Un superbe moment, nous sommes toutes suite transportés dans l'univers de la forêt. Les images sont fantastiques, les cerfs, les oiseaux, les renards ... même les canards. Le braco dit ''Totoch'' est drôle et apprend à Paul et indirectement au spectateur, comment dire, les bienfaits de la nature et la vie. Bref, un film fantastique qui nous a fait voyagés du début jusqu'à la fin.
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3,5
Publiée le 7 juin 2022
On est loin du Grand Nord Canadien, on est loin des loups, on est loin des trappeurs...on est loin de tout ça! Nous sommes en Sologne au coeur de la forêt, de la pèche et de la chasse avec un petit garçon qui n'a pas connu ses parents! il y aura toujours des amateurs de Nicolas Vanier, de films tout pleins de bons sentiments avec une nature magnifique, mais dont la recherche des racines arracheront des larmes aux coeurs sensibles! Et avouons le, "L'ècole buissonnière" (2017), tirè du roman de Vanier, fonctionne formidablement bien avec des acteurs parfaitement bien dirigès! On rentre dans cette forêt avec ce petit parisien orphelin et ses personnages inquiètants que sont Borel ou le le comte de La Fresnaye (François Berlèand, touchant), et on n'en ressort grandi et heureux d'avoir pu dècouvrir le monde de la campagne avec Totoche le braconnier, une sorte de grand-père spirituel avec plus d'un tour dans son sac! Quel bonheur de faire l'ècole buissonnière au coeur de la nature avec une certaine vèritè dans cette forêt qu'on a un peu trop vite oubliè aujourd'hui...
Le cinéma de Nicolas Vanier n'est pas exempt de défauts, mais celui-ci est toujours respectueux de son public, même si ce n'est pas forcément celui après lequel je cours. « L'École buissonnière » est probablement son film le plus grand public, ayant (à mon sens) rencontré en salles un succès aussi important qu'inattendu. Qu'écrire ? Un spectacle « à l'ancienne », avec une histoire d'enfant orphelin découvrant un monde qu'il ne connaît pas, avec bons sentiments mais pas trop, personnages « locaux » très, très typiques (accentués par certains acteurs, François Cluzet et Eric Elmosnino en tête, heureusement plus subtilement entourés de Valérie Karsenti et François Berléand) et des sous-intrigues parfois gentillettes. Mais aussi un divertissement assez généreux, menant correctement sa barque dans sa logique « familiale et grands espaces », soignant particulièrement sa photo lors des scènes de forêt, très bien filmée, n'ayant pour l'occasion pas grand-chose à envier aux documentaires signés Jacques Perrin. C'est souvent lorsque l'action s'y déroule que le film séduit, et l'on sent bien que Vanier, lui-même chasseur, fait un réel effort pour ménager les « anti », la jouant même « morale » lors d'une scène importante (que vous devinerez aisément). Bon, je me serais aisément passé de cette battue finale (qui a au moins le mérite de ne pas être montré), m'enfin... Pas de surprise ou d'émotion intense en vue, donc, mais un titre faisant à peu près le taf et soignant un minimum sa forme : c'est toujours ça de pris.
Après "Belle et Sébastien", Nicolas Vanier signe un nouveau conte moral où la nature est un personnage à part entière. La forêt de Sologne vient remplacer les Alpes mais le cinéaste possède toujours sa capacité à exploiter les décors. Malheureusement, l’intrigue s’éparpille un peu et n’a pas d’enjeux.
Très belle histoire............sans surprises...........mais attachante............quelque peu Pagnolesque............je conseille................4 étoiles et demie...............!!!!!!!!
Je suis allé voir "L'école buissonnière'" un peu à reculons voir hésitant sachant que le cinéaste producteur et co-scénariste Nicolas Vanier a fait du bon comme son premier long métrage "Le dernier trappeur" comme du moyen avec "Belle et Sébastien" et en sortant de la séance , je pense qu'il a fait son film le plus aboutit !! La première heure nous narre au début du vingtième siècle l'histoire de Paul, issu d'un pensionnat, logeant un temps dans une famille dans le pays de la Loire. La femme qui l'héberge lui parle de Totoche vivant près d'une rivière avec son chien nommé 'Garçon", barbu et braconnier selon le mari de cette dernière et l'amitié entre Totoche et le petit Paul va se nouée avec la pèche, les forets, les gibiers, les champignons et tout ce que peux offrir la nature. La deuxième partie est un peu plus dans le drame avec le comte, son patrimoine et la famille mais je n'en dis pas plus. J'ai bien aimé ce long métrage dans sa globalité avec des moments droles, tendres, sympathiques, je ne me suis pas ennuyé une seule seconde. Nicolas Vanier filme la nature du pays de la Loire de façon de trés belle avec par exemple lle cerf qui nous donne une scène très émouvante. Les comédiens sont remarquables comme François Cluzet, Eric Elmosnino, François Berléand ou le jeune Jean Scandel. Une jolie surprise.
