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Cinemadourg
778 abonnés
1 527 critiques
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3,5
Publiée le 19 octobre 2019
5 ans après la sortie d'un "Maléfique" très réussi, Disney nous propose cette suite au pays des princes, des princesses et des fées. L'univers est comme le premier volet : magique et fantastique ! Angelina Jolie est toujours aussi envoûtante dans ce rôle de méchante au coeur tendre, elle est de plus bien entourée par la délicieuse Elle Fanning et l'inquiétante Michelle Pfeiffer. Du très grand et très beau spectacle, mais qui s'éloigne de plus en plus du conte originel de "La Belle au bois dormant" et qui est selon moi un léger ton en dessous du film de 2014. Un bon moment tout de même pour toute la famille. Site www.cinemadourg.free.fr
Comme chacun sait, il est très difficile, voire impossible de réussir une suite, même si le film original était de très grande qualité, mais, dans ce cas précis, la magie et la féérie opèrent, et c’est vraiment une réussite. On sort de la salle totalement enchanté !
Mention spéciale à Aurore, la Princesse. Aussi stupide qu'une clinche. Histoire absurde et grotesque. Zéro profondeur dans les personnages. Une belle coquille vide.
Point positif : l'Ecologie
PS : Les 5 Fanboys arrêtez de dislike les com négatifs c'est ridicule ^^'
Au top ! Images magnifiques, on rentre dans le film très rapidement et on n'y sort plus... Pas la peine d'être adepte de film fantastique pour apprécier.
À voir ! Absolument ! Tout est présent et magnifique musique, images, histoire, interprétation, effets spéciaux... Un futur monument du septième art. Moi je retourne le voir.
C’est un Disney qui rappelle parfois Games of Thrones, Avatar, Le Seigneur des Anneaux, Narnia, parfois La Belle au Bois Dormant. Il ne faut pas manquer le début qui introduit la féerie visuelle, la forêt vert sombre et habitée de petites créatures, le peuple mignonnet des champignons. C’est d’ailleurs à ça (et aux acteurs) qu’on s’attache –plutôt qu’au scénario. Synopsis : la Maléfique de La Belle au Bois Dormant de 1959 revient, après un premier retour en 2014. Ce scénario pourtant a de bons ancrages dans l’actualité, rabâchant, entre quelques messages écologiques, que c’est la peur qui divise les gens, qu’il faut valoriser ce qui nous attire plutôt que ce qui nous repousse… Mais c’est le visuel qui l’emporte. Avec les acteurs. Ceux qu’on attend et qu’on adore sont bien sûr Angelina Jolie (Maléfique) et Michelle Pfeiffer (la gentille reine). Maléfique n’est pas si maléfique, et la gentille reine est peut-être bien la peste, ce n’est pas grave. C’est bien de voir le rappeur Ed Skrein jouer un agitateur de créatures magiques, et de voir Sam Riley jouer Diaval, le corbeau de Maléfique, le seul humoriste du film. Quant à Elle Fanning (la princesse Aurore), elle joue quasiment depuis qu’elle est née, et bof. Le prince Philippe perd au change d’avoir été remplacé depuis 2014, mais bon. En fait, on ne sait pas trop pour qui est ce film. On ne s’ennuie pas, on n’est pas emballé non plus. Il faudrait demander à un enfant, ou un ado. En tout cas, quand on aime quelqu’un qui aurait envie de le voir, il faut y aller. A.G.
Il n'y avait pas grand intérêt à faire une suite à Maléfique, honorable mais très oubliable production Disney qui avait le mérite de donner un rôle de méchante en or à Angelina Jolie. Cette suite, bien que très joli visuellement, souffre d'un scénario encore plus mièvre que le premier épisode. Tout est attendu et le film suit un cahier des charges si balisé qu'il ne laisse jamais aucune part à l'imaginaire. C'est plat et déjà vu, malgré une belle scène de bataille finale qui relève le niveau de l'ensemble. Reste les prestations assez savoureuses d'Angelina Jolie et de Michelle Pfeiffer qui s'amusent des stéréotypes de leurs personnages. Sans être un naufrage, cette suite, à peine divertissante, ne présente que peu d'intérêts.
