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Votre avis sur Sully ?
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Parfait ! Sans fausses notes ! Avec une tête d'affiche qui est vraiment une valeur sûre, une idée sur ce jour incroyable, un Clint Eastwood Encore une fois à la hauteur
Clint Eastwood expose et met brillamment en scène les causes et les conséquences d'une décision humaine sans précédent. Un beau casting à bord complète ce film spectaculaire.
Clint Eastwood a encore signé un bon film, il n'est pas à classer au rang des chefs d'œuvre certes mais tout de même. Le fait qu'il soit tiré d'une histoire vraie augmente son intérêt. Le scénario n'est pas un film catastrophe, ni une banale reconstitution de l'accident, Clint Eastwood aime beaucoup s'intéresser à l'envers du décor et c'est ce qu'il a fait avec brio. Et c'est là tout l'intérêt du film, la lumière et les paillettes que l'on voit dans les médias contre des coulisses beaucoup plus sombres et beaucoup moins "monde des bisounours" comme les médias aiment bien le présenter...
Autre point clé, les acteurs, Tom Hanks et Aaron Eckhart jouent très bien, cela ne m'étonne guère pour le premier qui a fait maintes fois ses preuves au cinéma (La Ligne Verte, Seul au monde...), le second (qui a tenu le rôle de double-face dans Batman) est une bonne surprise dans ce registre.
C'est donc pour moi (encore) un bon film de Clint Eastwood que je garderai dans ma DVDthèque.
Autre point clé, les acteurs, Tom Hanks et Aaron Eckhart jouent très bien, cela ne m'étonne guère pour le premier qui a fait maintes fois ses preuves au cinéma (La Ligne Verte, Seul au monde...), le second (qui a tenu le rôle de double-face dans Batman) est une bonne surprise dans ce registre.
C'est donc pour moi (encore) un bon film de Clint Eastwood que je garderai dans ma DVDthèque.
On ne s'attend pas à ce qu'il y ait autant de détails sur un fait réel mais au moins comprend mieux ce qui s'est passé pendant et après l'accident.
J'ai été surpris qu'il y ait eu une autre polémique suite aux sauvetages.
J'ai été surpris qu'il y ait eu une autre polémique suite aux sauvetages.
Encore un grand film signe eastwood avec un tom hanks qui ne vieillit pas. On retrouve enecore ce grand acteur. Eastwood se penche surtout sur l'apres crash . Il en tire unee réflexion sur l'héroïsme dans une amerique post 11 septembre.. Le montage du film est parfait avec des flash back sur l'accident.. Pas de scènes superflues mais un grand film.
je ne comprends pas ce film ou les decideurs qui ont mis le pognon sur la table. ok le fait reel est extraordinaire mais le film est ordinaire, un simple état des faits avec les etats d'âme de tom hanks en sus. c'est tout. certes on reconnait la sobriété de traitement de Eastwood qui finalement vaut mieux qu'un film prétexte au god bless the great america mais ça s'arrête là. panne, amerrissage, enquête et tom hanks qui retourne les enqueteurs comme des crêpes à la fin. lumière et comme diraient les inconnus : "on prends son manteau, on s'en va". ajouté à ça un seul vrai rôle tenu par Hanks et rien autour. car l'acteur ( très bon dans pas mal de films) qui joue le copilote avec sa moustache à la super mario n'a rien à faire du film mis à part cirer les pompes amoureusement de tom hanks en lui repetant sans cesse combien il est extraordinaire. bof bof. un film sur un amerissage miracle qui coule dans l'océan de notre indifférence.
Belle surprise pour ce film. Histoire captivante et Tom Hanks offre un super jeu d'acteur. On ne voit pas le temps passer
Si la fluidité de la narration, la clarté du récit sont les principales caractéristiques du classicisme, alors Sully, le dernier film de Clint Eastwood, est bien une œuvre classique.
Le héros n'en est pas un: c'est un pilote d'Airbus qui, après 42 années de bons et loyaux services, continue à faire son travail sans passion exubérante mais avec la maîtrise parfaite de son appareil, de ses réactions et la conscience lucide de son immense responsabilité. C'est Tom Hanks, qui s'améliore de rôle en rôle et qui s'est fait ici la tête du vrai commandant de bord que l'on découvre au générique final.
