Avis : L'Ecole buissonnière - Page 5

film très émouvant et sans temps mort très bonne histoire et acteurs parfaits un vrai film bien de chez nous

Faire une promenade en Sologne, dans un beau Domaine à la forêt dense, majestueuse et peuplée de nombreux animaux, cela vous tente ? Si j’ajoute un esprit bon enfant, une pincée d’humour, de bons sentiments et le parfum suranné et fort agréable des années 30, vous me suivez toujours ?
Si la réponse est positive, alors vous devriez tomber sous le charme de «L'Ecole buissonnière ».
Pour ce film, Nicolas Vanier tenait à présenter la région qu’il affectionne depuis l’enfance, tout en livrant un message écologique à sa façon.
Résolument familial, le scénario fait la part belle aux valeurs perdues, à ces hommes qui respectaient la nature. Les leçons de vie prodiguées par François Cluzet nous montrent le fossé qui s’est creusé entre l’homme et la nature en 80 ans ; ce qui est fort peu à l’échelle humaine !
Son jeune « élève » est interprété par Jean Scandel qui tient son rôle comme un vrai pro et qui illumine le film par son naturel et son caractère trempé.
D’ailleurs, les acteurs principaux comme les seconds rôles sont tous bons et nous prenons plaisir à suivre leurs aventures, petits tracas et autres tromperies.
Un soupçon de drame, des pincées de situations cocasses, l’intrigue est digne d’un excellent roman pour enfant, qu'un adulte peut aussi savourer et la recette fonctionne parfaitement même si elle n’est pas novatrice.
L’originalité du film réside dans la façon dont il parvient à faire de la nature et d’un cerf majestueux des personnages principaux. Les superbes images d’Eric Guichard nous donnent envie de retrouver la nature d’avant, de plonger dans ses couleurs (à chaque saisons) et de se promener loin des hommes qui veulent s’approprier et clôturer le royaume des animaux.
Le message écolo se distille à plusieurs niveau, comme exemple, nous voyons un bon chasseur (pourtant braconnier), qui tue en pleine conscience et respect de la bête, qui alterne les prises et qui ne tue pas plus qu’il ne faut, en parfaite connaissance de la nature, en harmonie avec elle.
La reconstitution années 30 est dans ce qui se fait de mieux, château, véhicules, costumes et même les coins de natures semblent intactes comme à l'époque !
Un feel good movie de bon aloi, vivifiant comme une balade d’automne qui se fini par un bon repas près d’une cheminée.

Vraiment TRES déçu !!! :(
il y a les ingrédients pour faire un bon film MAIS les personnages ne paraissent pas "vrais", c'est surjoué, on a l'impression de se voir plaquer un documentaire animalier, on vous choisit un gamin qui a une superbe gueule en pensant que ça va suffire ! :( on en rajoute une louche avec Bella, la gamine de fin "d'histoire" :

Tout est prévisible !
Franchement nous nous sommes ennuyé avec cette projection !
La Sologne pouvait prétendre à mieux qu'un lapin ou une perdrix qui s'envole !

Pour adoucir mon propos , je dois dire que le personnage de Célestine est plutôt bien joué !
il y a quelque chose de fort intéressant chez Valérie Karsenti , le personnage est juste, un seul regard ou une mimique vous emmène vers votre vécu ... OUF !!!

vous doutiez du lobbying de la chasse et bien avec ce film vous en serez convaincu il fait l'apologie de la pêche du braconnage de la chasse à courre avec meurtre d'animaux garantie notamment la scène du renard où il se fait mettre en pièces par des chiens et pour le bonheur de tous réalisé sans trucage puisqu'il a été impossible de séparer les chiens du carnage.

Film terriblement ennuyeux. Même les enfants qui ont motivé cette séance se sont ennuyés. Tout est prévisible et sans saveur.

Consternant d'un point de vue technique pour qui connait la nature et la chasse. On a de temps en temps l'impression d'être dans dans blanche neige et les 7 nains avec des animaux surtout nocturnes en automne et qui là sortent de partout, une chasse à courre à 2 veneurs on entend même le chant du coucou....ben voyons les derniers partent en juillet et je passe là bien d'autres aberrations,
Du point de vue de l'histoire, c'est un conte à 3 sous du 20ème siècle, mélange de Raboliot et de blanche neige, plein de bons clichés campagnards dont on imagine la fin au milieu du film, politiquement correct et tartignole à souhait!
Si ce n'était pas Nicolas Vannier le réalisateur, je qualifierai le film de "Parisien fait pour les Parisiens".
Seul point positif, les acteurs.
JP

