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    Le Coeur en braille
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    lionelb30
    lionelb30

    435 abonnés 2 591 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 décembre 2016
    Film plutôt pour enfant. Trop gentillet , histoire pas credible , acteurs pas terrible. Trop simpliste.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 décembre 2016
    Sans surprise dans l'histoire, qui est décrite dans la bande annonce, mais bien foutu et divertissant. On passe un bon moment.
    Laurence G
    Laurence G

    24 abonnés 193 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2016
    Je trouve les critiques injustes, c est une histoire riche en émotions et Victor joue magistralement bien, bravo à Michel Bougenah!!!!
    Albert B
    Albert B

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 décembre 2016
    Très bon film bien réalisé et avec de jeunes acteurs plein de promesses !

    A noter le fils du regretté Philippe Khorsand ...

    Bravo Michel Boujenah
    David L
    David L

    6 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 janvier 2017
    Note : 7/20
    Film décevant dans l'ensemble avec un manque de mise en scène, une interprétation peu convaincante, trop de pathos, un scénario intéressant mais cousu de fil blanc ...
    Stephenballade
    Stephenballade

    395 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 décembre 2016
    Il est presque dommage que le titre révèle que nous allons avoir affaire à une histoire de cécité. Mais quand on connaît Michel Boujenah avec ses qualités de raconteur d’histoires à travers ses spectacles emplis d’une infinie tendresse et d’humanisme, mais aussi de poésie, tout en étant marqués par une certaine férocité dans les propos dénonciateurs, il paraît difficile de résister à aller voir sa troisième réalisation, même si ses deux premiers longs métrages n’ont pas complètement convaincu le public. Oui, il est difficile de résister parce qu’il met en scène deux adolescents en proie à des problèmes qui leur sont propres, et que certains spectateurs reconnaîtront. "Le cœur en braille" a beau être une adaptation du roman éponyme De Pascal Ruter, dont j’ignore si le film est fidèle de près ou de loin à l’œuvre littéraire (puisque je ne l’ai pas lu), mais on peut remarquer qu’on retrouve le même fond que dans "Intouchables" ou "La famille Bélier" : le handicap et les difficultés qui vont avec. D'autant plus que le handicap est traité de la même façon que dans les deux films précédemment cités, à savoir que la pitié est un sentiment que réfutent les personnes touchées par ces handicaps. C’est là que "Le cœur en braille" trouve sa véracité pour porter sur le devant de la scène l’un de ses messages. Pour autant, ce ne sont pas les enfants qui paraissent le plus naturel. Au contraire, ils paraissent plus ou moins encombrés. On le serait à moins à leur place, l’un devant le manque cruel d’une mère, l’autre devant une inéluctable perte de la vue. Mais il leur manque une vraie dimension émotionnelle. Elle est présente, mais à mon sens pas suffisamment exploitée. Selon moi, la palme d’interprétation revient aux pères : d’abord à Pascal Elbé dans la peau d’un gars désœuvré spoiler: par un veuvage douloureux
    , réduit à être l’ombre de lui-même tout simplement parce qu’il a perdu le fil de la réalité de la vie en se réfugiant derrière une supposée idiotie (signe caractéristique et surtout excuse facile de sa condition), à tel point qu’il ne sait même plus comment s’y prendre avec son propre gamin. Un jeu tout en finesse, superbe de subtilité. Puis ensuite à Charles Berling qui joue avec ses tripes un père divorcé mais qui veut décider ce qui semble être le plus approprié pour sa fille envers et contre tout. Ce qui caractérise les deux hommes, c’est leur maladresse, et c’est par eux qu’arrive le second message du film : savoir être à l’écoute de sa progéniture. On peut donc affirmer que "Le cœur en braille" est un spectacle adressé à tous, jeunes et moins jeunes. Et c’est bien grâce à ces deux acteurs chevronnés que le spectateur ne va pas rester indifférent, à condition de regarder ce film avec le cœur (comme le conseille si bien l'affiche). Cependant n’espérez pas rire, car c’est là que Michel Boujenah s’est raté. Dans ses spectacles, il alterne avec virtuosité l’humour, voire la dérision, avec la dramaturgie. Oh il y a bien quelques petits moments qui font sourire, mais ils sont assez rares. C’est dommage, cela aurait fait du bien. La réalisation est classique, la faute sans doute à vouloir trop apporter une sorte d'humilité poétique à cette belle histoire. Car c’est une belle histoire. Mais voilà, l’humour est le grand absent de ce long métrage, sans parler du fait qu’on s’attarde plus sur les devoirs de Victor que sur le travail du violoncelle alors que le but final avoué d’entrée de jeu est une audition au Conservatoire National Supérieur. Il manque parfois aussi du support musical sur les moments-clé, sur des scènes fortes émotionnellement parlant. Car oui, il y a des scènes superbes ! spoiler: Je pense notamment à celle qui se joue devant un container de récupération de vêtements.
    Seulement ces scènes sont trop livrées à elles-mêmes. Soyons honnêtes : "Le cœur en braille" est trop inégal pour qu’il fasse la même carrière que "La famille Bélier" ou "Intouchables". Bien, mais sans plus.
    Emile Strogonoff
    Emile Strogonoff