Sully (c'est son surnom) est appelé à témoigner et à se défendre devant une commission d'enquête désignée par les compagnies d'assurances, - commission dans laquelle on reconnaît la Mme White de la série Breaking bad et le père de Kurt dans Glee: on lui reproche curieusement d'avoir sauvé la vie de tous les passagers et membres d'équipage d'un avion frappé dès le décollage par une nuée d'oiseaux et ne disposant plus d'aucun moteur. Selon le protocole et les ordres donnés par la tour de contrôle, le commandant aurait dû rejoindre l'aéroport de La Guardia; son instinct, son expérience lui font rejeter cette solution et tenter d'amerrir sur l'Hudson, ce qui n'a jamais été fait avant lui. Si les gens dans la rue voient en Sully un véritable héros, ce qui surprend beaucoup ce paisible pré-retraité, en revanche les simulations numériques démontrent que le retour sur l'aéroport d'origine était possible et que le commandant a pris des risques inconsidérés.
Celui-ci va alors montrer que les simulations ne prennent pas en compte un facteur essentiel: le facteur humain face à une situation totalement inédite, non prévue dans "les règlements".
Le film n'est pas une ode à l'héroïsme individuel: il insiste au contraire sur la parfaite osmose entre le pilote et le co-pilote, et surtout sur la nécessaire intervention combinée de tous les sauveteurs au moment où l'avion percute les eaux glacées de l'Hudson.
L'accident est d'abord vu à travers les cauchemars de Sully, qui ne peut qu'être marqué par le rapprochement évident avec les événements du 11 septembre, puis montré à plusieurs reprises: la reconstitution de l'événement est parfaite, les phobiques des transports aériens sont priés de s'abstenir.
Le héros n'en est pas un: c'est un pilote d'Airbus qui, après 42 années de bons et loyaux services, continue à faire son travail sans passion exubérante mais avec la maîtrise parfaite de son appareil, de ses réactions et la conscience lucide de son immense responsabilité. C'est Tom Hanks, qui s'améliore de rôle en rôle et qui s'est fait ici la tête du vrai commandant de bord que l'on découvre au générique final.
Sully (c'est son surnom) est appelé à témoigner et à se défendre devant une commission d'enquête désignée par les compagnies d'assurances, - commission dans laquelle on reconnaît la Mme White de la série Breaking bad et le père de Kurt dans Glee: on lui reproche curieusement d'avoir sauvé la vie de tous les passagers et membres d'équipage d'un avion frappé dès le décollage par une nuée d'oiseaux et ne disposant plus d'aucun moteur. Selon le protocole et les ordres donnés par la tour de contrôle, le commandant aurait dû rejoindre l'aéroport de La Guardia; son instinct, son expérience lui font rejeter cette solution et tenter d'amerrir sur l'Hudson, ce qui n'a jamais été fait avant lui. Si les gens dans la rue voient en Sully un véritable héros, ce qui surprend beaucoup ce paisible pré-retraité, en revanche les simulations numériques démontrent que le retour sur l'aéroport d'origine était possible et que le commandant a pris des risques inconsidérés.
Celui-ci va alors montrer que les simulations ne prennent pas en compte un facteur essentiel: le facteur humain face à une situation totalement inédite, non prévue dans "les règlements".
Le film n'est pas une ode à l'héroïsme individuel: il insiste au contraire sur la parfaite osmose entre le pilote et le co-pilote, et surtout sur la nécessaire intervention combinée de tous les sauveteurs au moment où l'avion percute les eaux glacées de l'Hudson.
L'accident est d'abord vu à travers les cauchemars de Sully, qui ne peut qu'être marqué par le rapprochement évident avec les événements du 11 septembre, puis montré à plusieurs reprises: la reconstitution de l'événement est parfaite, les phobiques des transports aériens sont priés de s'abstenir.
Le 15 janvier 2009 à New York, un Airbus A320 de la compagnie US Airways fait un amerrissage d’urgence sur l'Hudson River avec 155 personnes à son bord. Considéré du jour au lendemain comme un héros tel que l’Amérique les adore, le commandant Chesley Sullenberger devra néanmoins faire face, tout comme son copilote Jeffrey Skyles, aux effets secondaires de ce véritable exploit ainsi qu'aux enquêteurs du Conseil national de la sécurité des transports. L’intelligence et le grand mérite du film est de privilégier avant tout le facteur humain de cet incident au détriment de son côté sensationnel. Un choix parfaitement tenu par la vision de Clint Eastwood. Et même si certaines scènes reviennent par deux fois, « Sully » garde sa ligne de conduite avec force, efficacité et sobriété. Une belle surprise avec dans les rôles-titres, Tom Hanks et Aaron Eckhart, parfaits tous les deux.
