Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Femme Actuelle
par La Rédaction
Voilà une belle histoire, pétrie d'humour et de tendresse, une sortie idéale pour toute la famille.
L'Express
par Christophe Carrière
Un joli film sur une ado sur le point de devenir aveugle qui évite les écueils mélo liés à ce genre de sujet.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Parfois, les ficelles sont un peu simples, mais ça reste sympathique et ça rend heureux.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Le vert paradis des amours enfantines qui se fond dans un mélo qui fait craindre les débordements : mais Michel Boujenah, le coeur sur la main et le rire toujours tendre, arrive à éviter le pathos.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Pas assez d’aspérité, trop guimauve, diront certains. Si les enfants n’ont plus le droit de manger de bonbons à Noël...
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Le film véhicule un joli message de tolérance et de courage, mais sur un mode vieillot et sans génie.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
La générosité du message touchera peut-être les collégiens (c'est le public visé). Les plus de 15 ans, eux, retiendront surtout les défauts du film : réalisation maladroite, haute dose de bons sentiments, scénario naïf et cousu de fil blanc. C'est triste, mais notre coeur bâille.
Voici
par La Rédaction
Seul à sauver ce mélo : Pascal Elbé, en père dépassé.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le scénario et la mise en scène de Michel Boujenah noient tout ce qu’il y a de cruel, d’émouvant dans cette situation (tirée d’un roman pour enfants) dans un flot d’humour désuet et de réconciliations à répétition.
Première
par Christophe Narbonne
Avec la générosité premier degré qu’on lui connaît, Michel Boujenah signe un portrait de l’adolescence pétri de bons sentiments dans lequel les béquilles (physiques, morales) de chacun sont autant de prétextes pour amplifier le pathos généralisé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre-Julien Marest
Michel Boujenah n'y va pas de main morte : musique sirupeuse, dialogues surécrits, acteurs flottants. La sincérité ne suffit pas quand la maladresse domine à ce point.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Femme Actuelle
Voilà une belle histoire, pétrie d'humour et de tendresse, une sortie idéale pour toute la famille.
L'Express
Un joli film sur une ado sur le point de devenir aveugle qui évite les écueils mélo liés à ce genre de sujet.
Ouest France
Parfois, les ficelles sont un peu simples, mais ça reste sympathique et ça rend heureux.
Le Dauphiné Libéré
Le vert paradis des amours enfantines qui se fond dans un mélo qui fait craindre les débordements : mais Michel Boujenah, le coeur sur la main et le rire toujours tendre, arrive à éviter le pathos.
Le Journal du Dimanche
Pas assez d’aspérité, trop guimauve, diront certains. Si les enfants n’ont plus le droit de manger de bonbons à Noël...
Les Fiches du Cinéma
Le film véhicule un joli message de tolérance et de courage, mais sur un mode vieillot et sans génie.
Studio Ciné Live
La générosité du message touchera peut-être les collégiens (c'est le public visé). Les plus de 15 ans, eux, retiendront surtout les défauts du film : réalisation maladroite, haute dose de bons sentiments, scénario naïf et cousu de fil blanc. C'est triste, mais notre coeur bâille.
Voici
Seul à sauver ce mélo : Pascal Elbé, en père dépassé.
Le Monde
Le scénario et la mise en scène de Michel Boujenah noient tout ce qu’il y a de cruel, d’émouvant dans cette situation (tirée d’un roman pour enfants) dans un flot d’humour désuet et de réconciliations à répétition.
Première
Avec la générosité premier degré qu’on lui connaît, Michel Boujenah signe un portrait de l’adolescence pétri de bons sentiments dans lequel les béquilles (physiques, morales) de chacun sont autant de prétextes pour amplifier le pathos généralisé.
Télérama
Michel Boujenah n'y va pas de main morte : musique sirupeuse, dialogues surécrits, acteurs flottants. La sincérité ne suffit pas quand la maladresse domine à ce point.