Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Positif
par Jean A. Gili
Porté par des comédiens exceptionnels, en particulier Pierre Deladonchamps (...) et Gabriel Arcand (...), le film fonctionne comme une énigme dont on ne découvre que par bribes les ressorts et qui ne prend tout son sens que dans un final sans effusions, tout en retenue, en allusions délicates, en émotions contenues.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Entre pudeur et justesse, Philippe Lioret nous conte une étonnante histoire de filiation venue d’Outre-Atlantique. Généreux comme le partage en famille d’un pouding-chômeur arrosé de sirop d’érable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Isabelle Danel
Sur le fil du rasoir, cette douce enquête sur la violence des rapports familiaux et la résonance des mensonges est portée par des acteurs au registre large et généreux.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Axel Scoffier
Sec, noueux et bienveillant, "Le Fils de Jean" parvient à conjuguer une quête de paternité à un travail d’enquête familiale, et à construire dans ce même mouvement un délicat édifice d’émotions contradictoires.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Femme Actuelle
par La Rédaction
Une comédie intimiste sur la famille et la quête identitaire. Pierre Deladonchamps y est formidable.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Philippe Lioret fait preuve d’une élégance filmique de tous les instants, aux cadrages millimétrés et plans séquences dramatisants, avec un rythme au cordeau, pas une seconde n’étant en trop, ce qui est rare.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Dans ce dispositif, les acteurs tiennent une place essentielle et, si tous sont excellents, c’est à Gabriel Arcand que revient la part du lion. (...) C’est sur lui que le film mise, c’est en lui que réside le mystère du "Fils de Jean" et l’un des secrets du cinéma de Philippe Lioret.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Marilyne Letertre
Centré sur la quête d’origine d’un trentenaire et conté comme un polar, "Le fils de Jean" se tient à bonne distance de son sujet. Un film sensible, délicat et pudique sublimé par l’interprétation toute en finesse de Gabriel Arcand et Pierre Deladonchamps.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Philippe Lioret signe « un polar familial », délicat et subtil, sur la recherche d’un jeune cadre français qui ignorait tout de son père québécois au moment où il apprend sa mort.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Rien de bien original certes, un poil trop sentimental mais carré et honnête. Lioret excelle à composer avec les visages de ses acteurs, à plonger dans des regards baignant dans un océan de non-dit. Le genre de film qui pique aux yeux.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Deladonchamps confirme son talent, fait de discrétion à fleur de peau.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Une fois de plus, ce cinéaste du sensible signe une oeuvre vibrante. Son film, c'est du vent dans les cordes d'une harpe. Deladonchamps en était un Mathieu idéal.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Juliette Sellin
L'histoire est aussi bouleversante qu'attachante.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
D'abord diffuse, l'émotion nous submerge sans préavis, à l'image du héros auquel le méconnu Pierre Deladonchamps prête une infinie justesse. Joli film.
Télérama
par Pierre Murat
C'est du travail d'orfèvre, de dentellière. Chaque regard importe, chaque silence, aussi : le charme discret de Philippe Lioret tient à sa méticulosité. Sa modestie. Son amour d'artisan pour le travail bien fait.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Christophe Carrière
On devine assez rapidement les aboutissants de cette belle, mais prévisible, histoire de filiation.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un joli drame psy, sans tralalas, sur la filiation, mais relativement passe-partout.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Si la mise en scène peut paraître un peu sage ou appuyée au registre des bons sentiments, elle en fait le meilleur usage avec ses beaux et bons acteurs.
Les Fiches du Cinéma
par Valetine Verhague
Un film au sujet et à la réalisation plus que classiques, mais qui n'est pas dénué d'intérêt.
Première
par Christophe Narbonne
Là réside l'intéêt du "Fils de Jean", dans cette progression à l'aveugle que Lioret filme comme un thriller et qui capte d'emblée l'attention du spectateur. L'intrigue finit cependant par tirer un peu à la ligne et sa nature elliptique par ressembler à une coquetterie d'auteur.
Studio Ciné Live
par Eric Libiot
Tout est à sa place, les acteurs sont impeccables, la mise en scène, sans faute. Mais on a beau tourner le film dans tous les sens, il manque l'émotion qui arrive sans crier gare (...). Dommage.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une quête du père qui est en fait une quête de soi, filmée comme une enquête de thriller, lequel s’essouffle un peu en route.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le duo que forment Pierre Deladonchamps et Gabriel Arcand évoque ceux qui ont fait certains films de Sautet. Philippe Lioret épuise cette ressource à force de conventions dramatiques, de timidité face aux ambiguïtés qu’offre la trame d’un scénario par ailleurs un peu trop malin.
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Storytelling de petit malin, fausse pudeur, dialogues édifiants sur la vie, la mort, l'amour, et sentimentalisme épais : tout sens ici la formule à succés pré-mâchée.
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Philippe Lioret se contente ici d’adapter un roman sirupeux, "Si ce livre pouvait me rapprocher de toi", pour en tirer un film à l’encéphalogramme globalement plat.
