AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
1,7
1397 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur The Craft - Les nouvelles sorcières ?
5
4 critiques
4
4 critiques
3
8 critiques
2
23 critiques
1
20 critiques
0
27 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Suite direct de the craft sortie en 1996, qui inspira la série Charmed, on y suit à nouveau 4 apprentie sorcières.
Comme le premier (qui a très mal vieillie au demeurant), le film est très à visé publique d'ado.
On y a toute les caricatures de personnages en vogue à notre époque (la mère célib qui élève seul sa fille, l'ado paumé, la black, la fille transgenre, le mec bi, ect..). Le jeu d'acteur n'est pas trop dégueulasse mais le cliché des personnages leur laisse peu de marge.
Cailee Spaeny tiens bien son rôle de même que Nicholas Galitzine (même si il y a un peu de sur-jeu). On y retrouve aussi David Duchovny, dont le cliché d’écriture du personnage et le faite que ça soit Duchovny enlève tout suspense quant au climax du film.
Le scénario démarre dans un cliché de paresse, pour proposer de l’inattendu en milieu de film, pour finir par se vautrer lamentablement avec un final digne d’une série ado des années 90.
La musique quant à elle est littéralement insipide (au moins le 1 avait laissé un thème).
Mais la plus grosse déception vient du personnage de Fairuza Balk qui reprend son rôle de Nancy Downs, même si the Craft, dangereuse alliance n’était clairement pas un chef d’œuvre, l’interprétation de Fairuza Balk (même si un peu caricatural) marquait.
La faire revenir pour l’apparition qu’elle fait (avec juste une phrase hors champ) rajoute au côté « gros loupé » et au côté « suis-je entrain de voir un film ou le pilote d’une série M6 ? »
Bref 14ans de on fait une suite, ou un reboot et autre blabla pour un tel résultat, franchement pour le coup la covid a épargné au gens d’aller dépenser du fric à blanc.
Note : 5/20 et je suis gentil
Comme le premier (qui a très mal vieillie au demeurant), le film est très à visé publique d'ado.
On y a toute les caricatures de personnages en vogue à notre époque (la mère célib qui élève seul sa fille, l'ado paumé, la black, la fille transgenre, le mec bi, ect..). Le jeu d'acteur n'est pas trop dégueulasse mais le cliché des personnages leur laisse peu de marge.
Cailee Spaeny tiens bien son rôle de même que Nicholas Galitzine (même si il y a un peu de sur-jeu). On y retrouve aussi David Duchovny, dont le cliché d’écriture du personnage et le faite que ça soit Duchovny enlève tout suspense quant au climax du film.
Le scénario démarre dans un cliché de paresse, pour proposer de l’inattendu en milieu de film, pour finir par se vautrer lamentablement avec un final digne d’une série ado des années 90.
La musique quant à elle est littéralement insipide (au moins le 1 avait laissé un thème).
Mais la plus grosse déception vient du personnage de Fairuza Balk qui reprend son rôle de Nancy Downs, même si the Craft, dangereuse alliance n’était clairement pas un chef d’œuvre, l’interprétation de Fairuza Balk (même si un peu caricatural) marquait.
La faire revenir pour l’apparition qu’elle fait (avec juste une phrase hors champ) rajoute au côté « gros loupé » et au côté « suis-je entrain de voir un film ou le pilote d’une série M6 ? »
Bref 14ans de on fait une suite, ou un reboot et autre blabla pour un tel résultat, franchement pour le coup la covid a épargné au gens d’aller dépenser du fric à blanc.
Note : 5/20 et je suis gentil
"The craft : les nouvelles sorcières"... 3 jeunes filles apprenti sorcière attende la 4e pour pouvoir enfin trouver un pouvoir dans la sorcellerie, une fois que Lilith arrive dans le coin elles vont, toutes les 4, pouvoir exercer à un tout autre niveau...sauf que le beau père de Lilith n'a pas l'air d'apprécier.
Piou piou que ce fut a ce mettre en place...pendant plus de une heure c'est une fable pour ado ennuyant, on attend a ce que cela se bouge une fois qu'elles maîtrise leur pouvoir ou qu'on comprend qui est l'ennemi mais même quand c'est le cas punaise zzzzzzz. Pensait avoir des moments de trouille avec des bruits etc...Pourtant il y avait matière a faire quelque choses de pas trop vilain...et que dire du combat final qui dur aussi longtemps qu'un 100m de Bolt!!!! Mulder était présent ben comprend pourquoi on le voit pas souvent si c'est pour faire ce genre de film...
