Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Libération
par Clément Ghys
Par son originalité, son foisonnement, les moments d’action ou de pause qu’il implique, "Maestà" est une incongruité visuelle.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jérémie Couston
Le résultat, un majestueux plan fixe d'une heure découpé en vingt-six cases qui s'animent tour à tour, oscille entre tableau vivant et installation. Cette oeuvre de carton-pâte, à la fois triviale et mystique, fascine surtout par son processus de fabrication, lent et collectif, qui rappelle celui de la peinture primitive dont elle s'inspire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Ce n’est pas faire injure au film que de pointer quelque chose de vraiment drôle, presque burlesque, dans un tel projet – que d’efforts, que d’efforts ! (…) Mais "Maesta" dépasse aisément la vanité du tableau vivant.
Critikat.com
par Adrien Dénouette
Stupéfiante et drôle, La Maesta de Guérif dépoussière malicieusement le film d’art. À voir si possible en famille, avec du popcorn.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Noémie Luciani
Andy Guérif parvient à tirer un tableau vivant et, mieux encore, un vrai film, peignant en gloire et dans le temps la beauté du mouvement, des couleurs et des formes. Chaque minute est remarquable, et chaque panneau s'offre à cent lectures différentes.
Libération
Par son originalité, son foisonnement, les moments d’action ou de pause qu’il implique, "Maestà" est une incongruité visuelle.
Télérama
Le résultat, un majestueux plan fixe d'une heure découpé en vingt-six cases qui s'animent tour à tour, oscille entre tableau vivant et installation. Cette oeuvre de carton-pâte, à la fois triviale et mystique, fascine surtout par son processus de fabrication, lent et collectif, qui rappelle celui de la peinture primitive dont elle s'inspire.
Cahiers du Cinéma
Ce n’est pas faire injure au film que de pointer quelque chose de vraiment drôle, presque burlesque, dans un tel projet – que d’efforts, que d’efforts ! (…) Mais "Maesta" dépasse aisément la vanité du tableau vivant.
Critikat.com
Stupéfiante et drôle, La Maesta de Guérif dépoussière malicieusement le film d’art. À voir si possible en famille, avec du popcorn.
Le Monde
Andy Guérif parvient à tirer un tableau vivant et, mieux encore, un vrai film, peignant en gloire et dans le temps la beauté du mouvement, des couleurs et des formes. Chaque minute est remarquable, et chaque panneau s'offre à cent lectures différentes.