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Wylan
20 abonnés
169 critiques
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3,5
Publiée le 23 octobre 2019
Très bonne suite j'ai vraiment adoré et agréablement surpris. Ca fait plaisir de voir revoir Angelina Jolie elle se fait rare au cinéma. Le film est un bijou visuellement ils sont fort chez Disney avec cette aspect du merveilleux. Si il y a un troisième opus j'irais le voir avec un grand plaisir
Une suite dont l'histoire est moins convaincante et passionnante que son modèle. Par ailleurs, le film est beaucoup plus sombre avec des enjeux dramatiques étonnants, comme cette allusion intentionnelle aux chambres à gaz (impensable pour un Disney). Le final est quant à lui trop convenu, avec un happy ending moralisateur à la sauce hollywoodienne. 2,5/6
Les petites princesses (et princes, sans préjugés) sautaient partout d'excitation, en pleine admiration pour la belle Maléfique, et l'on peut dire que Disney a su leur en mettre plein les yeux. Des créatures magiques à foison qui sortent d'endroits colorés et féeriques, une Angelina Jolie au charisme sauvage et imposant en Maléfique qui fait de l'ombre aux anciennes princesses cuculs, et une guerre injuste au profit d'une acariâtre belle-mère (beaucoup de gendres et bru vont rêver longtemps de la fin...). Elle Fanning n'est pas vraiment mise en valeur, tout comme le jeune acteur qui campe le Prince Philippe (qui fait carrément décoration à la fin), mais on suit avec plaisir et sans s'ennuyer la ténébreuse créature ailée. On en apprend davantage sur son origine, et les quelques gags sont bons (lorsque Maléfique s'entraîne à se présenter poliment...). Mais la fin est brouillonne : bourrée d'incohérences et de facilités (spoiler: l'attaque des créatures ailées sans aucune arme face à un peuple qu'ils savaient blindé d'artilleries... Peut-on vraiment croire à un plan d'attaque aussi inconscient ?! Sans parler d'Elle Fanning qui se jette sur un drap au nœud mal fait, qui préfère pleurer plutôt que pousser la belle-mère qui est pile devant un précipice qui n'attend que ça ...), avec le pire design d'ours qu'il m'a été donné de voir (le mélange avec le bec de corbeau est hideux et ridicule à la fois), et une spoiler: résurrection qu'on voit venir à cent mètres... Il n'en reste pas moins que le film, avant cette fin ratée, est très intrigant et bien servi par une Angelina Jolie décidément sublime et indomptable... Et c'est bien comme cela qu'on aime Maléfique, sublime et indomptable.
Si le film est moins noir et inattendu que le précédent on a quand même un formidable conte fantastique avec beaucoup d'action, de magie, de féerie et des effets spéciaux top niveau de la grande maison Disney sans compter tous les premium que sont les costumes, décors, photographie, prises de vue, etc. Et puis il y a quand même les acteurs et au premier titre l'incroyable Angelina Jolie qui comme le phénix, présent dans la thématique de ce film, renaît toujours de ses cendres. Elle est ici exceptionnelle, exceptionnellement belle et avec toujours cette aura, ce charisme, cette présence, cette personnalité qui fait d'elle une actrice à part et qui transforme chacune de ses apparitions en événements. Bien des seconds rôles intéressants, pas tous, mais une Michelle Pfeiffer qui elle aussi revient sur le devant de la scène et livre ici un rôle de méchante apte à lutter avec Angelina Jolie, avec également talent, présence, autorité. Enfin reconnaissons à Elle Fanning, véritable poupée de porcelaine, qui semble souvent venir d'une autre époque et être éternellement coincée à son âge d'adolescente, une évolution, un passage à l'âge adulte, une prestation par moments de rebelle, ce qui la décoince vraiment de son rôle de princesse fade, mignonne et un peu naïve. Et puis il y a la divine surprise dans ce scénario d'une nouvelle race, magique, féerique, qui explique beaucoup de ce qu'est maléfique et qui au passage nous fait approcher les thèmes actuels de la biodiversite et de la capacité de se partager le monde et vivre en harmonie sur la planète Terre. Maléfique sera confrontée au dilemne, au choix, au combat contre ses pulsions et ses émotions et comme un Jedi le défi sera de ne pas se tourner vers le côté obscur de la force. Un magnifique et sublime film féerique et fantastique, certes sans beaucoup de surprises mais volontairement tout public. Peu importe, c'est beau et on ne s'ennuie pas une seconde avec une bonne dose d'humour saupoudrée ça et là. Une réussite.
