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Certes, le film baigne dans une euphorie un peu béate et s'appuie sur une collection de personnages archétypaux (...). Cependant, cette tonalité extasiée (...) reprend simplement les codes de la comédie musicale (...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Rageur, généreux, citoyen, combattant l'apathie, l'amnésie et l'élitisme, Tim Robbins a l'intelligence de tramer son propos politique dans un film d'entertainment efficace et enlevé.
Broadway 39éme Rue dessine une fresque remplie d'anonymes et de personnalités, de scènes primordiales, historiques et / ou dérisoires. D'où une impression de flottement, d'éparpillement.
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
(...) cet acteur passé à la réalisation est loin d'avoir le mordant de son mentor, Robert Altman, et ce film ne dépasse pas la sympathique reconstitution historique. Seul le formidable et mésestimé Bill Murray (...) tire son épingle du jeu.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
(...) le scénario patine dans les à-peu-près et les clichés, Tim Robbins ne se dépatouille ni de la réalisation, terriblement appuyée, ni d'une distribution pléthorique, à laquelle il n'est donné de briller que par instants.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Passant, de sa caméra virevoltante, de l'un à l'autre des nombreux personnages, Tim Robbins signe une fresque joyeuse et colorée, à la gloire de la liberté de l'artiste. Tout de même, on attendait un ton plus mordant.
(...) un film choral avec plein d'entrées. Trop sans doute: le film a une demi-heure de trop et manque de centre. Pourtant, il ne lâche jamais son os : les fluxions de l'espoir-désespoir entre l'art et l'argent.
La critique complète est disponible sur le site Première
(...) on perçoit vite, hélas, les limites de cette reconstitution, d'une fantaisie un peu forcée. Seuls quelques anonymes de l'Histoire inspirent à Tim Robbins de vraies trouvailles.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Broadway 39ème Rue ne possède pas davantage de ton(s) et de style qu'un catalogue de ventes par correspondance, et Tim Robbins semble se ficher pas mal de la mise en scène.
(...) on a beau attendre à chaque instant que le film s'arrache à l'univers qu'il veut décrire pour enfin lui redonner ce souffle de vie qui en fera un bon film, les minutes s'égrènent toujours aussi lentement, désespérément lentement et on reste sur sa faim.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Il y a quelque chose de très désuet, et d'assez attachant, dans cette manière de représenter le passé par petits morceaux. Mais si l'on considère cette leçon au sujet passionnant comme un film, on est forcé d'en constater l'échec.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Chronic'art.com
Certes, le film baigne dans une euphorie un peu béate et s'appuie sur une collection de personnages archétypaux (...). Cependant, cette tonalité extasiée (...) reprend simplement les codes de la comédie musicale (...)
L'Evénement
La profusion des scènes, le crépitement des dialogues (...), le tonus des acteurs (...), font de Broadway 39e Rue un film vif et généreux.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Rageur, généreux, citoyen, combattant l'apathie, l'amnésie et l'élitisme, Tim Robbins a l'intelligence de tramer son propos politique dans un film d'entertainment efficace et enlevé.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cplanet.com
Broadway 39éme Rue dessine une fresque remplie d'anonymes et de personnalités, de scènes primordiales, historiques et / ou dérisoires. D'où une impression de flottement, d'éparpillement.
L'Humanité
(...) cet acteur passé à la réalisation est loin d'avoir le mordant de son mentor, Robert Altman, et ce film ne dépasse pas la sympathique reconstitution historique. Seul le formidable et mésestimé Bill Murray (...) tire son épingle du jeu.
L'Obs
(...) le scénario patine dans les à-peu-près et les clichés, Tim Robbins ne se dépatouille ni de la réalisation, terriblement appuyée, ni d'une distribution pléthorique, à laquelle il n'est donné de briller que par instants.
Lenouveaucinema.com
Passant, de sa caméra virevoltante, de l'un à l'autre des nombreux personnages, Tim Robbins signe une fresque joyeuse et colorée, à la gloire de la liberté de l'artiste. Tout de même, on attendait un ton plus mordant.
Première
(...) un film choral avec plein d'entrées. Trop sans doute: le film a une demi-heure de trop et manque de centre. Pourtant, il ne lâche jamais son os : les fluxions de l'espoir-désespoir entre l'art et l'argent.
Télérama
(...) on perçoit vite, hélas, les limites de cette reconstitution, d'une fantaisie un peu forcée. Seuls quelques anonymes de l'Histoire inspirent à Tim Robbins de vraies trouvailles.
Cahiers du Cinéma
Broadway 39ème Rue ne possède pas davantage de ton(s) et de style qu'un catalogue de ventes par correspondance, et Tim Robbins semble se ficher pas mal de la mise en scène.
Fluctuat.net
(...) on a beau attendre à chaque instant que le film s'arrache à l'univers qu'il veut décrire pour enfin lui redonner ce souffle de vie qui en fera un bon film, les minutes s'égrènent toujours aussi lentement, désespérément lentement et on reste sur sa faim.
Le Monde
Il y a quelque chose de très désuet, et d'assez attachant, dans cette manière de représenter le passé par petits morceaux. Mais si l'on considère cette leçon au sujet passionnant comme un film, on est forcé d'en constater l'échec.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com