L'Ecole buissonnière
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358 critiques spectateurs

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anonyme
Un visiteur
3,0
Publiée le 28 décembre 2018
Film familial, plein de bon sentiments qui plaira aux petit comme aux grands malgré quelques ficelles ( un peu grosses ).
Steven O.
Steven O.

31 abonnés 716 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 26 novembre 2018
Film gentillet qui respire la nature et le " bon vieux temps".

En effet les décors sont superbes de cette Sologne baignée de lumière avec ses animaux en pagaille.

L'histoire en elle-même n'est pas très originale et assez conventionnée. Le spectateur n'est pas dérouté ni supris devant le long métrage qui file droit comme le cours d'eau de la Sologne.

Les acteurs sont dans l'ensemble convaincants.

Bref du classicisme pur et dur mais fait dans les règles donc c'est assez plaisait pour passer un bon moment
françois s.
françois s.

3 abonnés 41 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 9 novembre 2018
Un film pour bobos parisiens.
On est en 1930. Le petit de l'orphelinat est hyper mignon, cheveux coiffés par Dessange.
La petite gitane va devenir mannequin et l'institutrice est sublime.
Mais c'est pas fini. Totoche vit sur une barque sur la Loire. Comment fait-il quand il y a des crues ou en hiver?
Et les animaux qui se baladent pendant tout le film ( des renards en plein jour! ), c'est blanche neige et les sept nains.
J'en passe et des meilleures comme les écrevisses américaines...

Bref un mauvais Jean Becker...
shindu77
shindu77

98 abonnés 1 618 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 4 octobre 2018
Le film est plutôt bon et c’est avant tout grâce à ces acteurs. En effet le casting est globalement bon voir très bon. Malheureusement ça ne masque pas un défaut majeur à ce film à savoir sa lenteur ce qui donne un côté assez décousu et donc du mal à rester pleinement concentré dans le film ce qui est dommage car avec une meilleure réalisation, selon métrage serait excellent mais là ce n’est pas le cas.
VOSTTL
VOSTTL

102 abonnés 1 995 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 25 septembre 2018
C’est gentil, ça ne mange pas de pain, c’est propret, bien interprété. Une mention à Jean Scandel. Il mérite des encouragements. Des séquences qui n’ont rien à envier à « Chasse et pêche ». Ce film est un conte. Le petit Paul, orphelin hérite du château et le méchant pas trop méchant mais caricatural va devoir apprendre à travailler. Tout le monde est content. « L’école buissonnière » est sorti trop tôt. Ce petit conte aurait dû être programmé pendant les vacances scolaires de Noël.
Gregory S
Gregory S

32 abonnés 621 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 23 septembre 2018
Excellent film familial mais si vous avez au delà de 14 ans vous risquez de vous ennuyer. Film plein de bons sentiments mais Cluzet fait du Cluzet voire surjoue. Néanmoins ça reste plaisant de regarder ça en famille avec ses jeunes enfants
amluso
amluso

3 abonnés 95 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 22 septembre 2018
Magnifique film à voir absolument.
Émouvant de très bonne qualité tant au niveau du scénario avec une histoire touchante belle et attachante qu'au niveau de la qualité des images.
Nellyivan63
Nellyivan63

2 abonnés 27 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 18 septembre 2018
Un concentré d'émotions, où l'écran vous avale pour vous projeter dans des images plus vrai que nature pour vous faire vivre le visionnage comme un personnage de cette histoire plus que touchante.
Stephenballade
Stephenballade

