Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Chronic'art.com
par Stéphane Aicardi
(...) T'aime récupère vulgairement une imagerie excessive (...) et soutient une thèse abracadabrante (...) pour tenter de donner du corps à un propos d'une mièvrerie exemplaire qui s'extasie béatement devant les vertus d'un humanisme naïvement transcendé (...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cplanet.com
par Xavier Pichard
(...) malgré une sincérité certaine dans le propos, (les) envolées philosophico-lyriques sur la vie, l'amour et l'avenir heureux d'un monde sans Valium prêtent à rire, tout autant que certaines idées grotesques de réalisation.
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par K.L.L.
Patrick Sébastien prétend dénoncer des préjugés. L'intention est louable, mais la réalisation laisse à désirer. De fait, aucun stéréotype n'est évité, les personnages sont privés de toute nuance et, donc, de toute épaisseur. L'idéalisme tourne au pathétique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Toutes les situations sont improbables et d'une grande naïveté. Dépassé par son sujet, Patrick Sébastien rate sa cible, tant il est noyé par les bons sentiments et les bonnes intentions.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
L'opposition entre la campagne (...) et la ville corruptrice (...), est un thème dont le simplisme est aggravé lorsque le portrait d'un « fada »de province, dont l'ignorance et la simplicité sont les garants de sa bonté, touche ici au ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Sébastien rate la marche d'entrée au palais du septième art. Tout ce qu'on peut lui souhaiter, c'est, comme Bernard Rapp (...), de revoir sa copie en mieux et ne plus prétendre de nouveau être à la fois au four et au moulin.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Lenouveaucinema.com
par Jean-Philippe Guerand
(...) Sébastien nous propose un mélodrame grotesque et infantile où les personnages débitent les lieux communs à jet continu.
La critique complète est disponible sur le site Lenouveaucinema.com
Positif
par Philippe Rouyer
Devant tant de naïveté dans le propos et dans la mise en scène, qui accumule chromos et caricatures pire que chez Mocky (...), le spectateur est abasourdi.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par François Gorin
Envahissant l'écran de toute sa bonne volonté, de tout son jeu maladroit, Sébastien met le spectateur, ne parlons même pas du critique, dans une situation littéralement intenable. Lui n'a ni honte ni peur de rien. C'est sans doute ce qui le sauve.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
(...) T'aime récupère vulgairement une imagerie excessive (...) et soutient une thèse abracadabrante (...) pour tenter de donner du corps à un propos d'une mièvrerie exemplaire qui s'extasie béatement devant les vertus d'un humanisme naïvement transcendé (...)
Cplanet.com
(...) malgré une sincérité certaine dans le propos, (les) envolées philosophico-lyriques sur la vie, l'amour et l'avenir heureux d'un monde sans Valium prêtent à rire, tout autant que certaines idées grotesques de réalisation.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Patrick Sébastien prétend dénoncer des préjugés. L'intention est louable, mais la réalisation laisse à désirer. De fait, aucun stéréotype n'est évité, les personnages sont privés de toute nuance et, donc, de toute épaisseur. L'idéalisme tourne au pathétique.
Le Figaroscope
Toutes les situations sont improbables et d'une grande naïveté. Dépassé par son sujet, Patrick Sébastien rate sa cible, tant il est noyé par les bons sentiments et les bonnes intentions.
Le Monde
L'opposition entre la campagne (...) et la ville corruptrice (...), est un thème dont le simplisme est aggravé lorsque le portrait d'un « fada »de province, dont l'ignorance et la simplicité sont les garants de sa bonté, touche ici au ridicule.
Le Parisien
Sébastien rate la marche d'entrée au palais du septième art. Tout ce qu'on peut lui souhaiter, c'est, comme Bernard Rapp (...), de revoir sa copie en mieux et ne plus prétendre de nouveau être à la fois au four et au moulin.
Lenouveaucinema.com
(...) Sébastien nous propose un mélodrame grotesque et infantile où les personnages débitent les lieux communs à jet continu.
Positif
Devant tant de naïveté dans le propos et dans la mise en scène, qui accumule chromos et caricatures pire que chez Mocky (...), le spectateur est abasourdi.
Télérama
Envahissant l'écran de toute sa bonne volonté, de tout son jeu maladroit, Sébastien met le spectateur, ne parlons même pas du critique, dans une situation littéralement intenable. Lui n'a ni honte ni peur de rien. C'est sans doute ce qui le sauve.