NOTE : 2/10
Piou piou que ce fut a ce mettre en place...pendant plus de une heure c'est une fable pour ado ennuyant, on attend a ce que cela se bouge une fois qu'elles maîtrise leur pouvoir ou qu'on comprend qui est l'ennemi mais même quand c'est le cas punaise zzzzzzz. Pensait avoir des moments de trouille avec des bruits etc...Pourtant il y avait matière a faire quelque choses de pas trop vilain...et que dire du combat final qui dur aussi longtemps qu'un 100m de Bolt!!!! Mulder était présent ben comprend pourquoi on le voit pas souvent si c'est pour faire ce genre de film...
NOTE : 2/10
Compliqué de faire un film qui ressemble a quelque chose, quand tu essaie de cocher absolument tous les sujets woke.. Ca se confirme ici, le film qui se veut pro féminisme, pro lgbt, anti patriarcat et j'en pense, nous sert au final une soupe particulièrement indigeste, caricaturale, confusionniste, offensante et stérile à la fois. A ranger délicatement dans la poubelle. 1/5
Ce n'est pas mal fait techniquement, les actrices jouent correctement, la réalisation est potable. Mais dans le contenu, au niveau de l'écriture, c'est une telle caricature de la pensée woke que ça en devient franchement risible. On est à la limite du lavage de cerveau.
Jamais vu un film avec un scénario aussi mal fait , pour un film qui a été réalisé en 2020 on dirait qu’il a été fait en 2012
Aucune personne sensée n’aurait prédit un grand avenir à ‘Dangereuse alliance’, sorti quinze ans avant la vague des teen-movies fantastiques. Pourtant, l’entropie propre au cinéma fit que cette guéguerre entre sorcières adolescentes devint l’un des succès inattendus de l’été 96, vu par tous les ados de l’époque (y compris votre serviteur). Vingt cinq ans après les faits, décision a été prise de mettre en chantier ce reboot - en réalité une suite - et qui, malheureusement, ne démarre pas très bien et finit pire encore. S’il reprend assez fidèlement les bases de son modèle, sa facture méchamment téléfilmesque l’empêche de dégager la moindre ambiance digne de ce nom, là où ‘Dangereuse alliance’ parvenait à développer un semblant de personnalité propre. Bon gré mal gré, le nouveau venu tente de s’adapter à la réalité de 2020 mais il le fait si maladroitement que c’est un sentiment de pitié condescendante qui finit par s’imposer. Par exemple, on s’étonnera que pour une production ouvertement dédiée à l’empowerment féminin hier comme aujourd’hui, le quatuor fonctionne beaucoup moins bien que celui d’autrefois : en dehors de la New Girl in town, ses consoeurs sont réduites à des faire-valoir transparentes et caquetantes. Et on sourira devant l'essentialisation rapide qui semble dire que si un gros con devient woke (fut-ce par magie), il est probable qu’il vire aussi gay par effet secondaire. De toute façon, tout le projet se casse la gueule dans sa dernière ligne droite. Au lieu et place des enjeux de pouvoir et de responsabilisation plutôt intéressants du film des années 90 (ici abordés et abandonnés dans le même mouvement), la scénariste sort de son chapeau un antagoniste basique lequel, faute d’avoir pu se voir doté de motivations valables, se voit réduit à sa profession de coach pour hommes fragilisés, traité avec une certaine mesure durant tout le film mais qui se retrouve subitement affublé de pupilles noires (car par essence, le mâle, c’est le mal). Ce n’est même pas qu’on violente mes souvenirs de boutonneux, c’est que vu que l’époque actuelle s’y prêtait quand même pas mal et sans même revenir sur sa facture fauchée, il devait quand même être possible de tirer de la - désormais - franchise quelque chose d’un peu plus dégourdi, en tout cas qui ne donne pas l’impression d’avoir été conçu dans une logique de dogmatisme aussi simplette.
