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38 titres de presse
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20 Minutes
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Critikat.com
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Libération
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Marianne
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Positif
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Transfuge
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Bande à part
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CNews
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Cahiers du Cinéma
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Elle
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Femme Actuelle
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L'Express
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L'Obs
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LCI
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La Croix
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La Septième Obsession
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Le Dauphiné Libéré
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Le Journal du Dimanche
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Le Monde
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Le Point
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Ouest France
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Public
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Sud Ouest
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Télérama
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Voici
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Franceinfo Culture
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La Voix du Nord
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Les Fiches du Cinéma
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Les Inrockuptibles
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Télé 7 Jours
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aVoir-aLire.com
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L'Humanité
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
20 Minutes
(...) somptueux "Sully".
Critikat.com
Précision, tel est le maître mot du personnage et la clef de sa rédemption, mais aussi le maître mot du film, qui s’impose discrètement comme l’une des plus belles réussites du cinéaste.
Libération
Le vœu pieux qu’il exprime, véritable «doudou» idéologique évocateur du cinéma utopiste de Frank Capra, n’en confirme pas moins que le cinéaste Clint Eastwood demeure souvent bien plus complexe, multiple, in fine fréquentable, que l’homme.
Marianne
Nous sommes - le mot est adéquat - transportés. Transportés par le pari narratif et technique formidablement réussi (...).
Positif
Si "Sully" est d'abord un excellent film d'action, il propose aussi une réflexion qui fait écho à celle de "Mémoires de nos pères" (...). En un sens, l'exploit de Sully importe moins que sa réception et les trois réactions qu'il suscite.
Transfuge
À la confusion politique ambiante, au relativisme triomphant, "Sully" substitue avec la douceur narquoise d'un vieil action man l'évidence limpide des faits. Eastwood, le guérisseur.
Bande à part
C’est un film catastrophe dont on connaît la fin, heureuse, du bon et grand spectacle, qui disserte sur l’héroïsme de ce quinquagénaire et sur toutes les forces déployées par les sauveteurs.
CNews
Tom Hanks, qui joue sous la houlette d’Eastwood pour la première fois, est impeccable, et la mise en scène du réalisateur de Gran Torino à son meilleur.
Cahiers du Cinéma
Un drame assourdi et sec, où l’orage gronde sous la surface d’une mise en scène à la maîtrise olympienne.
Elle
Pour incarner ce pilote d’US Airways, nouvel héros américain, qui mieux que Tom Hanks ? L’acteur est quasiment mutique dans le film. Homme de peu de mots dans ce long-métrage, tout comme son réalisateur, Tom Hanks parvient à habiter physiquement Sully et à nous surprendre en trouvant un rythme qui lui est propre.
Femme Actuelle
Multipliant les points de vue, Clint Eastwood confronte le pilote à ses doutes et célèbre son héroïsme, celui d'un type ordinaire confronté à un événement extraordinaire. Une reconstitution haletante.
L'Express
Eastwood ne filme pas la grandeur passée, il se demande qui sont les héros d'aujourd'hui. Sully, comme tous les autres, défend son intégrité, assume ses choix.
L'Obs
(...) ce qui frappe ici, c’est le manque absolu de prétention d’un film qui se trouve en adéquation parfaite avec son personnage principal et l’histoire racontée. Et si l’instinct d’Eastwood le conduit à s’égarer parfois (...) ses films démontrent la sûreté de son point de vue.
LCI
À travers cet anti-film catastrophe sur un vol à l’aboutissement new-yorkais heureux, ce sont tous les démons du 11 septembre qu’exorcise en effet Clint Eastwood. De quoi donner une dimension supplémentaire à ce biopic qui, sous ses apparentes simplicité et efficacité, imprimera durablement la filmographie de son réalisateur.
La Croix
Clint Eastwood s’empare de l’amerrissage réussi d’un Airbus sur l’Hudson, à New York en 2009, et réussit un film sobre et bouleversant sur l’expérience et la responsabilité.
La Septième Obsession
Peut-être faut-il voir Sully deux fois pour en prendre pleinement la mesure et saisir ce qui se trame vraiment sous l’apparent ronronnement de l’enquête technique, dont l’issue est cousue de fil blanc.
Le Dauphiné Libéré
Un fait divers célèbre qui offrait toutes les ressources d’un film catastrophe spectaculaire et formaté, mais que Clint Eastwood traite à sa façon, minimale et maîtrisée, à l’image d’un scénario tendu et d’une interprétation tout en sobriété de Tom Hanks.
Le Figaro
Le film décolle, accomplit son trajet, atterrit sans encombre. On a peur. On enrage. On soupire de soulagement. Soudain, nous sommes tous des pilotes d'US Airways. Quel plaisir, de passer par toute la gamme des émotions. C'est de la belle ouvrage, du garanti sur facture. La chose mérite d'être saluée.