Un film réussi, bien que moins que le premier. Le scénario est faiblard mais compensé par la beauté visuelle des scènes et le duel au sommet entre trois actrices talentueuses. Une critique plus détaillée et d'autres sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.fr
Trois années après Alice de l’autre côté du miroir, c’est au tour de Maléfique d’obtenir une suite avec un scénario cette fois-ci totalement nouveau. Alors que la princesse Aurore règne sur la Lande, le prince Philippe ressurgit afin de lui demander sa main, espérant ainsi unifier leurs deux royaumes. Si la Belle au Bois Dormant est toujours jouée par Elle Fanning (The Neon Demon, Les Proies), Brenton Thwaites laisse le rôle du prince à Harris Dickinson. Alors qu’un mariage est organisé au château du royaume de Philippe, Maléfique et Aurore sont amenés à rencontrer le bon roi John et la pernicieuse reine Ingrith, brillamment interprétée par Michelle Pfeiffer (Dark Shadows, Mother, Le Crime de l’Orient-Express). Comme la scène d’introduction le suggère, on découvre également que Maléfique fait partie d’un peuple de Fées Noires, qui vont rapidement de sentir menacées face aux humains qui avaient déjà décimées une partie de leurs semblables.
Plus encore que le premier volet, Le Pouvoir du Mal traite de l’ambition de conquête démesurée des hommes face aux peuples dits moins civilisés, avec la perduration de la légende comme quoi Maléfique est dangereuse malgré la bonté qui l’anime. La scène du repas a de quoi provoquer la malaise tellement la rigidité des traditions transparaît dans les manières et les paroles des personnages, sans parler des consignes données aux soldats par le général (« Le premier qui quitte son poste sera pendu. »). Angelina Jolie assure toujours en jouant une Maléfique qui marque une fois de plus le coup spoiler: en assombrissant la séquence par sa magie et sa colère face aux provocations de la reine Ingrith , les effets spéciaux se montrant toujours aussi impressionnants. Les relations entre Aurore et celle qu’elle considère comme sa mère se complexifient tandis que spoiler: la guerre est intérieurement déclarée entre les deux royaumes , la communication extérieure laissant croire aux fées que le mariage aura bien lieu.
La trahison de la reine Ingrith dévoile un arrière du décor somptueux avec un passage secret morbide à son image spoiler: menant à un sous-sol où les soldats préparaient déjà les armes . L’idée de la réutilisation du maléfice par le fuseau est bonne mais sa mise en place aurait mérité une conséquence moins prévisible. L’ingénieure exécutrice Gerda, jouée par la brillante Jenn Murray (Dorothy, Les Animaux Fantastiques), est un personnage très réussi dans son comportement psychotique aussi bien à l’arbalète que lorsqu’elle joue de l’orgue avec une mise en scène tout aussi dérangeante. Le scénario orienté vers la guerre laisse place à des plans aériens efficaces et met très en avant le peuple des Fées Noires, notamment le leader Conall sous les traits de Chiwetel Ejiofor (American gangster, Doctor Strange, Le Roi Lion), et le guerrier Borra interprété par Ed Skrein (Le Transporteur héritage, Deadpool Alita Battle Angel), leur maquillage et leur jeu n’étant pas sans rappeler Le dernier des Mohicans.
