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Votre avis sur Le Fils de Jean ?
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Un joli film, sensible, attachant et très bien interprété par ses différents acteurs. Philippe Lioret excelle dans une réalisation plus que maîtrisée. Dommage que le dernier 1/4 d'heure anéantisse toute crédibilité des 1h30 précédentes et révèle du coup nombre d'invraisemblances dans cette histoire.
C"est de loin, le meilleur film que j'ai vu cette année. Les caractères sont merveilleux, j'ai adoré la musique et le fait qu'il ait été tourné à Montréal où j'ai vécu m'a charmé. Je l'ai vu avec un groupe de dix personnes et tout le monde était d'accord avec mon opinion. A voir absolument.
Très beau film sur la famille, l'abandon , les bons et moins bons sentiments. Une histoire qui nous tient en haleine jusqu'au bout, magnifique!
j'ai été captivé par ce "thriller familial" et tenu en haleine du début à la fin. J'ai adoré cette "chasse à l'affût" par la justesse des personnages et l'interprétation des 2 acteurs principaux. les personnages secondaires sont également très bien joués. La touche finale de cette histoire bien mélancolique est toute en finesse et souffle un air d'optimisme bienvenu et réconfortant. Je vous recommande ce film pour un très agréable moment de cinéma.
Un joli film, au scénario bien construit malgré un petit manque d'inspiration, mais particulièrement bien interprété et avec de belles émotions. Du beau cinéma à voir!
Le cinéma français nous gâte en ce moment, ce film est une perle, il n'y a aucune fausse note. Pierre Deladonchamps est magnifique.
excellent ! Même réalisateur que je vais bien ne t'en fait pas. Avec dans le rôle principal un jeune acteur qui promet et Gilles Arcand magistral ! intelligent captivant bien rythmé.
Les histoires de famille au cinéma, c'est un thème qui peut sembler classique et pas vraiment passionnant, mais ce film réussit à être prenant, grâce à un scénario bien écrit, et à des dialogues, ainsi qu'un jeu d'acteur, très convaincants. Le rythme et le cadre de l'histoire sont tranquilles, reposants, tout le contraire de l'état d'esprit des personnages, jamais vraiment sereins. "Le Fils De Jean", dans sa forme, pourrait presque ressembler à un téléfilm, mais en beaucoup moins niais et beaucoup plus fin. Ce drame réussit même à être plutôt émouvant vers la fin, sans du tout être triste, ce qui est assez fort. Le genre de film sans artifice qui reflète parfaitement la vraie vie. On se laisse alors complètement porter par l'histoire.
Yves G.
Parisien, la trentaine, Mathieu reçoit un appel du Canada. Son père biologique, dont sa mère a toujours refusé de lui dévoiler l’identité, vient de mourir. Mathieu saute dans un avion pour assister aux funérailles et rencontrer sa famille. Mais Pierre, le meilleur ami de son père, l’accueille à l’aéroport et essaie de l’en dissuader.
On connaît la patte de Philippe Lioret, un des rares réalisateurs français dont le nom constitue désormais le meilleur argument de vente. « Welcome », « Je vais bien, ne t’en fais pas », « D’autres vies que la mienne » sont autant de drames émouvants aux scénarios parfaitement maîtrisés, servis par des acteurs remarquables.
« Le Fils de Jean » ne déroge pas à la règle. Il a pour sujet la relation père-fils. Le cinéma lui préfère la relation mère-fille ou pire père-fille, qu’il dépeint avec force larmes. La relation père-fils est trop bourrue, trop silencieuse pour être montrée.
Philippe Lioret surmonte cet écueil avec son immense sensibilité. Il s’inspire librement d’un livre déjà ancien de Jean-Paul Dubois – qui est décidément souvent adapté ces temps ci au cinéma (« La nouvelle vie de Paul Sneijder » est également tiré d’un de ses romans). Il s’appuie sur des acteurs impeccables : Pierre Deladonchamps confirme les espoirs suscités par sa composition dans « L’Inconnu du lac », Gabriel Arcand sait être dur et doux dans le rôle de Pierre, Catherine de Léan a l’accent québécois et le minois qui va avec. L’intrigue est sur le point de trop s’étirer lorsqu’un twist final lui redonne tout son intérêt.
