dans ce film dont la tonalité douce-amère et le décalage poétique semblent fanés, malgré des élans politiquement incorrects.
Les Fiches du Cinéma
Film indépendant écrit et réalisé à quatre mains, “Chu & Blossom” est un produit idéologiquement manufacturé et, dans l'ensemble, convenu.
Première
Cette comédie œcuménique sur l’acceptation difficile d’un étudiant coréen par une population blanche combine ce qu’il y a de pire dans le cinéma américain indépendant, à savoir une tendance récurrente au décalage et un conformisme social qui contredit les bonnes intentions de départ.
TF1 News
On aime toutes les influences revendiquées par les deux réalisateurs (John Waters, évidemment). Mais le film ne tient que sur une volonté superficielle de s'inscrire dans ce serail du cinéma indépendant US et finit, en dépit de sympathiques intentions et de sympathiques moments, par ressembler à de la poussière sur du vide.
Télérama
Très mielleuses et à peine drôles, ces vicissitudes d'un étudiant coréen dans une petite ville américaine. Au point d'en devenir indigentes...
Critikat.com
"Chu & Blossom" est l’exemple même de la comédie américaine indépendante qui cultive ses propres clichés, et dont le désir de rébellion contre le conformisme (hollywoodien) devient la règle d’un nouveau type de conformisme (indépendant, certes).