Avis : La Promesse - Page 3

Magnifique!!!! Très beau film, très proche de la réalité de l'histoire. Merci pour cette belle leçon d'histoire

Je regrette que ce film magnifique de grande qualité ne ne soit pas diffusé dans toutes les salles de France.
À voir absolument, d’une part pour comprendre l’histoire des Arméniens et la souffrance qu’ils ont endurées, les raisons du combat de tout un peuple, d’autre part pour visionner un beau film, avec de bons acteurs, digne des grands films d’Hollywood

Malgré son budget important et ses stars au générique, La Promesse est une fresque historique à la fois romanesque et tragique, qui sort un peu dans l'indifférence générale. Indéniablement bien fait côté souffle épique et lyrique, le film de Terry George a ce tort de sacrifier son authenticité historique sur l'autel d'un élan émotionnel très appuyé, destiné à faire sortir les kleenex.

Critique complète : http://mondocine.net/cinema-la-promesse-critique-film/

Film très touchant, sur une histoire vraie, des dialogues posées et riches. C'est le genre de film qui me passionne

Film didactique sur le génocide arménien n'en déplaise à ceux qui attendent de ce genre de récit un documentaire historique. Il y a suffisamment d'informations pour un film plutôt romantique.La cible est atteinte, c'est-à-dire donner envie d'approfondir la question. Encore un pavé dans le jardin des négationistes à la solde du gouvernement turque.

Un grand film. Drame Très touchant et vrai.
La réalisation est excellente. Une grande production amercaine

Contre toute attente, les génocides peuvent réussir à certains. C’est le cas de Terry George. « Hôtel Rwanda » était aussi poignant de vérité sur la tragédie Tootsie, que réussi artistiquement. Il en est de même pour « The Promise » qui retrace avec sobriété, mais force et émotion, la tragédie du peuple Arménien.

Assez lent mais émouvante histoire d'amour. Certains trouvent déplacés de faire une histoire d'amour sur un sujet aussi grave que le genocide arménien. Après tout, beaucoup de films "romance" prennent un fait historique comme base et ça ne choque pas.
Je viens de voir également "un officier ottoman " qui comporte beaucoup de similitudes : même lieu, même triangle amoureux, même fait historique. J'ai préféré ce dernier pour le côté "romance" mais "the promise" est plus poignant et relate mieux cet épouvantable drame historique.
Les 2 films se complètent.

Magnifique film ! !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! C’etait très émouvant le jeux d’acteurs et super rien a dire je le classe dans mes préférés

Rare et presque inexistant sont les films sur le génocide arménien. Celui ci est incroyable.
On suit une histoire d'amour pendant cette guerre et ces épreuves. L'amour seul qui peut permettre d'affronter ces événements. Une partie des horreurs et la violence gratuite des turcs envers les arméniens est montrée. Il faut avoir de la volonté pour soutenir du regard ces atrocités réelles.
Oscar Isaac et Christian Bale sont simple et sobre dans leurs rôles. La musique est belle. Point faible : la scène presque finale de l'embarquement sur le navire français et surtout la catastrophe. On quitte tout le sérieux et la perfection des événements spoiler: pour une mort qui aurait pu être évitée, il aurait mieux fallut être explosé par un tir d'obus
et l'événement clé n'est pas plus triste que ça. spoiler: Heureusement, la scène finale du mariage vient rattraper tout ça.

Très beau film, qui peut rendre triste et enragé. Et dire que les turcs ne reconnaissent toujours pas ce génocide et construisent maintenant des mosquées en France...

Présenté au Festival international du film de Toronto 2016, The Promise aborde une période lourde et intense sur le génocide arménien perpétré par l'Empire ottoman. Avec ce thème de la guerre, le réalisateur irlandais Terry George introduit également une romance niaise entre un étudiant en médecine arménien et une jeune femme dont elle est avec un journaliste américain. Malheureusement, The Promise n'est pas le grand film qu'on aurait espéré avoir... Il ne se démarque pas des autres films qui l'ont précédé puisque c'est un mélodrame clairement daté dont sa reconstitution demeure potable, sans réel exploit avec une mise en scène peu emballante. Un peu comme le Unbroken d'Angelina Jolie ! La direction photo est quelconque, une musique quasi omniprésente et un montage au rythme très hésitant dont le spectateur peine à être captiver... Même si la distribution des acteurs relève légèrement le niveau ! Oscar Isaac est un bon acteur mais il n'a pas vraiment sa place dans ce récit de romance sur fond de guerre et n'est guère attachant. Le comédien était plus en forme devant l'agréable comédie Suburbicon de Clooney. La présence de Charlotte Le Bon - elle qui commence à monter dans des productions américaines telles que Bastille Day, The Walk - n'arrange pas les choses, même si elle apporte (parfois) un peu de moment d'émotion. Seul, l'excellent Christian Bale se veut honorable dans la peau de ce journaliste qui veut réellement avoir le dernier mot ! L'apparition de spoiler: Jean Reno
se veut étonnante. Les séquences les plus dramatiques spoiler: se trouvent bel et bien dans sa bande annonce, donc aucune surprise ne s'avère être au rendez-vous... On est pas angoissé, ni bousculer à l'idée de voir des rescapés piégés par les Turcs
car The Promise ne va pas au bout de ses pensées... L'émotion n'est pas forte, c'est plutôt l'ennui qui l'emporte ! En conclusion, The Promise n'est ni le beau, ni le grand film de l'année. Il s'agit seulement d'une œuvre regardable, sans personnalité. Clairement une déception !