On connaît la patte de Philippe Lioret, un des rares réalisateurs français dont le nom constitue désormais le meilleur argument de vente. « Welcome », « Je vais bien, ne t’en fais pas », « D’autres vies que la mienne » sont autant de drames émouvants aux scénarios parfaitement maîtrisés, servis par des acteurs remarquables.
« Le Fils de Jean » ne déroge pas à la règle. Il a pour sujet la relation père-fils. Le cinéma lui préfère la relation mère-fille ou pire père-fille, qu’il dépeint avec force larmes. La relation père-fils est trop bourrue, trop silencieuse pour être montrée.
Philippe Lioret surmonte cet écueil avec son immense sensibilité. Il s’inspire librement d’un livre déjà ancien de Jean-Paul Dubois – qui est décidément souvent adapté ces temps ci au cinéma (« La nouvelle vie de Paul Sneijder » est également tiré d’un de ses romans). Il s’appuie sur des acteurs impeccables : Pierre Deladonchamps confirme les espoirs suscités par sa composition dans « L’Inconnu du lac », Gabriel Arcand sait être dur et doux dans le rôle de Pierre, Catherine de Léan a l’accent québécois et le minois qui va avec. L’intrigue est sur le point de trop s’étirer lorsqu’un twist final lui redonne tout son intérêt.
Très beau film d'auteur. Sensible, bien joué, prenant, émouvant, bref, du cinéma comme j'aime. Les acteurs ne sont pas connus, mais ils habitent bien leurs rôles et sont très justes. les dialogues sont excellents, même s'ils sont parfois difficiles à comprendre avec l'accent du Québec...
magnifique film poignant où tout peut dit juste avec un regard. une belle histoire sur la vie humaine.
vidalger
Philippe Lioret est un habile artisan, un brin manipulateur et qui aime jouer avec les bons sentiments et les émotions du spectateur.
Le Fils de Jean ne déroge pas à cette règle appliquée déjà aux précédents films de ce réalisateur prolixe mais au génie pépère. On se laisse embarquer dans une histoire assez simple - au début - et qui suscite un intérêt plus grand au fur et à mesure de la survenue de divers rebondissements plus ou moins surprenants.
On retiendra surtout un très bon casting et quelques paysages canadiens propices à l'évasion. Un peu court certes, mais pas désagréable.
Le Fils de Jean ne déroge pas à cette règle appliquée déjà aux précédents films de ce réalisateur prolixe mais au génie pépère. On se laisse embarquer dans une histoire assez simple - au début - et qui suscite un intérêt plus grand au fur et à mesure de la survenue de divers rebondissements plus ou moins surprenants.
On retiendra surtout un très bon casting et quelques paysages canadiens propices à l'évasion. Un peu court certes, mais pas désagréable.
Pierre Deladonchamps pour le premier rôle, Gabriel Arcand, Catherine de Léan, Marie-Thérèse Fortin, Patrick Hivon, Pierre-Yves Cardinal … Tous convaincants, avec une présence parfois magnétique, une gestuelle, des regards et des voix qui en disent long, distillant l’émotion avec finesse et retenue dans ce nouveau film de Philippe Lioret.
Le scénario peut rappeler « Je vais bien ne t’en fais pas » non par son contenu, mais par ses cheminements, son style et ses ressorts.
Le Québec est joliment filmé et l’histoire explore des questions liées à la filiation, à la paternité et au secret de famille.
Un film que je recommande aux amateurs du genre.
Le scénario peut rappeler « Je vais bien ne t’en fais pas » non par son contenu, mais par ses cheminements, son style et ses ressorts.
Le Québec est joliment filmé et l’histoire explore des questions liées à la filiation, à la paternité et au secret de famille.
Un film que je recommande aux amateurs du genre.
Beau film sensible, pudique, subtil sur la recherche du père. Tous les personnages sont décrits et filmés avec délicatesse. Des êtres humains normaux, avec leurs failles et leurs secrets. Pas d’esbroufe. Des émotions maîtrisées. Belle direction d'acteurs.
Certainement l'un des meilleurs film de cette rentrée, on ne découvre la vérité qu'à la fin du film.
Les acteurs jouent juste, Pierre Delanonchamps, j'espère que je n'écorche pas son nom, est formidable.
A ne pas rater..
Les acteurs jouent juste, Pierre Delanonchamps, j'espère que je n'écorche pas son nom, est formidable.
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