Complètement anecdotique, le film ne peut même pas être qualifié de mauvais tant il n'a aucun caractère. Une pâle copie du premier, sans âme, sans originalité, avec des acteurs de second rang ou qui n'y croient pas une seconde, tout cela expédié en deux temps trois mouvements avant même qu'il n'y ait eu le moindre enjeu. Ce n'est même pas désagréable à suivre, juste une perte de temps...
Cette suite du premier opus de 1996 est clairement un raté. Pas grand chose ne va... Et rien ne renvoie vraiment au message pourtant bien pensé du premier opus. Je vous résume rapidement :
spoiler:
dans le premier opus, les 4 filles se retournent les unes contre une autre par soif de pouvoir et de vengence - en clair, le pouvoir rend dingue
mais là... On plonge dans un délire de copines qui vont faire les gentilles contre le méchant.
Discours féministe ridiculement exagéré, ambiance de teenage movie à la hauteur d'un épisode de Dawson, ça pue le biactole, et ça ne rend rien à l'écran. Même les effets spéciaux rasent le sol... Et je vous assure que je suis méchant en général, mais là je ne peux pas accepter qu'on mette au dessus de la moyenne. Ce film est lourd, mou, mal foutu...
Le scénario, pas la peine d'en parler, il n'existe pas.
Je mets deux étoiles, une pour Michelle Monaghan et l'autre pour David Duchovny. Parce que leur carrière et leur charisme ne méritent pas d'apparaître dans un film au zéro pointé. Et aussi pour les jeunes actrices qui ont subi l'arnaque de leur vie en signant pour jouer dans ce truc.
Franchement, pour ceux qui ne connaissent pas, allez voir le premier film qui a le mérite d'être un bon passe-temps, et évitez cette suite qui vous fera perdre votre temps.
mais là... On plonge dans un délire de copines qui vont faire les gentilles contre le méchant.
Discours féministe ridiculement exagéré, ambiance de teenage movie à la hauteur d'un épisode de Dawson, ça pue le biactole, et ça ne rend rien à l'écran. Même les effets spéciaux rasent le sol... Et je vous assure que je suis méchant en général, mais là je ne peux pas accepter qu'on mette au dessus de la moyenne. Ce film est lourd, mou, mal foutu...
Le scénario, pas la peine d'en parler, il n'existe pas.
Je mets deux étoiles, une pour Michelle Monaghan et l'autre pour David Duchovny. Parce que leur carrière et leur charisme ne méritent pas d'apparaître dans un film au zéro pointé. Et aussi pour les jeunes actrices qui ont subi l'arnaque de leur vie en signant pour jouer dans ce truc.
Franchement, pour ceux qui ne connaissent pas, allez voir le premier film qui a le mérite d'être un bon passe-temps, et évitez cette suite qui vous fera perdre votre temps.
Premier film ou me réal a ENFIN compris que les vrai sorcière ne sont pas des personne qui agite des baguette en crient des mot latin, ni des meuf gothique qui invoque des démons dans des caves. Même si leur représentation est trèèèèèès limité sa reste un pas vers une meilleur représentation de la sorcière modèrne. En revanche ne regarder pas ce film en passant voir un film d'horreur ( il est classer horreur juste parceque son prédécesseur en était un). Ce film contient également des valeur LGBT (avec des perso trans et bi) et également de la masculinité toxique. Ce film n'est pas nomplus un grand film ça rester un film de divertissement donc ne vous attendez pas à un truc de fou mais il reste agréable à regarder.
Franchement j'ai adoré on parle de nombreux problèmes de la société d'aujourd'hui (homophobie, racisme) tout en mêlant un univers magique
spoiler:
Certes on n'a pas compris pourquoi Adam était méchant mais j'ai bcp aimé l'univers de ce film spoiler:
(je veux un 3!)
spoiler:
Certes on n'a pas compris pourquoi Adam était méchant mais j'ai bcp aimé l'univers de ce film spoiler:
(je veux un 3!)
Je suis très déçue en regardant la bande annonce je me suis que sa pouvait être bien regardé mais franchement le genre de se filme cest pas horreur mais aventure le film ne fait pas peur du tout très dessu
J'ai vraiment adoré l'univers, la diversité des personnages. Par contre il y a quelques moments qui sont trop rapides et la fin est un peu abrupte, je pense donc qu'il y aura une suite.