Bon voilà il fallait bien qu’un jour j’aille voir un navet c’est fait. Pratiquement rien à garder de ce film décevant sinon quelques images de la nature assez banales somme toute (à part le cerf si ce ne sont pas des images de synthèse car comment filmer une chasse par une meute de chiens sans qu'il y ait de la "casse"?). C'est une question et non une affirmation.
J’avais entendu une interview de Nicolas Vanier assez militante pour la défense de la nature et de la Sologne et il m'avait intéressé mais rien de tout ça dans ce film!!! Cela vaut un petit inventaire :
Le braconnier (François Cluzet) qui ne veut pas qu’on se mêle de ses affaires quoi de plus normal il prend des risques après tout. 5' après il explique tout à ce gamin dont on aurait pu penser que sortant de l’orphelinat il serait un petit dur. Pas du tout!!
Le comte (François Berléand) à qui appartient toutes les terres qui n’aime pas les enfants et qui dès sa seconde rencontre s’intéresse à ce gamin.
Le fils du comte ridiculisé en permanence (il se retrouve 2 fois la tête dans la boue quand même). D’ ailleurs sa femme n'est pas rancunière car son mari étant déshérité elle prend le gamin dans ses bras comme si de rien n’était!!
Un garde-chasse complètement nul à qui personne ne demande rien mais qui veut à tout prix coincer le braconnier avec une inefficacité redoutable, lui qui occupe une fonction spécialisée dans la connaissance de la nature et du "terrain"...Méprisant pour ce corps de métier...et je ne suis pas du tout garde-chasse!
La découverte de l’amour (ah! il ne manquait plus que ça!) avec une petite gitane...
Une institutrice dont on se demande quel rapport elle peut avoir avec un braconnier qui vient le chercher pour sauver un cerf des griffes du terrible fils du comte...
Non mais il y a plein d’inepties comme celles-là!!!
C’est affligeant et indigne d’un réalisateur de cinéma alors que tant d’auteurs qui ont probablement tant de choses à nous faire voir sont à la recherche de financement pour faire un 1er film...et je ne suis pas dans le cinéma!
Un vrai navet vous dis-je!!

Très beau film, simple, sensible, avec cette nature si belle et vrai. Je ne comprends pas les avis critique Presse, ils doivent tous habiter Paris. La veille j ai été voir Blade runner, pas un arbre, ça fait réfléchir sur notre avenir sans la Nature. Bravo à Vannier, Cluzet et ce petit garçon.

Nicolas Vanier revient avec L'école buissonnière, Visite sur le tournage en Sologne... mouvementé ce jour-là.
Un carnage se déroule sous les yeux de l'équipe. Pour une reconstitution de chasse à courre, une vingtaine de chiens égorge un renard et déchiquette ses pattes arrière. Il n'était pourtant là que pour exciter la faune canine devant la caméra, mais la situation a dégénéré. Le dresseur tente de sauver l'animal mais le récupère en piteux état.
Nicolas Vanier, le réalisateur, est content de la scène. Les chiens aussi. Le plan est en boîte. Le pauvre renard empaillé gît maintenant contre un arbre, sa tête quasiment détachée de son corps éventré. De la paille émerge des trous faits à coups de crocs.
Alors je ne vais pas faire la promotion d'un film qui au delà de l'histoire d'un gamin si mignon soit il fait la promotion de la cruauté animale. Mais ce qui compte c'est que Mr Vannier soit content d'avoir vu un renard se faire déchiqueter pour son film qui est un hommage pour la chasse à courre et le braconnage.

dans les décors naturels d'une grande richesse et d'une grande beauté
de la Sologne le film nous fait découvrir l'histoire de ce petit orphelin
qui déboule dans la vraie vie en quittant sa prison d'orphelinat.
on va avec lui découvrir les secrets et la vie en forêt.
de biens belles interprétations et mon coup de cœur pour Valérie Karsenti
attendrissante à souhait.

Un film un peu naïf avec de très belles images en ode à la nature solognote. En sus, les acteurs dégagent une émotion certaine, avec une mention particulière pour le plus jeune d'entre eux. Dans la lignée des précédentes œuvres du réalisateur.

vraiment MAGNIFIQUE autant l'histoire que les scènes avec les magnifiques animaux filmés dans leur beau milieu. A VOIR ABSOLUMENT

Pas aimé. Il faut voir ce film comme un joli documentaire sur la Sologne avec une photo magnifique mais si on parle de l'histoire, il ne se passe pas grand chose pendant toute une partie ensuite c'est creux, mou, prévisible, ça manque de profondeur, d'intensité, de force et le choix de l'enfant est une erreur de casting. Il n'est pas du tout attachant, ne fait pas vraiment enfant de l'époque mais bien d'aujourd'hui c'est à dire presqu'adulte dans ses attitudes. Vannier devrait se contenter de faire des reportages, on ne s'improvise pas cinéaste comme ça. La seule chose positive, Elmosnino qui est épatant sinon, Cluzet et Beérléan sont transparents. Heureusement qu'il y a les costumes.

Le pensionnaire d’un orphelinat parisien est confié à la femme du garde chasse d’une luxueuse propriété en Sologne. Il découvre ce nouveau monde, s’y adpate et y trouve sa place.

Très belles images de forêt, de ‘’digne’’ chasse à cour … mais tout est propre ; le gamin part en forêt en petite veste et casquette, propre sur lui. Pas un faux pli, pas un grain de poussière. Même le braconnier, campé par François Cluzet, qui vit dans une cabane sur une barge est toujours im, peccable. A force de vouloir faire de jolies images, on perd gravement en crédibilité.

Le scénario, type joli conte de fée, sied à peine au public jeune…

Bof

Film magnifique à tous points de vue : images, musique, sentiments, nature, jeu des acteurs ... bravo à N Vanier