Kitsh, ridicule, minable,... Du grand n'importe quoi cette chose. Non seulement Elle Fanning ne sert à rien durant tout le film, mais est dedans l'incarnation de la cruche écervelée et tête à claque. Chacune de ses apparitions est un calvaire. Le scénario c'est du vu et revu, puis le pseudo background des origines de Maléfique est grotesque.
Un produit Disney sans intérêt si ce n'est pour les effets spéciaux. Pas de scénario des acteurs sans relief et une musique assourdissante pour compenser le vide du film.
J'ai beaucoup hésité entre 2,5 ou 3 étoiles pour ma note. Si je devais juger le visuel uniquement de cette suite de Maléfique, clairement je mettrais 5 étoiles car Disney, a, comme d'habitude, mis le paquet pour les effets spéciaux et ils sont superbes. La féerie de la Lande et de ses créatures sont un délice visuel. Malheureusement, le scénario me pousse à mettre 2,5 car il est beaucoup trop plat et très prévisible dans ce film. Il ne se passe pas grand-chose de trépidant si ce n'est à la toute fin. Il y a tout de même quelques moments sympathiques qui m'auront arrachés un sourire mais on est bien loin du premier opus en terme de qualité et de développement de l'histoire. Angelina Jolie est par contre toujours aussi excellente dans son rôle, Michelle Pfeiffer arrive réellement à nous faire détester son personnage, Elle Fanning apporte pas mal d'émotions à la princesse Aurore et Diaval offre un peu d'humeur à cette adaptation qui tire trop en longueur. J'ai beaucoup aimé le premier et je ne crache pas sur le second mais honnêtement "Maléfique" (le 1) se suffisait à lui-seul.
Cinq ans après la première relecture du comte La belle au Bois Dormant, Maléfique revient enrichir son univers si féérique. Les Landes sont toujours aussi envoutantes, les créatures qui les peuplent sont nombreuses et travaillées, c’est toujours agréable à voir, et ça immerge bien dans le fantastique. On confirme aussi que le rôle de Maléfique va comme un gant à Angelina Jolie, elle dégage un charisme dans ce costume qu’on ne peut nier. Une base excellente pour un film excellent ? Malheureusement, pas complétement : Le gros défaut du film vient de son scénario, vu et revu, prévisible au possible, avec en plus des passages totalement incohérents, des facilités ridicules alors qu’avec cinq minutes de réflexion, on pouvait largement améliorer ça. Paresse ou manque de temps, dans tous les cas, on prend un peu le spectateur pour une bille. Tout n’est cependant pas gâché, on suit l’aventure avec plaisir, on est charmé par cette grande méchante et on apprécie de voir les pouvoir en action ! Visuellement encore, on en prend plein la vue, entre les balades en forêt, dans les grottes ou dans le ciel, le dépaysement est garanti ! Au final, le pouvoir du mal a le syndrome des suites de grosses licences : Le potentiel est un peu gâché, on sent l’envie de faire des gros billets en continuant d’exploiter un univers accrocheurs, et tant pis pour le laxisme scénaristique, les plus indulgents des spectateurs ne trouveront rien à redire !
On en prend plein la vue et plein les oreilles : les images, les effets spéciaux, l'animation, les bruitages, ... tout y est très travaillé, trop travaillé ! Cela donne le tournis et frise l'excès. Une fois de plus, la forme l'emporte sur le fond. Malgré quelques petites trouvailles dans le scénario, le vide est assez vide.
Comme on pouvait s'y attendre, l'intrigue n'était pas spécialement bien gérée et la qualité de ce film n'effleurait pas celle du premier. Déçu, je ne considère pas cette suite comme une véritable suite, mais belle et bien comme une fan fiction commerciale permettant de se nourrir du succès du premier film. À regarder une fois, comme on regarderait un film de Noël américain pondu à la chaîne. J'espère que dans l'avenir, nous arriverons à retrouver de bons films investis d'idées originales, et non des production légèrement bâclées et ma approfondis, donc le but n'est que le profit. Le film n'est pourtant pas horrible pour autant, il est juste décevant en comparaison de l'intensité du premier film...
On aurait pu se laisser séduire par cette suite mais les effets spéciaux ne font pas tout. Outre un scénario convenu et des ressorts scénaristiques prévisibles, on baigne dans le sirupeux et le politiquement correct, puisque ce compte médiéval européen a été bêtement adapté aux canons désormais chers à Disney. La diversité ici moyen ageuse est ridicule à souhait.