Anna Halprin et Rodin - Voyage vers la sensualité : Critique presse
Anna Halprin et Rodin - Voyage vers la sensualité
Note moyenne
3,0
8 titres de presse
L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
Le Monde
Les Inrockuptibles
Télérama
aVoir-aLire.com
L'Obs
Studio Ciné Live
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Au début, cela ressemble à un simple atelier d’expression corporelle, puis cela prend peu à peu tournure et les élèves interprètent seuls ou à deux, nus ou vêtus, des figures gracieuses s’intégrant parfaitement à la nature (plage ou forêt). Libre et lyrique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
La chorégraphe Anna Halprin s’inspire de l’œuvre de Rodin pour une nouvelle création, passionnante mais affadie par le cinéaste suisse Ruedi Gerber.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Centré sur la préparation d’un spectacle inspiré de l’érotique de Rodin, ce film opère une plongée sensuelle dans le processus créatif de cette gourou de la danse qui intègre l’art, la vie et la nature.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Ce film, accompagné par la musique également assez free de Fred Frith, constitue un témoignage unique de l’expérience, mais n’est pas lui-même spécialement esthétique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Cécile Mury
Un documentaire créatif, un brin trop révérencieux envers l'artiste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Humble et beau, bien qu’un peu trop sage dans son dispositif, le second documentaire de Ruedi Gerber sur Anna Halprin (après "Le souffle de la danse", en 2012), est effectivement un joli film.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
"On doit être profondément fidèle à son corps pour révéler toute la beauté et tout l’amour qui sont en lui", professe Halprin. C’est admirable, tout comme ces danseurs novices, nus ou en survêtement, apprenant à libérer leur corps, épousant les mouvements que leur inspirent le moment et l’environnement, fusionnant avec la nature. Mais cela ressemble davantage à un long reportage d’Arte qu’à du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Faire corps avec la matière, danser nu sur la plage : le programme de la chorégraphe Anna Halprin oscille entre art et philosophie new age. Et, malgré des moments fascinants, flirte avec le ridicule.
L'Humanité
Au début, cela ressemble à un simple atelier d’expression corporelle, puis cela prend peu à peu tournure et les élèves interprètent seuls ou à deux, nus ou vêtus, des figures gracieuses s’intégrant parfaitement à la nature (plage ou forêt). Libre et lyrique.
Les Fiches du Cinéma
La chorégraphe Anna Halprin s’inspire de l’œuvre de Rodin pour une nouvelle création, passionnante mais affadie par le cinéaste suisse Ruedi Gerber.
Le Monde
Centré sur la préparation d’un spectacle inspiré de l’érotique de Rodin, ce film opère une plongée sensuelle dans le processus créatif de cette gourou de la danse qui intègre l’art, la vie et la nature.
Les Inrockuptibles
Ce film, accompagné par la musique également assez free de Fred Frith, constitue un témoignage unique de l’expérience, mais n’est pas lui-même spécialement esthétique.
Télérama
Un documentaire créatif, un brin trop révérencieux envers l'artiste.
aVoir-aLire.com
Humble et beau, bien qu’un peu trop sage dans son dispositif, le second documentaire de Ruedi Gerber sur Anna Halprin (après "Le souffle de la danse", en 2012), est effectivement un joli film.
L'Obs
"On doit être profondément fidèle à son corps pour révéler toute la beauté et tout l’amour qui sont en lui", professe Halprin. C’est admirable, tout comme ces danseurs novices, nus ou en survêtement, apprenant à libérer leur corps, épousant les mouvements que leur inspirent le moment et l’environnement, fusionnant avec la nature. Mais cela ressemble davantage à un long reportage d’Arte qu’à du cinéma.
Studio Ciné Live
Faire corps avec la matière, danser nu sur la plage : le programme de la chorégraphe Anna Halprin oscille entre art et philosophie new age. Et, malgré des moments fascinants, flirte avec le ridicule.