    45 abonnés 98 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 décembre 2016
    Énième téléfilm porté au cinéma, le Cœur en braille termine l'année 2016 en beauté. Tiré d'un babillard pour moujingues, tous les ingrédients ont été soigneusement réunis pour stimuler la glande lacrymale. Quoi de plus funeste en effet que de bigler une gosseline issue de la haute perdre ses mirettes dans un brouillard d'indifférence ? C'était sans compter, bien entendu, sur Victor, son camaro, frayeur de raclies en devenir, rebelle à la cervelle irriguée au jus de navet, héros des temps modernes décadent. De cette alliance improbable naîtra une connivence défiant les lois du bon sens mais sur laquelle le film va surfer en prenant soin de nous servir tous les poncifs du genre. Unis dans l'infortune les deux mouflets vont se serrer les coudes en s'ingéniant à nous tirer la larmichette de rigueur. Sans négliger à aucun moment les codes de la bobotitude, le réalisateur réussit l'exploit de nous infliger 85 minutes de cette soupe insipide sans même ressentir les affres de l’ignominie. Un film à conseiller à des amis que vous souhaitez "remercier" de vous avoir fait bigler "Père, fils thérapie" en prenant toutefois soin de vous décommander ou de décarrer pendant la pub en prétextant une envie pressante.
    velocio
    velocio

    1 299 abonnés 3 134 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 décembre 2016
    Alors que "Père et fils" et "Trois amis", les deux premiers films réalisés par Michel Boujenah, étaient construits sur des scénarios originaux coécrits par le réalisateur et Pascal Elbé, le troisième, "Le cœur en braille", est l’adaptation d’un roman homonyme de Pascal Ruter, publié en 2012, roman dont un producteur souhaitait confier la réalisation à Pascal Elbé. Changement de programme : Pascal Elbé a fini par pousser Michel Boujenah à lire le livre et à s’emparer de l’histoire. Malgré certaines outrances inutiles (Pourquoi faire de la professeur de mathématiques un personnage au delà de la caricature?), malgré quelques maladresses dans la réalisation, "Le cœur en Braille" est un film qui est loin de laisser indifférent. Michel Boujenah s’avère tout sauf maladroit dans la construction de quelques beaux plans séquence, dont celui, particulièrement réussi, qui réunit Victor et son père à la table d’un petit déjeuner. Et puis, surtout, il donne une peinture très attachante du sentiment amoureux chez les pré-adolescents ainsi qu’une description très émouvante de l’état de désarroi dans lequel se trouve un homme qui n’arrive pas à se consoler de la perte de son épouse et qui a perdu le fil de la réalité de la vie. "Le cœur en braille" est un film qui peut réunir dans la même salle des parents et de jeunes adolescents, en espérant qu’il y ait chez eux une fraîcheur d’esprit qui leur évite de considérer comme niaise une situation pour le moins dramatique.
    Mick1048
    Mick1048