Deux ans après l'excellent "American Sniper", le grand Clint Eastwood s'attaque à un autre fait réel, qui cette fois-ci avait défrayé la chronique au début de l'année en 2009. Narrant les exploits de Chesley Sullenberg, un pilote qui avait réussi le miracle d'amerrir sur l'Hudson, "Sully" parvient à retranscrire à la perfection ce miracle en se centrant davantage sur la figure du personnage principal et de sa tourmente, que du simple film catastrophe. Basé sur le roman « Highest Duty », écrit par Sullenberger et son co-pilote, l’histoire sait nous tenir en haleine durant la bonne heure trente de film sans jamais nous lasser. Clint Eastwood, fort de son expérience aux commandes de long-métrage, nous décrit avec efficacité et sobriété la descente aux enfers, puis la rédemption du pilote, accusé par son administration d'avoir pris des risques inconsidérés. Une belle bataille de l'humain rondement menée, face à une bureaucratie de chiffres, de simulateurs et de paramètres en tous genres qui condamnaient l'action héroïque de ce pilote. Le metteur en scène a l'idée brillante de nous proposer une lecture des événements au travers différents protagonistes. Des passagers aux contrôleurs aériens en passant par les habitants de la ville de New York, rien n'est laissé au hasard et cette dynamique nous permet d'avoir une vision panoramique de cet amerrissage osé et pourtant réussi. Interprété par un duo d'acteurs fantastique, le long-métrage jouit de la présence de Tom Hanks et de son partenaire à l'écran, Aaron Eckhart, qui font jeu égal pour le plus grand plaisir du spectateur. Ainsi, avec "Sully", Clint Eastwood s'offre une belle réussite avec ce biopic en évitant la multitude de pièges face à une telle adaptation. Efficace et sobre à l'image du héros.
Porté par un Tom Hanks toujours très en forme, secondé par un Aaron Eckhart qui n'est pas en reste, Sully est un excellent drame, transposant de manière plus psychologique que visuelle l'amerissage réussi d'un avion de ligne en plein coeur de New York. Clint Eastwood impose une nouvelle fois son savoir-faire dans un long métrage assez simple mais très efficace et prenant. Une bonne surprise!
Excellent film sur le thème classique de l'homme ordinaire plonge dans un environnement qui le dépasse.
Tom Hanks y est extraordinaire et, cerise que le gateau, le film est court.
Tom Hanks y est extraordinaire et, cerise que le gateau, le film est court.
Je me suis demandé si c'est le film lui même qui m'a plu ou si c'est l'histoire assez hallucinante qui m'a emporté. Tom Hanks est pile dans son registre, en sobriété et en plissements de front, et il n'a pas vraiment de concurrence. Aaron Eckhart a un vrai rôle de faire valoir.
Quant à la réalisation de Clint, je n'ai pas adhéré à cette première demi-heure qui se déroule après l'événement. C'est long, j'attendais des images spectaculaires en me demandant si elles allaient venir à un moment. Et puis au bout d'une heure, Clint lâche les chevaux et là c'est magique. Cet avion qui traverse New-York pour finir dans l'Hudson!
J'ai retenu cette phrase, marquante: pour une fois qu'on a une bonne nouvelle à New-York avec un avion!
Quant à la réalisation de Clint, je n'ai pas adhéré à cette première demi-heure qui se déroule après l'événement. C'est long, j'attendais des images spectaculaires en me demandant si elles allaient venir à un moment. Et puis au bout d'une heure, Clint lâche les chevaux et là c'est magique. Cet avion qui traverse New-York pour finir dans l'Hudson!
J'ai retenu cette phrase, marquante: pour une fois qu'on a une bonne nouvelle à New-York avec un avion!
Un bon film. Avant de le lancer je ne m'imaginais absolument pas tout ce que ce genre "d'événement" pouvait engendrer. Cette incertitude et cette peur de ne pas avoir réagi de la bonne façon sont vraiment jouées à la perfection par Tom Hanks. Un très bon biopic, et globalement un bon film.
Je ne comprends pas comment on peut aimer ce film. Même critique que pour la plupart de films de Clint Eastwood: lent, long, morne et fin en queue de poisson (American Sniper, Gran Torino...)
Allez voir Flight pour une vraie leçon de réalisation sur un sujet quasi identique.
Allez voir Flight pour une vraie leçon de réalisation sur un sujet quasi identique.
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