Positif
Porté par des comédiens exceptionnels, en particulier Pierre Deladonchamps (...) et Gabriel Arcand (...), le film fonctionne comme une énigme dont on ne découvre que par bribes les ressorts et qui ne prend tout son sens que dans un final sans effusions, tout en retenue, en allusions délicates, en émotions contenues.
aVoir-aLire.com
Entre pudeur et justesse, Philippe Lioret nous conte une étonnante histoire de filiation venue d’Outre-Atlantique. Généreux comme le partage en famille d’un pouding-chômeur arrosé de sirop d’érable.
Bande à part
Sur le fil du rasoir, cette douce enquête sur la violence des rapports familiaux et la résonance des mensonges est portée par des acteurs au registre large et généreux.
Critikat.com
Sec, noueux et bienveillant, "Le Fils de Jean" parvient à conjuguer une quête de paternité à un travail d’enquête familiale, et à construire dans ce même mouvement un délicat édifice d’émotions contradictoires.
Femme Actuelle
Une comédie intimiste sur la famille et la quête identitaire. Pierre Deladonchamps y est formidable.
Franceinfo Culture
Philippe Lioret fait preuve d’une élégance filmique de tous les instants, aux cadrages millimétrés et plans séquences dramatisants, avec un rythme au cordeau, pas une seconde n’étant en trop, ce qui est rare.
L'Obs
Dans ce dispositif, les acteurs tiennent une place essentielle et, si tous sont excellents, c’est à Gabriel Arcand que revient la part du lion. (...) C’est sur lui que le film mise, c’est en lui que réside le mystère du "Fils de Jean" et l’un des secrets du cinéma de Philippe Lioret.
LCI
Centré sur la quête d’origine d’un trentenaire et conté comme un polar, "Le fils de Jean" se tient à bonne distance de son sujet. Un film sensible, délicat et pudique sublimé par l’interprétation toute en finesse de Gabriel Arcand et Pierre Deladonchamps.
La Croix
Philippe Lioret signe « un polar familial », délicat et subtil, sur la recherche d’un jeune cadre français qui ignorait tout de son père québécois au moment où il apprend sa mort.
La Voix du Nord
Rien de bien original certes, un poil trop sentimental mais carré et honnête. Lioret excelle à composer avec les visages de ses acteurs, à plonger dans des regards baignant dans un océan de non-dit. Le genre de film qui pique aux yeux.
Le Figaro
Deladonchamps confirme son talent, fait de discrétion à fleur de peau.
Le Parisien
Une fois de plus, ce cinéaste du sensible signe une oeuvre vibrante. Son film, c'est du vent dans les cordes d'une harpe. Deladonchamps en était un Mathieu idéal.
Ouest France
L'histoire est aussi bouleversante qu'attachante.
Télé 7 Jours
D'abord diffuse, l'émotion nous submerge sans préavis, à l'image du héros auquel le méconnu Pierre Deladonchamps prête une infinie justesse. Joli film.
Télérama
C'est du travail d'orfèvre, de dentellière. Chaque regard importe, chaque silence, aussi : le charme discret de Philippe Lioret tient à sa méticulosité. Sa modestie. Son amour d'artisan pour le travail bien fait.
L'Express
On devine assez rapidement les aboutissants de cette belle, mais prévisible, histoire de filiation.
L'Humanité
Un joli drame psy, sans tralalas, sur la filiation, mais relativement passe-partout.
Le Journal du Dimanche
Si la mise en scène peut paraître un peu sage ou appuyée au registre des bons sentiments, elle en fait le meilleur usage avec ses beaux et bons acteurs.
Les Fiches du Cinéma
Un film au sujet et à la réalisation plus que classiques, mais qui n'est pas dénué d'intérêt.
Première
Là réside l'intéêt du "Fils de Jean", dans cette progression à l'aveugle que Lioret filme comme un thriller et qui capte d'emblée l'attention du spectateur. L'intrigue finit cependant par tirer un peu à la ligne et sa nature elliptique par ressembler à une coquetterie d'auteur.
Studio Ciné Live
Tout est à sa place, les acteurs sont impeccables, la mise en scène, sans faute. Mais on a beau tourner le film dans tous les sens, il manque l'émotion qui arrive sans crier gare (...). Dommage.
Le Dauphiné Libéré
Une quête du père qui est en fait une quête de soi, filmée comme une enquête de thriller, lequel s’essouffle un peu en route.
Le Monde
Le duo que forment Pierre Deladonchamps et Gabriel Arcand évoque ceux qui ont fait certains films de Sautet. Philippe Lioret épuise cette ressource à force de conventions dramatiques, de timidité face aux ambiguïtés qu’offre la trame d’un scénario par ailleurs un peu trop malin.
Les Inrockuptibles
Storytelling de petit malin, fausse pudeur, dialogues édifiants sur la vie, la mort, l'amour, et sentimentalisme épais : tout sens ici la formule à succés pré-mâchée.
Cahiers du Cinéma
Philippe Lioret se contente ici d’adapter un roman sirupeux, "Si ce livre pouvait me rapprocher de toi", pour en tirer un film à l’encéphalogramme globalement plat.