Pendant la première moitié, on se dit que The Craft pourrait bien créer une nouvelle mythologie autour d’un sujet déjà fort usé. Malheureusement, Il n’en est rien. D’abord, parce qu’on a le sentiment que le budget a été vu le plus possible à la baisse, avec des effets spéciaux quasi-inexistants, au mieux très laids, dans de brèves apparitions. Ensuite, parce qu’on fait face à une deuxième partie ultra expéditive, si expéditive, qu’on ne peut s’attacher aux personnages. Et enfin, qu’on se le dise, même si la réalisatrice essaie de masquer la très (très) grosse influence de Charmed, on ne peut s’empêcher de faire la comparaison.
Côté propos, les masculinités toxiques et le harcèlement scolaire sont des sujets traités de manière si superficielle et binaire, que cela en est presque affligeant.
The Craft aurait sans doute pu faire office d’un épisode pilote assez intéressant pour une série de la CW, mais n’a ni l’envergure, ni sa place sur une affiche de cinéma. On comprend mieux pourquoi ce ne fut pas le cas aux USA.
Côté propos, les masculinités toxiques et le harcèlement scolaire sont des sujets traités de manière si superficielle et binaire, que cela en est presque affligeant.
The Craft aurait sans doute pu faire office d’un épisode pilote assez intéressant pour une série de la CW, mais n’a ni l’envergure, ni sa place sur une affiche de cinéma. On comprend mieux pourquoi ce ne fut pas le cas aux USA.
ATTENTION SPOILERS :
On ne va pas se mentir, ce film n'est pas un chef d'œuvre. Beaucoup trop de perso inexploités, des effets spéciaux douteux et une histoire qui n'a rien à voir avec son trailler.
Néanmoins, j'ai trouvé que cette version colle beaucoup plus à la philosophie de ce qu'on appelle maintenant le féminin sacré (et qu'on appelait sorcellerie avant). Qu'il s'agisse du "bannissement" de perso principal masculin (bannir une attitude négative et intégrer une attitude plus positive chez qq1) ou de l'arc principale du film : l'ennemi des sorcières à toujours été le masculinisme. En fait, j'ai trouvé cette version plus "réaliste" que celle 1996.
Cela dit, je me demande bien comment Nancy a fait pour avoir un enfant alors qu'elle est enfermée depuis ses 17 ans dans un hôpital psychiatrique.
On ne va pas se mentir, ce film n'est pas un chef d'œuvre. Beaucoup trop de perso inexploités, des effets spéciaux douteux et une histoire qui n'a rien à voir avec son trailler.
Néanmoins, j'ai trouvé que cette version colle beaucoup plus à la philosophie de ce qu'on appelle maintenant le féminin sacré (et qu'on appelait sorcellerie avant). Qu'il s'agisse du "bannissement" de perso principal masculin (bannir une attitude négative et intégrer une attitude plus positive chez qq1) ou de l'arc principale du film : l'ennemi des sorcières à toujours été le masculinisme. En fait, j'ai trouvé cette version plus "réaliste" que celle 1996.
Cela dit, je me demande bien comment Nancy a fait pour avoir un enfant alors qu'elle est enfermée depuis ses 17 ans dans un hôpital psychiatrique.
Dur de s'attaquer au reboot (ou la suite selon le point de vue) de Dangereuse Alliance, film de 96 qui comme beaucoup de monde à marquer mon adolescence.
Ici on reste sur plus de 3/4 du film sur du mélo teen movie actuel sans laisser la place à ce qui aurait du être le plus important du film, la magie.
La réalisation est quand même bonne, les personnages sont cohérents mais c'est fade. Heureusement que le format n'est pas de 2h cela dit.
Par contre le clin d'oeil de fin à un effet whaou, j'ai bien apprécier. Même si c'est facile je suis bon client.
Ici on reste sur plus de 3/4 du film sur du mélo teen movie actuel sans laisser la place à ce qui aurait du être le plus important du film, la magie.
La réalisation est quand même bonne, les personnages sont cohérents mais c'est fade. Heureusement que le format n'est pas de 2h cela dit.
Par contre le clin d'oeil de fin à un effet whaou, j'ai bien apprécier. Même si c'est facile je suis bon client.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse