Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Charlie Hebdo
par Gérard Biard
(...) un "super-héros" bien plus attachant que les couillons encapés qui volettent de blockbuster en blockbuster.
Elle
par Kalindi Ramphul
Si la trame narrative du film reste classique, l’originalité de "American Hero" tient surtout à sa forme, celle du docu-fiction. Le récit est entrecoupé de courtes interviews face caméra au cours desquelles les personnages racontent leurs relations avec le héros. Naissent alors des monologues courts mais gracieux.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
Voilà une vraie bouffé d'air frais entre deux blocbusters survitaminés, prouvant qu'il y a toujours de la place pour un cinéma indépendant proposant un regard décalé.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Très touchant, ce film hors normes balance entre portrait hilarant d'un trublion en perdition, drame social et saga de superhéros, un équilibre fragile dont il se sort avec brio en usant des effets spéciaux avec parcimonie.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Par-delà les dimensions métaphorique et satirique du récit, le portrait touchant de la Louisiane et de ses “héros”.
Libération
par Gilles Renault
Sympathique récit de rédemption, ce septième long métrage de l’Anglais pourtant peu coté Nick Love ("The Sweeney", "The Firm"…) doit beaucoup à l’identification de l’acteur avec son personnage mal embouché de loser, conforme à la trajectoire de Stephen Dorff.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Culturopoing.com
par Miriem Méghaïzerou
Dès lors que Melvin se rachète une conduite, le souffle libertaire retombe. Le film commence par une critique sociale acerbe et truculente de l’Amérique bien-pensante et triomphe caricaturalement dans le manichéisme.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par François Forestier
Tout cela n'a pas grand intérêt, mis à part le fait que Stephen Dorff est idéal en lumpen-bohème : le metteur en scène, Nick Love ("Street Dance 2"), fait le job minimum et laisse Dorff mener sa barque. C'est sympa, mais c'est maigre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Entre misère sociale, drame familial et itinéraire de rédemption, un film au ton original, mais qui, erratique comme son personnage, peine un peu à trouver sa voie.
Le Monde
par Noémie Luciani
Situé dans La Nouvelle-Orléans post-Katrina, ce faux documentaire consacré à un trentenaire oisif doté du pouvoir de télékinésie semble vouloir offrir une réflexion sur l'Amérique qui reste à l'état d'ébauche. Plus réussie est la chronique d'héroïsme ordinaire d'un père indigne décidé à devenir un bon père.
Le Point
par Philippe Guedj
L'attachement à ce héros fragile et à ce film qui ne l'est pas moins l'emporte surtout sans mal grâce à l'authenticité des personnages et à une juste gestion de l'émotion, qui culmine lors d'un très joli plan final.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Télérama
par Nicolas Didier
À l'image de son anti-(super)héros, le film a le mérite de rompre avec la solennité et l'emphase. Et de revenir à de petits trucages, modestes et efficaces : un Rubik's Cube en suspension, c'est nettement plus impressionnant que les déluges de gravats numériques d'"X-Men : Apocalypse".
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Une fable sociale un peu bancale, pas vraiment exploitée, habitée par des personnages attachants.
Critikat.com
par Benoît Smith
Un produit un peu hybride, entre balbutiements d’un docu-menteur un peu racoleur, film de super-héros sans costume tentant une ironie très commerciale, petit drame moraliste, et qui ne brille sur aucune de ces pistes faute de vrais choix sur ce qu’il a envie de raconter.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le film ne tient pas ses promesses pseudodocumentaires et s’embourbe dans la complaisance.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
(...) ce film (...) ne dit rien sur le concept du héros - américain ou autre - et se contente de personnages superficiels placés dans des situations peu palpitantes.
L'Express
par Christophe Carrière
Entre "Hancock" pour le politiquement incorrect et "Chronicle" pour le côté vrai-faux reportage, "American Hero" a le cul entre deux chaises et n'a aucun superpouvoir pour décoller.