414 abonnés 1 239 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 5 septembre 2018
Paris, 1927. Essayez d’imaginer cette époque sous cet aspect patiné avec ses pierres grisées par le temps. Essayez d’imaginer des hauts murs lisses, que seuls d’imposants contreforts viennent orner, en complément d’un immense portail à travers lequel nul ne peut voir. Essayez d’imaginer les lingeailles taillées plus ou moins grossièrement dans la toile épaisse, ce type même de matière un peu raide que les gens pas ou peu aisés affectionnaient non pas pour leur confort mais pour leur solidité et leur durabilité. Ce genre d’affaires en total contraste avec les strass et paillettes des tenues plus souples arrivées avec le Charleston. Vous avez du mal à imaginer ? A votre décharge, il est vrai que l’époque est lointaine, et bon nombre de spectateurs d’aujourd’hui ne l’ont pas connue. Oui eh bien, ne vous en faites pas, il vous suffit de vous mettre devant le film et… d’ouvrir les yeux. Vous ne le regretterez pas. D’abord vous vous retrouverez devant les hauts murs austères d’un orphelinat, dans un vieux Paris alors dans son jus. Puis vous serez invités à y pénétrer, sous l’œil à la fois bienveillant et sévère du directeur. Ainsi vous subirez un premier choc, celui des progrès faits en matière d’aménagement, notamment avec cette rampe de robinets qui sépare les lits grinçants du dortoir en deux lignes distinctes. Brrrr, ça ne donne pas envie d’y rester… Ça tombe bien, nous n’y restons pas. Direction la Sologne ! Une des rares régions de France qui a été préservée de la course effrénée vers le modernisme à tout va. A travers la vitre du train, vous entrapercevrez le château de Chambord et son architecture si particulière qui le rend unique au monde, inimitable et parfaitement reconnaissable entre mille. C’est dans cette belle contrée restée sauvage qu’est la Sologne que les valises vont être posées. Assurément, cela va être dépaysant pour plus d’un. Comme ça l’est pour le jeune Paul. Jean Scandel, son interprète, joue à merveille la transformation du changement d’univers. D’abord un air récalcitrant, buté et fermé, à tel point que le rictus de la renfrognerie semble permanente. Puis ensuite les traits se détendent, et ce visage s’illumine devant les lapins pourtant enfermés dans des cages entassées dans la cour d’un corps de ferme, dépendance directe d’un manoir habité par un comte décrit comme peu sociable et pas commode. Oui eh bien il n’est pas au bout de ses surprises, le petit gars… spoiler: et ça commence par l’assiette.
La résignation qui habite le petit Paul disparait peu à peu au gré des discussions pleines d’attention avec la femme qui l’a recueilli, Célestine (magnifique Valérie Karsenti). Ainsi, malgré le dédain du mari de Célestine, à savoir le garde-chasse Borel (joué par Eric Elmosnino dans le même registre que "La famille Bélier", c’est-à-dire aigri, têtu, mais qu’on n’arrive pas à détester car on sent au fond que ce n’est pas un mauvais bougre), Paul a tout le loisir de découvrir ce nouvel environnement qui lui est offert. Et c’est avec lui que nous allons découvrir cette immense forêt où les chênes centenaires voire bicentenaires se côtoient, et dans laquelle il nous sera permis d’apercevoir la faune. Pour ce faire, Nicolas Vanier se sert de sa grande expérience d'explorateur : pour ne citer qu’eux, biches, cerfs, sangliers, rouges-gorges, fauvettes, canards, hérons et renards circulent librement et en toute impunité au beau milieu des différentes essences devant la caméra patiente et toujours bien placée du cinéaste qui fait de ces animaux des personnages à part entière. Des images rares mais de belles images, servies par les rayons fantasmagoriques du soleil et par la brume qui entoure de mystères cette forêt et ses étangs. Un lieu féérique, peuplé d’une faune riche et diversifiée dont le mode de vie est perceptible à condition de savoir l’écouter. L’apprentissage du jeune garçon ne s’arrête pas à sa seule observation. Sa découverte, (ou son aventure, comme vous voudrez) va se développer grâce à sa rencontre avec Totoche, un insaisissable braconnier joué par un superbe François Cluzet à qui la barbe va si bien (on en a eu déjà un aperçu dans son habit de marin dans "En solitaire"). Seulement voilà : ce dernier est poursuivi sans relâche par le garde-chasse, ce qui nous donne un vrai jeu du chat et de la souris, amenant ainsi des situations cocasses parmi lesquelles Elmosnino nous fait rire par ses balbutiements quand il voit les traces de son objectif partir dans deux sens opposés sous l’œil amusé de Laurent Gerra en gendarme et de son binôme. Mais "L’école buissonnière" ne se résume pas à la découverte de la Sologne et de ses célèbres chasses à courre. Le spectateur doit reconnaitre la beauté de ce type de chasse ancestral, bien que le combat soit irrégulier et particulièrement stressant pour le gibier traqué. Cela dit, ça se fait dans le respect de la nature, bien que je déplore que la préparation de ce type de chasse n’ait pas été plus développée. Dans tous les cas, si ça ne se résumait qu’à la découverte de cette région qui s’étend sur près de 5 000 km², c’eût été trop léger pour une fiction. Non, ce film parle aussi des vraies valeurs de la vie, des valeurs qui se perdent de plus en plus au fur et à mesure que les années passent. Et pour ce faire, il présente divers thèmes, distillés sur des dialogues très bien écrits, quelquefois parsemés de mots tombés dans les oubliettes : la quête d’identité pour Paul dont on comprend assez rapidement qui il est spoiler: (en ce qui me concerne, quand il a mis la main sur une lettre cachée)
, et le poids des non-dits. Il n’est pas toujours facile de dire les choses, et c’est très bien expliqué par la touchante Valérie Karsenti dans la peau de cette Célestine qui a elle aussi ses secrets spoiler: en jouant entre autres un rôle dans l’opposition amusante que se livrent le garde-chasse et le braconnier
. Mais il y a aussi ce fameux comte, joué par un François Berléand toujours aussi excellent. Certes il n’a pas le plus beau rôle, cependant il n’a pas le plus simple non plus. Il interprète à merveille la grande solitude d’un homme rongé par un épouvantable regret auquel il ne peut remédier. Pour autant, il amène aussi des scènes résolument poignantes, par l’intermédiaire du grand cerf que Nicolas Vanier a eu le tact de remercier dans le générique de fin. Aaaah ce grand cerf… on tremble pour lui, même si son intelligence force l’admiration du spectateur. Mais qu’est-ce qu’il est beau ! Quelle majestuosité ! C’est magnifique. Son titre de "roi de la forêt" n’est pas volé, notamment lorsque la période de rut est amorcée. Le brame fait vibrer toute la forêt qui semble s’endormir doucement mais sûrement sous les couleurs mordorées encore timides de l’automne naissant et semble figer tout le reste de la faune dans un silence alors réservé uniquement aux cris amoureux des cerfs. Avec ce grand cerf, en parallèle de la révélation de la véritable identité du jeune Paul, on pense arriver à la fin. Que nenni ! Le scénario rebondit encore une fois pour repartir de plus belle, avec le fils du Comte en mal de reconnaissance (et d’amour ?). Joué par Thomas Durand, il a vraiment la gueule de l’emploi et revêt avec brio le personnage le plus détestable. Et l’air de rien, nous arrivons à une durée de 116 minutes. En somme, "L’école buissonnière" est un long métrage qui fait du bien. Porté par une photographie éblouissante et une superbe musique signée Armand Amar qui colle encore une fois parfaitement au film, le spectateur ressort émerveillé par les belles images de ce solognot de cœur et d’origine, lesquelles se poursuivent durant une bonne partie du générique de fin. Emerveillé et… apaisé. Oui, apaisé. Une première pour un scénario au fond plus ou moins déjà vu, mais qui entremêle à la perfection différents thèmes pour rappeler les bienfaits de la vie en communauté, de la communion avec la nature et du partage, aujourd’hui supplantés par les besoins créés de toute pièce. Nicolas Vanier prouve ici qu’on peut vivre avec ce que la nature nous prodigue, à condition de la respecter et de ne prendre que ce dont on a besoin. Et comme pour vous prouver que cela est encore possible, il y a fort à parier que vous ressentiez le besoin d’aller vous promener en forêt. C’est le lot des œuvres authentiques comme celle-là. Authentique : c’est ce qui caractérise ce film, jusqu’à ce marché qui fleure bon l’époque, un lieu où les gens prenaient le temps d’échanger quelques mots. Un retour vers le passé de 90 ans en arrière convaincant, jusque dans les tombes éparses de ce cimetière aujourd’hui d’un autre temps (quoique j’ai un gros doute sur la tombe en marbre ou en granit au loin dans l’arrière-plan qui, je trouve, fait un peu tâche malgré le flou qui lui a été donné). Un charme suranné qui hume bon grâce aussi aux personnages secondaires, ces personnages de la France profonde comme ce Dédé (Frédéric Saurel), ce gars du terroir indécrottablement attaché à sa bérouett’ et résolument attachant. Parsemé de quelques séquences contemplatives sans aucun dialogue et accompagnées seulement des belles notes d’Armand Amar, "L’école buissonnière" est un film absolument à voir car il offre deux heures d’évasion, deux heures de rêve, deux heures de réflexion sur les choses essentielles, et du vrai et beau spectacle sans effets spéciaux quelconques.
Chevtchenko2
Chevtchenko2