Très classique dans le fond, Maléfique Le pouvoir du Mal est tout aussi réussi que son aîné grâce à des situations variées et à des décors fantastiques de toute beauté. Aurore est cette fois-ci bien plus mise en avant tandis que les antagonistes sont clairement identifiables pour un affrontement d’anthologie. Le serviteur Diaval y a également un rôle plus important, sa forme humaine lui permettant une courte séquence d’infiltration tandis que la magie n’opère plus. Le background des fées prend une nouvelle dimension avec ce peuple inattendu spoiler: et la renaissance en Phénix prend tout son sens étant donné l’origine des pouvoirs de Maléfique. La réalisation de ce passage est d’ailleurs magnifique, entre la désintégration en cendres et la violence portée par la poudre rouge. Une belle suite qui fait honneur au genre du film fantastique !
Une suite particulièrement réussie. Angelina Jolie est toujours aussi crédible dans le rôle de cette sorcière au grand cœur. La réalisation est très soignée et les effets spéciaux techniquement très réalistes. Ce second volet apporte une consistance aux personnages et en particulier entre les deux mondes dont la confrontation est inévitable. Il est vraiment recommandé de voir tout d'abord le premier film pour comprendre la relation de cette sorcière avec les humains. Un très bon moment de cinéma à partager en famille.
« Maléfique : Le pouvoir du Mal » est un second volet convaincant et fort divertissant, avec une histoire originale qui apporte un très bon développement du personnage de Maléfique, avec une véritable féerie visuelle et enfin un casting attachant.
Ma critique complète : http://mediashowbydk.com/2019/10/22/critique-film-malefique-le-pouvoir-du-mal/
Ce film est juste magnifique. L'histoire est superbe. Les images sont sublimes, les effets spéciaux suivent bien aussi. Angelina comme dans le premier est super. En fait ce film est meilleur que le premier, plus d'action et d’émotion... Tout va pour le plus mal, et tout fini super bien. Bon, même un scenario bien que simpliste (La petite princesse ne veut pas écouter sa maman et tout part en vrille) il est très bien amené. Le retournement de situation fait vraiment plaisir bien que deviné assez facilement (c'est un Disney donc c'est normal) Je le recommande bien qu'il faut avoir vu le premier pour comprendre en entièreté les enjeux. Un super Disney. Continuez à nous offrir d'aussi bon film merci.
Le principal handicap de Maléfique : Le Pouvoir du Mal réside dans son refus de mettre en scène des corps en proie au désir alors que seul le désir peut expliquer les dynamiques de construction et de destruction à l’œuvre dans le film et qui réunissent ou désunissent des acteurs ici déguisés pour la fête de fin d’année de l’école primaire du quartier. La relation intime censée unir la princesse Aurore à Maléfique n’est jamais palpable, semble constamment remise en cause voire niée par la caractérisation des personnages, et c’est aussitôt tout l’apprentissage – la domestication ? – du premier opus qui passe à la trappe. Comment s’attacher à une histoire centrée sur le conflit entre mère et fille si celles-ci n’éprouvent l’une pour l’autre aucun trouble, si la complexité du sentiment est évacuée au profit du manichéisme le plus abscons ? Comment croire à la passion amoureuse en scrutant le visage terne et mono-expressif de l’actrice Elle Fanning ou d’Harris Dickinson, que nous avons pourtant vu fortement érotisé il y a peu devant la caméra de Xavier Dolan ? ils disparaissent avec les fonds verts, font office de décorum plutôt navrant. Certes, l’époque style néo-renaissance fantaisiste dans lequel se déroule l’intrigue exige une modération des démonstrations affectives, mais à ce point ! Nous ne ressentons rien, et les personnages non plus. En outre, ce ne sont jamais les sentiments qui conduisent Aurore à éprouver du remords ou de l’affection pour Maléfique, mais seulement la découverte de son innocence par le biais d’une preuve matérielle – elle a la vision du méfait. Se substitue donc à la valeur affective la valeur morale et judiciaire. Bien triste