Charlie Hebdo
(...) un "super-héros" bien plus attachant que les couillons encapés qui volettent de blockbuster en blockbuster.
Elle
Si la trame narrative du film reste classique, l’originalité de "American Hero" tient surtout à sa forme, celle du docu-fiction. Le récit est entrecoupé de courtes interviews face caméra au cours desquelles les personnages racontent leurs relations avec le héros. Naissent alors des monologues courts mais gracieux.
L'Ecran Fantastique
Voilà une vraie bouffé d'air frais entre deux blocbusters survitaminés, prouvant qu'il y a toujours de la place pour un cinéma indépendant proposant un regard décalé.
Le Parisien
Très touchant, ce film hors normes balance entre portrait hilarant d'un trublion en perdition, drame social et saga de superhéros, un équilibre fragile dont il se sort avec brio en usant des effets spéciaux avec parcimonie.
Les Fiches du Cinéma
Par-delà les dimensions métaphorique et satirique du récit, le portrait touchant de la Louisiane et de ses “héros”.
Libération
Sympathique récit de rédemption, ce septième long métrage de l’Anglais pourtant peu coté Nick Love ("The Sweeney", "The Firm"…) doit beaucoup à l’identification de l’acteur avec son personnage mal embouché de loser, conforme à la trajectoire de Stephen Dorff.
Culturopoing.com
Dès lors que Melvin se rachète une conduite, le souffle libertaire retombe. Le film commence par une critique sociale acerbe et truculente de l’Amérique bien-pensante et triomphe caricaturalement dans le manichéisme.
L'Obs
Tout cela n'a pas grand intérêt, mis à part le fait que Stephen Dorff est idéal en lumpen-bohème : le metteur en scène, Nick Love ("Street Dance 2"), fait le job minimum et laisse Dorff mener sa barque. C'est sympa, mais c'est maigre.
Le Dauphiné Libéré
Entre misère sociale, drame familial et itinéraire de rédemption, un film au ton original, mais qui, erratique comme son personnage, peine un peu à trouver sa voie.
Le Monde
Situé dans La Nouvelle-Orléans post-Katrina, ce faux documentaire consacré à un trentenaire oisif doté du pouvoir de télékinésie semble vouloir offrir une réflexion sur l'Amérique qui reste à l'état d'ébauche. Plus réussie est la chronique d'héroïsme ordinaire d'un père indigne décidé à devenir un bon père.
Le Point
L'attachement à ce héros fragile et à ce film qui ne l'est pas moins l'emporte surtout sans mal grâce à l'authenticité des personnages et à une juste gestion de l'émotion, qui culmine lors d'un très joli plan final.
Télérama
À l'image de son anti-(super)héros, le film a le mérite de rompre avec la solennité et l'emphase. Et de revenir à de petits trucages, modestes et efficaces : un Rubik's Cube en suspension, c'est nettement plus impressionnant que les déluges de gravats numériques d'"X-Men : Apocalypse".
Voici
Une fable sociale un peu bancale, pas vraiment exploitée, habitée par des personnages attachants.
Critikat.com
Un produit un peu hybride, entre balbutiements d’un docu-menteur un peu racoleur, film de super-héros sans costume tentant une ironie très commerciale, petit drame moraliste, et qui ne brille sur aucune de ces pistes faute de vrais choix sur ce qu’il a envie de raconter.
L'Humanité
Le film ne tient pas ses promesses pseudodocumentaires et s’embourbe dans la complaisance.
Studio Ciné Live
(...) ce film (...) ne dit rien sur le concept du héros - américain ou autre - et se contente de personnages superficiels placés dans des situations peu palpitantes.
L'Express
Entre "Hancock" pour le politiquement incorrect et "Chronicle" pour le côté vrai-faux reportage, "American Hero" a le cul entre deux chaises et n'a aucun superpouvoir pour décoller.