Un film plutôt décevant sur le génocide arménien en turquie pendant la première guerre mondiale.
La mise en scène est beaucoup trop lisse, et malgré un sujet fort, on ne ressent quasiment jamais aucune émotion.
Le rythme est monotone et le film souffre aussi de quelques longueurs.
Ce n’est pas mauvais, mais c’est plutôt moyen et assez décevant.

Coscénariste en 1993, avec le réalisateur du film Jim Sheridan, de" Au nom du père", l’irlandais (du Nord) Terry George a réalisé en 1996 son premier long métrage, "Some mother’s son", jamais sorti dans les salles françaises. On lui doit, en 2004, la réalisation de ce qui peut se faire de pire lorsque Hollywood s’attaque à des événements dramatiques de l’histoire récente. Le drame traité alors par Terry George, c’était le génocide des Tutsis du Rwanda, le titre du film étant "Hotel Rwanda". Autant dire que lorsqu’on aborde son dernier film, La promesse, film sur le génocide arménien, on ne peut s’empêcher de craindre le pire !

Alors que le cinéma a traité à de multiples reprises et sous les formes les plus variées l’abomination qu’a été la Shoah, il n’en est pas de même pour un génocide perpétré plusieurs années auparavant, en 1915, le génocide des arméniens par les turcs. La communauté internationale s’accorde à chiffrer à environ 1 300 000 le nombre de personnes qui perdirent la vie lors de ces massacres, soit près de 80 % de la population arménienne vivant alors en Turquie. Autant dire qu’un film relatant d’une façon ou d’une autre ces événements tragiques est forcément considéré par beaucoup, a priori, comme fort utile, tout en étant, a priori également, rejeté par ceux qui, en Turquie, continuent à nier l’existence d’un tel génocide.

Ce film, "La promesse", c’est Kirk Kerkorian, un richissime homme d’affaire américain d’origine arménienne, décédé en 2015, qui l’a voulu et qui l’a financé. Restait à trouver la façon de porter ce pan de l’histoire à l’écran. Le film étant très américain, il n’est pas franchement étonnant que, dans le but de toucher le plus grand nombre de spectateurs, une histoire sentimentale soit venue se greffer sur l’argument historique proprement dit. Cette histoire sentimentale met en scène Michael, un étudiant en médecine arménien, et Chris, un journaliste américain, venu pour raconter au monde les horreurs dont il est témoin, tous deux amoureux de Ana, une jeune femme d’origine arménienne vivant en France.

C’est un fait : on retrouve dans "La promesse" le même genre de défauts que dans "Hotel Rwanda" : utilisation exclusive de la langue anglaise (ou française dans la VF), invraisemblances, musique insupportable, et pourtant, allez savoir pourquoi, le plat, même s’il est franchement indigeste par moments, arrive cette fois ci à passer. Certes, on se rend bien compte qu’on est en face d’un mélodrame tire-larmes mais, même si on en a parfois un peu honte, on arrive à se laisser prendre à cette fresque historique dans laquelle on sent flotter un certain souffle épique et on marche à la narration romanesque de ce triangle amoureux. Et puis, il y a cette très belle phrase prononcée par Ana : « Notre vengeance consistera à survivre » !

On s’attendait au pire, ce qu’on voit est bourré de défauts mais, cependant, il est difficile de ne pas marcher un minimum à la vision de ce mélange de mélodrame et de fresque historique ! Une certitude, toutefois : on aurait beaucoup gagné à ce que le film soit réalisé par Robert Guédiguian !

Excellent film servi par un très bon scénario, une reconstitution historique impressionnante et des acteurs de haut niveau magistralement dirigés ! A ne pas manquer sur grand écran...

Un grand film! Les acteurs subliment l'histoire d'amour sur fond de génocide armenien, Charlotte LeBon est magnifique, Isaac et Bale à la hauteur du talent qu'on leur connait.
Ce que j'ai aimé est que malgré l'histoire tragique du génocide, le film ne verse pas dans le patos tout en n'oubliant pas de rappeler ce qui s'est passé.
Le lobbying turque contre ce film a attiré ma curiosité, le film était noté 2/10 sur imdb 2 mois avant sa sortie en salle aux US (étonnant hein) c'est un trés bon film et mention spéciale à Christian Bale dont je suis un fan inconditionnel.