réduction qui tue dans l’œuf toute réflexion sur la maternité ou sur les faux-semblants à l’œuvre dans la conquête du pouvoir. C’est dire que cette suite fait beaucoup de bruit mais réfléchit peu : ses dialogues s’avèrent fort mauvais et plombent les touches d’humour apportées en début et fin de long-métrage. On se demande également comment un univers aussi factice et excessivement sucré duquel est bannie toute peinture du sentiment amoureux peut prétendre tenir un réquisitoire écologiste contre l’exploitation par l’homme de la nature. Il aurait fallu, pour cela, capter de véritables décors ou, à défaut de nature, restituer par l’artificiel un souffle, une tranquillité menacés. En lieu et place, une boursouflure numérique dopée aux plans courts et montés à toute vitesse, ce qui est le propre des grandes productions hollywoodiennes contemporaines, et dont le réalisateur – le responsable du dernier et désastreux volet de la saga Pirates des Caraïbes – est passé maître. N’oublions pas que les enfants ont une attention aujourd’hui fort limitée et qu’il faut stimuler leur rétine toutes les dix secondes : balancez les fées horribles, saupoudrez de fleurs, changez plusieurs fois la couleur de la robe de la mariée (au risque d’en faire une boule à facettes) et vous obtiendrez un public ravi, non pas qualitativement, mais bel et bien collé à l’écran et aux images qu’il fait défiler. Que retenir de ce second (et dernier ?) volet de Maléfique ? Un peu de positif, tout de même : la qualité de composition de certains plans, preuve que le réalisateur a une certaine vision du cauchemar et qu’il réussit, le temps de quelques scènes brèves, à figurer. La reprise de la partition originale signée James Newton Howard par Geoff Zanelli, qui prolonge les thèmes et en propose de nouveaux. Enfin, un certain sens du spectacle et du spectaculaire qui offre un combat final plutôt bien mené et aux jeux de couleurs intrigants, avec notamment des fumées rouges qui s’échappent des murailles pour former des amas maintenus dans les airs. C’est pas grand-chose, mais c’est déjà ça.
La suite fait écho visuellement aux précédents films d’animation du studio comme Alice au pays des merveilles et, bien sûr, au film original, mais les effets ont progressé à pas de géant. Le monde technicolor des fées est immersif et agréable. Cela semble presque réel et le travail des personnages signifie que les créatures apparaissent gentilles, vivantes et beaucoup moins effrayantes que dans les précédentes aventures de Disney. De même, le travail de créature ici est impressionnant et quelques-unes des créations semblent avoir été inspirées par l'une des acquisitions les plus récentes de Disney, Star Wars, et constituent une avancée considérable par rapport aux exemples souvent étranges qui ont inspiré la vallée. Créations CGI. Comme son prédécesseur ce fil est une épopée fantastique qui perd parfois son sens quand il s'agit de faire le tour de la narration. Contrairement au premier film, cette suite dépasse les contraintes du conte de fées classique sur lequel elle repose. Des graphismes impressionnants et une distribution très regardable en font un film de pop-corn amusant qui tire son épingle du jeu quand il se penche sur ses racines de genre et qu'il vise à créer un monde de conte de fées vraiment fantastique. Plus de chroniques sur culturevsnews.com
Je l'admet que c'est rare que Disney fasse d'excellente suite aux films qu'ils produisent... Mais même si sont box office est et sera moin bien que le premier tout en restant rentable, le film reste très bon. Le scénario est prévisible et classique tout en restant correcte et bien amené. La réalisation est impeccable, on voit bien que le réalisateur a du niveau (merci pirates des caraïbes). Quand à l'humour et au jeu d'acteur rien à dire, Angelina Jolie toujours aussi mackiavélique, et pour le reste c'est très bien. Je recommande..!!
un très bon film.Une jolie princesse et prince.Le démarrage on s'accroche après ça déçoit, par moment des blagues lourdes.Mais l'histoire est toujours captivantes,des scènes impressionnantes et émouvantes