44 abonnés 1 254 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 3 septembre 2018
Un film extrêmement décevant. Le scénario est inintéressant, les personnages caricaturaux. Il y a quelques beaux plans de la forêt et des animaux mais pas de quoi non plus sauter au plafond. Le premier mot qui vient à l'esprit pour ce film est : ennui. On s'ennuie très rapidement devant cette histoire d'orphelin. Le jeune homme ne dégage pas grand chose et on ne s'y attache pas du tout. Quant aux adultes, ce ne guère mieux malgré un casting prestigieux. Je n'attendais rien de ce film mais malgré tout, il a réussi à m'ennuyer profondément. A éviter.
conrad7893
conrad7893

316 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 31 août 2018
Un flm initiatique, une belle ballade de 2 heures dans la Sologne, superbe région.
Une superbe photo, de magnifiques paysages, une splendide lumière.
Une histoire simple bien jouée avec des acteurs justes
Dans la verve des enfants du marais
Bravo au jeune acteur qui a un avenir prometteur
anonyme
Un visiteur
4,5
Publiée le 8 août 2018
Tres beau film, Original et avec de tres belle prise de vue, le petit garcon est super beau et il joue tres bien, les acteurs sont parfait ☺
CyrilleT63
CyrilleT63

29 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 12 mai 2018
Un film magnifique et émouvant à la fois avec des scènes de nature remarquable, des rebondissements, des coups de gueules
CH1218
CH1218

227 abonnés 2 953 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 14 avril 2018
Provenant d’un orphelinat parisien, un enfant est confié à un couple de la campagne. Le scénario est certes convenu et les personnages quelque peu caricaturaux mais « L’Ecole Buissonnière » doit sa séduisante candeur à la complicité qui unit un vieux braconnier bourru (François Cluzet, attachant) et ce jeune garçon (Jean Scandel, d’une réelle aisance) mais également à de très belles images d’une nature éclatante et vivifiante. C’est d’ailleurs cette naïveté simpliste qui a été descendue par certaines critiques mais plébiscitée par le public. Tourné en Sologne, Nicolas Vannier nous administre en effet un grand bol d’air frais en revenant à un cinéma rural qui a quasiment disparu de nos jours.
Dany R
Dany R

22 abonnés 407 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 7 avril 2018
Vanier délaisse ses habituels paysages enneigés pour nous conter cette tranche de vie solognote dans les années 1920. Le scénar est mince mais c'est avant tout un film d'ambiance porté par une ribambelle d'acteurs de grand talent, notamment Valérie Karsenti. On sent qu'ils ont visiblement pris du plaisir à camper leurs personnages. Vanier s'attarde à filmer la nature avec un véritable talent. Un joli film.
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