Film plein de charme malgré son scénario simpliste, son montage syncopée pépère, son interprétation fadasse – même par les « stars ». Oui, le charme subsiste car l’histoire touchera tous ceux qui aiment les enfants, les ombres des familles aristocratiques d’antan et surtout la nature et les animaux. Notre belle Sologne est magnifiquement filmée et c’est là l’intérêt majeur de l’œuvre. C’est dommage que tout manque de charpente et d’aspérités. Un film qui aère et qui ravive nos vieux souvenirs d’enfance à la campagne, avant l’UE et la FNSEA ! Ce genre de film sans relief mais qui charme quand même et laisse un agréable souvenir.
Le vrai cinéma de papa tout dans la technique (lumières et décors) mais rien dans la mise en scène, très classique tout comme l’interprétation. Un effet dépaysant et bienveillant certainement mais trop lisse pour sortir du lot cet ersatz d’Enfants du Marais. La puissance dramatique du film ne sort jamais et finit même en comédie presque potache.
un film poétique émotionnel et poétique avec des acteurs touchants et attachants puis il y a son côté nature qui nous procure un bon moment de voyage. un film simple sympa qui se laisse regardé mais pas exceptionnel non plus.
Je m'attendais à quelque chose de plutôt mièvre plein de bons sentiments. Grosse erreur. Ce film est un bijou dont on sort heureux avec une pêche d'enfer. D'abord le scénario, qui nous plonge dans les année 20 en Sologne, près du domaine de Chambord, est totalement crédible, avec cette histoire d'un gamin orphelin, recueilli dans la famille d'un garde chasse, et qui se prend d'amitié avec le braconnier local, magnifiquement interprété par un François Cluzet méconnaissable. Ensuite les prises de vue absolument somptueuses de la forêt de Sologne et de ses animaux, cerfs en particulier. Et tous les acteurs au top, dont on citera Valérie Karsenti, que je trouve en général très sous employée malgré son talent, François Berléand, en patriarche du domaine, et Eric Elmosnino, toujours aussi truculent. Vraiment un très bon moment de cinéma.
[L'École Buissonnière, 4/5] Une belle histoire avec pour héros un petit garçon orphelin adorable que la vie a chahuté dès le départ. Autour de lui, maman Célestins (Valérie Karsenti) et Totoche (François Cluzet) font office de parents de substitution. Les paysages sont magnifiques avec des vues incroyables sur les animaux sauvages de la Sologne, en particulier le cerf. L'action située dans les années 1930 nous ramène à une réalité oubliée, un temps où l'on était encore en contact avec la nature et où on la respectait bien plus que 90 ans plus tard.
Un film bien gentillet, pas compliqué à suivre, avec de nombreux personnages attachants (la plupart à vrai dire).Cette histoire d'orphelin dans les années 30, pris en charge par une domestique d'un château habité par un Vicomte, un peu vieux jeu, au cœur blessé, mais ouvert et généreux se déroule sans trop de surprise. La chute est aisément devinable dés le premier tiers du film . La domestique est un peu volage. son mari, garde-chasse est obsédé par le braconnier Totoche, vieux et solitaire, qui va finir par prendre en amitié le jeune Paul et lui faire découvrir les joies et beauté de la nature, à contempler ou à exploiter. les images de la nature et des animaux (oiseaux, poissons, renards, biches et cerfs) sont toujours jolies et parfois magnifiques, mais il finit par y en avoir trop, même s'il s'agit du domaine d'un château, o a du mal à croire à leur réalité Au total ce film est davantage un conte, un peu à la Hector Malot, qu'une intrigue haletante, mais on ne s'ennuie pas
Jérôme Tonnerre et Nicolas Vannier ont fait un travail d'écriture remarquable et le résultat est tout simplement magnifique. Excellent film... excellents comédiens... paysages sublimes... Merci de rendre hommage au 7e art et aux spectateurs en nous offrant de si jolis films. MAGNIFIQUE !!!