Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Express
par Christophe Carrière
En 2011, Raphaël Jacoulot avait signé Avant l'aube, un autre film noir plutôt réussi. Celui-là, à la fois solaire, humain et stressant, est encore mieux. A ce rythme, la suite promet d'être parfaite.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Raphaël Jacoulot confirme les espoirs placés en lui. Avec maîtrise, il conduit le spectateur sur les mêmes fausses pistes où s’engagent les gens du village, des plus vindicatifs aux plus réservés (...). La distribution est excellente, dominée par l’impeccable Karim Leklou, qui apporte à Josef toute la complexité souhaitée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Marie Soyeux
Le réalisateur a si bien saisi l’implacable mécanisme par lequel les agressivités se répondent et se décuplent, que le spectateur se trouve lui-même happé. Toute la mise en scène entretient sa crispation grandissante face à cet insaisissable antihéros.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Dans un style qui fait penser aux polars d’atmosphère sociale de Chabrol, un apologue sur la différence et le rejet qu’elle entraîne, comme un Dupont Lajoie d’aujourd’hui.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Avec un vrai sens du récit, de la montée en tension et de la dialectique entre ce qui est montré et caché au spectateur, Jacoulot tricote une pelote adroite entre la débilité débonnaire de Josef, une suite de petits faits divers aussi désagréables que d’origine mystérieuse et le portrait patient de la communauté villageoise.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Olivier De Bruyn
Même si le film s'abîme parfois dans la démonstration, la puissance du propos, la singularité du traitement et la conviction des acteurs (Jean-Pierre Darroussin et Grégory Gadebois en tête) font de ce "Coup de chaud" un des films recommandables de l'été.
Première
par Christophe Narbonne
Le drame nous est montré dès la première séquence, car ce qui intéresse Jacoulot, c’est non pas la résolution d’une enquête, mais l’observation patiente de la montée de l’intolérance chez des personnes en apparence respectables.
La critique complète est disponible sur le site Première
Femme Actuelle
par Michel Primault
Une chronique ordinaire et policière d'un village français, servie par une très belle distribution.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
"Coup de chaud" navigue habilement entre drame et polar. Son intrigue sert surtout de prétexte à révéler la noirceur de la nature humaine.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Noémie Luciani
Karim Leklou incarne avec puissance le personnage à la fois touchant et inquiétant du film de Raphaël Jacoulot.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Hubert Lizé
Un film porté par l'interprétation remarquable de Jean-Pierre Darroussin et Grégory Gadebois.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Julien Gester
En dépit d’une mise en scène qui ne se risque guère en dehors des clous du ventre mou du cinéma psychologique français, il faut reconnaître à Raphaël Jacoulot (...) une science certaine de la distribution qui lui permet de figurer, (...) le réseau d’exaspérations dont sa communauté campagnarde est tissée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Pierre Fornerod
Tiré d'un fait divers, le nouveau film de Raphaël Jacoulot est parfois un peu démonstratif. Mais un générique de figures authentiques (Jean-Pierre Darroussin, Grégory Gadebois, Karim Leklou) lui donne de l'intensité.
Sud Ouest
par Sophie Avon
malgré ses qualités d'approche, le cinéaste n'évite pas l'écueil d'une exposition trop longue (...). Plus intéressante, en revanche, la seconde partie s'ouvre sur l'enquête de police qui délie les langues, exsude les remords et dénoue, de manière frontale mais intense, le nœud gordien d'un récit en forme de fable contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Guillemette Odicino
Même si sa mise en scène est plus démonstrative que dans Avant l'aube, son film précédent, le regard du réalisateur sur Josef, le fauteur de troubles, est juste : démon, oui, mais aussi ange sacrifié à la paix des "gens bien".
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Tout reste très froid dans ce "Coup de chaud", où l'on peine à ressentir de l'empathie pour «l'étranger» interprété par un Karim Karim Leklou habité.
L'Express
En 2011, Raphaël Jacoulot avait signé Avant l'aube, un autre film noir plutôt réussi. Celui-là, à la fois solaire, humain et stressant, est encore mieux. A ce rythme, la suite promet d'être parfaite.
L'Obs
Raphaël Jacoulot confirme les espoirs placés en lui. Avec maîtrise, il conduit le spectateur sur les mêmes fausses pistes où s’engagent les gens du village, des plus vindicatifs aux plus réservés (...). La distribution est excellente, dominée par l’impeccable Karim Leklou, qui apporte à Josef toute la complexité souhaitée.
La Croix
Le réalisateur a si bien saisi l’implacable mécanisme par lequel les agressivités se répondent et se décuplent, que le spectateur se trouve lui-même happé. Toute la mise en scène entretient sa crispation grandissante face à cet insaisissable antihéros.
Le Dauphiné Libéré
Dans un style qui fait penser aux polars d’atmosphère sociale de Chabrol, un apologue sur la différence et le rejet qu’elle entraîne, comme un Dupont Lajoie d’aujourd’hui.
Les Inrockuptibles
Avec un vrai sens du récit, de la montée en tension et de la dialectique entre ce qui est montré et caché au spectateur, Jacoulot tricote une pelote adroite entre la débilité débonnaire de Josef, une suite de petits faits divers aussi désagréables que d’origine mystérieuse et le portrait patient de la communauté villageoise.
Positif
Même si le film s'abîme parfois dans la démonstration, la puissance du propos, la singularité du traitement et la conviction des acteurs (Jean-Pierre Darroussin et Grégory Gadebois en tête) font de ce "Coup de chaud" un des films recommandables de l'été.
Première
Le drame nous est montré dès la première séquence, car ce qui intéresse Jacoulot, c’est non pas la résolution d’une enquête, mais l’observation patiente de la montée de l’intolérance chez des personnes en apparence respectables.
Femme Actuelle
Une chronique ordinaire et policière d'un village français, servie par une très belle distribution.
Le Journal du Dimanche
"Coup de chaud" navigue habilement entre drame et polar. Son intrigue sert surtout de prétexte à révéler la noirceur de la nature humaine.
Le Monde
Karim Leklou incarne avec puissance le personnage à la fois touchant et inquiétant du film de Raphaël Jacoulot.
Le Parisien
Un film porté par l'interprétation remarquable de Jean-Pierre Darroussin et Grégory Gadebois.
Libération
En dépit d’une mise en scène qui ne se risque guère en dehors des clous du ventre mou du cinéma psychologique français, il faut reconnaître à Raphaël Jacoulot (...) une science certaine de la distribution qui lui permet de figurer, (...) le réseau d’exaspérations dont sa communauté campagnarde est tissée.
Ouest France
Tiré d'un fait divers, le nouveau film de Raphaël Jacoulot est parfois un peu démonstratif. Mais un générique de figures authentiques (Jean-Pierre Darroussin, Grégory Gadebois, Karim Leklou) lui donne de l'intensité.
Sud Ouest
malgré ses qualités d'approche, le cinéaste n'évite pas l'écueil d'une exposition trop longue (...). Plus intéressante, en revanche, la seconde partie s'ouvre sur l'enquête de police qui délie les langues, exsude les remords et dénoue, de manière frontale mais intense, le nœud gordien d'un récit en forme de fable contemporaine.
Télérama
Même si sa mise en scène est plus démonstrative que dans Avant l'aube, son film précédent, le regard du réalisateur sur Josef, le fauteur de troubles, est juste : démon, oui, mais aussi ange sacrifié à la paix des "gens bien".
Studio Ciné Live
Tout reste très froid dans ce "Coup de chaud", où l'on peine à ressentir de l'empathie pour «l'étranger» interprété par un Karim Karim Leklou habité.