    109 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 janvier 2017
    "Le coeur en braille" est le dernier film que j'ai vu en cette année 2016. Malheureusement, je finis cette année par un très décevant et mauvais film. Il y a très peu de points positifs pour ce film pour le triple de points négatifs. "Leçon N°1 : comment passer à côté de son sujet avec une formidable actrice principale ?" :
    Tout d'abord, je trouve que Alix Vaillot (qui joue le rôle de Marie) est extraordinaire dans le film. C'est le meilleur élément du film : elle est très émouvante et nous fait passer énormément d'émotions rien qu'en regardant la caméra. Elle est belle, jeune et dégage énormément de charme. J'espère réellement qu'elle obtiendra d'autres films au cinéma et qu'elle rejouera dans d'autres films, elle a beaucoup de talent. Une grande carrière d'actrice se profile pour elle. La scène de fin en gros plan sur Marie est excellente et la transition mal voyante/aveugle est faite de façon très émouvante. Pour terminer sur le bon casting, la seule autre actrice qui joue correctement est Aude Ruyter dans le rôle de la mère de Marie. Le reste du casting sera développé plus bas dans les mauvais points.
    Ensuite, le sujet de départ, même si c'est adapté d'un livre, est vraiment original et émouvant. Enfin du moins sur le papier car c'est vraiment mal traité et développé. Le film est pourtant soutenu par des musiques parfois correctes, même si elles ne sont clairement pas extraordinaires.
    Mais tout le reste est extrêmement mauvais ! Tout est mauvais. Tout ! J'ai rarement eu cette sensation au cinéma, de voir un élément exceptionnel (Alix Vaillot) face à tant d'autres éléments totalement mauvais et je n'exagère pas.
    Tout le reste du casting non cité auparavant est mauvais, voire horrible. C'était assommant de tous les entendre autant qu'ils sont mauvais. Ils jouent tous très mal et toutes leurs scènes sont pas du tout crédibles.
    Le petit Jean-Stan du Pac (Victor) tente mais échoue à chaque fois, le réalisateur a insisté lourdement sur le fait qu'il soit le plus petit à l'écran et ça se sent.
    Pascal Elbé (dans le rôle du père de Victor) est un ramassis de clichés : il est un père qui ne s'occupe pas de son fils et qui ment sur sa mère qui est décédée, il est un garagiste incompétent mais dès qu'il y a une jolie fille il pointe son nez et à la fin du film il commence comme par hasard à s'intéresser à son fils... Ses répliques sont niaises et il donne aucune émotion, il ne tente rien.
    Charles Berling (père de Marie) essaye tant bien que mal à jouer son rôle, sauf que sur ses quatre apparitions à l'écran... il ne fait que des histoires, il gueule comme c'est pas possible et son personnage est le stéréotype du genre : père absent et dès qu'il arrive, c'est pour créer des problèmes.
    Les amis de Victor dans le film sont eux-aussi stéréotypés jusqu'à la moelle : le fils musulman/juif avec ses parents "multi-confessionnels" complètement pourris, les professeurs sont l'archétype du cliché même, les différentes disputes entre élèves sont mal jouées et pour finir avec un cliché de même : l'hôtesse du concours. "Oh non c'est trop tard !" dit-elle d'un air agacé. Sans commentaire.
    Ensuite, la réalisation. Honnêtement, c'est l'une des plus mauvaises réalisations que j'ai vu de toute ma vie. Attendez, ce film a 30 ans de retard !! Depuis quand une élève qui rentre en 6ème a un cartable d'école de CP ? Non mais sérieusement ? Et depuis quand l'ami polythéiste de Victor a une sacoche de professeur en tant que sac de cours ? Et depuis quand un enfant de 12 ans parle comme un gentleman ? Et depuis quand 30 secondes après il parle comme un voyou avec ses potes ? Et depuis quand les élèves rentrent dans une salle de classe 30 minutes avant leur professeur ? Et depuis quand les gamins se battent en cours sans recevoir de punition ? Et depuis quand les gens ne changent jamais de vêtements ? Vous m'avez compris, rien n'a de sens dans cette mise en scène ! Tout est à jeter, tout est niais, tout est mal planifié, tout est mal mis en scène. Une calamité.
    Ensuite, un autre vrai problème : le montage. Ce n'est pas un problème sur le déroulé du récit, mais le découpage des scènes est digne d'un enfant de 10 ans. Sérieusement juste un exemple qui revient plusieurs fois : quand une scène est finie et que les acteurs viennent de dire leurs dernières répliques, le caméraman attend quelques secondes avant que le réalisateur dise "coupez!" sauf que ces quelques secondes où les acteurs sont inexpressifs en attendant que le réalisateur donne son signal pour arrêter de tourner, celles-ci se retrouvent dans le film ! Mais sérieusement, à plusieurs reprises, il y a ces cinq secondes en trop et à chaque fois, ça rend la scène pas crédible du tout.
    Je terminerais sur le scénario et les péripéties de l'histoire. J'ai trouvé le tout très mal écrit, les dialogues sont simplistes au possible et c'est tellement rempli de clichés ! Pourtant, le sujet de départ est vraiment touchant, mais c'est tellement mal développée et mal écrit... C'est lent et très peu intéressant malgré le sujet qui est vraiment grave.
    Même si vous l'avez bien compris chers lecteurs, ce film et l'un des plus mauvais de l'année. Et pourtant j'avais réussi à avoir des attentes pour ce film... De Michel Boujenah c'est le premier et dernier film que je vois de lui. Plus jamais !
    3/10
    Lartimour
    Lartimour

    11 abonnés 83 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 novembre 2016
    Voilà une très jolie histoire, entre deux enfants entrant dans l'adolescence, qui ont chacun leurs problèmes, mais qui vont utiliser leur complémentarité pour arriver au bout de leur histoire, de leur rêve. Ce film, plein de tendresse et de poésie, ne laissera insensible ni les jeunes ni les adultes. Michel Boujenah sait raconter des histoires, comme sur scène, avec une tendresse à la fois drôle et féroce.
    Les enfants sont une fois de plus géniaux de naturels.
    Au passage, on voit qu'une fois de plus, ce sont les enfants, qui avec leur spontanéité déconcertante, savent mettre les parents face à leurs propres difficultés, pour déclencher une réaction propice à à la résolution, ou au moins à la prise en charge de leurs problèmes.
    Les deux enfants Alix Vaillot-Swarc et Jean-Stan Du Pac sont vraiment extraordinaires, magnifiquement soutenus et mis en valeur par Charles Berling, Pascal Elbé et Vincent Taloche.
    Ce film devrait avoir une carrière semblable à "La famille Bélier".
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