Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Le Parisien
par Renaud Baronian
Thriller sec et mystérieux, "Koblic" donne des sueurs froides avec son récit qui multiplie les fausses pistes et son personnage central aussi ambigu que fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Avec ce thriller aux allures de western sur fond de dictature argentine, Sebastián Borensztein retrace avec empathie le parcours d’un anti-héros dépassé par l’Histoire, porté par un Ricardo Darín toujours impeccable.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Vanina Arrighi de Casanova
Anti-spectaculaire (à part les quelques dernières minutes) et aride, mais servi par un Ricardo Darin qui excelle dans le rôle du héros taciturne rongé de l’intérieur, le film n’est jamais aussi fort que dans la description de ce climat, sinistre et paranoïaque, de l’Argentine des années 1970.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Guillemette Odicino
Atmosphère viciée, gueules patibulaires : Kóblic rappelle parfois les frères Coen. Entre deux coups de fusil, une scène se détache : Ricardo Darín (l'Al Pacino de Buenos Aires) regarde droit dans les yeux la délicieuse Inma Cuesta (vue dans Julieta, d'Almodóvar).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
1977. Tomas Kóblic, ancien militaire de l'armée argentine, s'enfuit après avoir désobéi. Traumatisé par l'ignominie de la dictature, il se cache dans une petite ville. Mais un vieux flic véreux le repère. Une femme aussi...
Charlie Hebdo
par Sigolène Vinson
Si le film met du temps à s'installer (...) et si quelques scènes tirent en longueur, il possède une vraie et belle identité.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Avec ce film noir, écrasé par un aveuglant soleil métaphorique, le réalisateur d'"El Chino" reconstitue cette période trouble grâce à une mise en scène anxiogène. Ricardo Darín montre une fois de plus la remarquable complexité de son jeu.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Cette histoire qui ménage le suspense se regarde avec plaisir, mais les amours clandestines de Koblic la transforment en bluette moyenne.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Bénéficiant d’une véritable ambiance, ce face-à-face entre Ricardo Darin et Oscar Martínez, excellents, est d’une redoutable efficacité.
Critikat.com
par Benoît Smith
Le film manque de peu de n'être qu'un film consciencieux sur la mauvaise conscience, mais plus appliqué que concerné par ce qu'il filme. Mais un personnage décale au moins d'un poil le sérieux du programme pour le rendre tant soit peu intrigant...
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Trop de facilités scénaristiques (...) gâchent ce drame aux airs de western moderne.
Positif
par Emmanuel Raspiengeas
Le film ne réussit jamais à incarner avec la terreur et la gravité nécessaire, son sujet passionnant.
Le Parisien
Thriller sec et mystérieux, "Koblic" donne des sueurs froides avec son récit qui multiplie les fausses pistes et son personnage central aussi ambigu que fascinant.
Les Fiches du Cinéma
Avec ce thriller aux allures de western sur fond de dictature argentine, Sebastián Borensztein retrace avec empathie le parcours d’un anti-héros dépassé par l’Histoire, porté par un Ricardo Darín toujours impeccable.
Première
Anti-spectaculaire (à part les quelques dernières minutes) et aride, mais servi par un Ricardo Darin qui excelle dans le rôle du héros taciturne rongé de l’intérieur, le film n’est jamais aussi fort que dans la description de ce climat, sinistre et paranoïaque, de l’Argentine des années 1970.
Télérama
Atmosphère viciée, gueules patibulaires : Kóblic rappelle parfois les frères Coen. Entre deux coups de fusil, une scène se détache : Ricardo Darín (l'Al Pacino de Buenos Aires) regarde droit dans les yeux la délicieuse Inma Cuesta (vue dans Julieta, d'Almodóvar).
Voici
1977. Tomas Kóblic, ancien militaire de l'armée argentine, s'enfuit après avoir désobéi. Traumatisé par l'ignominie de la dictature, il se cache dans une petite ville. Mais un vieux flic véreux le repère. Une femme aussi...
Charlie Hebdo
Si le film met du temps à s'installer (...) et si quelques scènes tirent en longueur, il possède une vraie et belle identité.
L'Obs
Avec ce film noir, écrasé par un aveuglant soleil métaphorique, le réalisateur d'"El Chino" reconstitue cette période trouble grâce à une mise en scène anxiogène. Ricardo Darín montre une fois de plus la remarquable complexité de son jeu.
Le Figaro
Cette histoire qui ménage le suspense se regarde avec plaisir, mais les amours clandestines de Koblic la transforment en bluette moyenne.
Le Journal du Dimanche
Bénéficiant d’une véritable ambiance, ce face-à-face entre Ricardo Darin et Oscar Martínez, excellents, est d’une redoutable efficacité.
Critikat.com
Le film manque de peu de n'être qu'un film consciencieux sur la mauvaise conscience, mais plus appliqué que concerné par ce qu'il filme. Mais un personnage décale au moins d'un poil le sérieux du programme pour le rendre tant soit peu intrigant...
Studio Ciné Live
Trop de facilités scénaristiques (...) gâchent ce drame aux airs de western moderne.
Positif
Le film ne réussit jamais à incarner avec la terreur et la gravité nécessaire, son sujet passionnant.