Le Figaroscope
"Sully" achève de ranger Clint Eastwood, avec Steven Spielberg, parmi les derniers grands cinéastes classiques hollywoodiens. De ceux capables de raconter l’histoire de leur pays et de panser les blessures. Du grand art.
Le Journal du Dimanche
Méconnaissable, Tom Hanks fait preuve d’une remarquable sobriété pour montrer le désarroi d’un professionnel qui n’a désobéi aux ordres que pour sauver ses passagers, et va se battre pour défendre sa réputation.
Le Monde
Le réalisateur partage son film, de manière assez virtuose, entre le retour inquiété des deux héros (remarquables et complémentaires Tom Hanks et Aaron Eckhart), tenus de se justifier devant la commission d’enquête, et la reconstitution de l’accident proprement dit, rendue exaltante par la découpe dramaturgique, la vraisemblance des trucages, la beauté plastique.
Le Parisien
La construction du film crée une incroyable tension dramatique, l'image est magnifique et Tom Hanks impeccable.
Le Point
Tant pis pour la surprise et la complexité, mais l'élégance de cet atterrissage en douceur, après la claque poisseuse d'"American Sniper", mérite plus que de l'indulgence : du respect.
Ouest France
Grâce à un montage de grande volée, Clint Eastwood en fait un film à suspense réussi.
Public
Au-delà de la scène de crash, très spectaculaire, filmée avec maestria par le vétéran Clint Eastwood, "Sully" est aussi le portrait d'un héros ordinaire et un hommage à tous ces pilotes anonymes qui tiennent nos vies entre leurs mains et nous mènent à bon port.
Studio Ciné Live
Un grand film.
Sud Ouest
Clint Eastwood réitère la séquence, essore l'émotion et pourtant, jamais il ne va chercher le pathos. A l'instar de Sullenberger, il fait le job à la perfection. L'expérience, le talent, le sens de la dramaturgie lui dictent un film efficace et noble.
Télérama
C'est une histoire qui se joue en moins de quatre minutes. Et Clint Eastwood en fait un film captivant d'une heure trente, sans donner le sentiment d'un quelconque remplissage.
Voici
Dans le rôle du pilote aux nerfs d'acier et à la morale inflexible, Tom Hanks rappelle une fois de plus qu'il est un héritier de James Stewart et de cette image solide du All-American Guy.
CinemaTeaser
Le film que fait Clint Eastwood patine par moments, mais celui que façonne Tom Hanks avec son interprétation est bouleversant.
Ecran Large
Étouffé par une mise en scène sclérosée, Sully demeure un formidable terrain de jeu réflexif pour le moraliste Eastwood.
Franceinfo Culture
Méticuleux et bon conteur, Eastwood insuffle une bonne dose de suspense dans le déroulement de l’action. Une performance d’autant plus réussie que l’on en connaît pourtant les tenants et aboutissants par avance.
La Voix du Nord
Rien de bien neuf ni de véritablement passionnant, n’était-ce l’attirail dont use le cinéaste pour faire avaler son propos. Filmé au cordeau, taillé à la serpe, pas un plan de trop, montage serré. L’art de la mise en scène !
Les Fiches du Cinéma
Clint Eastwood s’empare de la figure héroïque du pilote de ligne Chelsey Sullenberger grâce à la prestation de Tom Hanks, mais ne transcende pas un scénario confus.
Les Inrockuptibles
Un film anti-héroïque sur l'héroïsme, un travail sobre, modeste, presque dépassionné (...), Eastwood conduit avec un sérieux de vieux sage, totalement émancipé des rouages du storytelling, cet objet à la fois droit et retors, étrangement beau dans sa manière de sublimer la quasi-platitude du film dossier.
Télé 7 Jours
Comme dans "Capitaine Phillips", Tom Hanks excelle dans la peau du héros ordinaire : son charisme bonhomme crève l'écran. Tandis que son complice Clint Eastwood, 86 ans, décoche avec talent et malice une flèche acérée au dikatat du tout électronique déshumanisé.
aVoir-aLire.com
Avec papy Tom Hanks qui n’en finit plus de jouer les plans de carrière pépères, "Sully" laisse l’impression d’un cinéma vétuste, celle d’une psychologie au rabais où les émotions sont par trop télécommandées pour nous troubler.
L'Humanité
Le sempiternel couplet viril à la Eastwood, fustigeant la bureaucratie et la technologie au nom du pragmatisme. Bref, un "Dirty Harry" en version pacifique, où le vieux ronchon d’Hollywood sert de caisse de résonance à la vox populi. Un pensum bien-pensant aux figures lisses et inconsistantes.