Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Nicolas Vanier, traditionaliste, double ce récit d’apprentissage d’un récit familial dramatique. L’Ecole buissonnière cultive une rétro-nostalgie un peu poussiéreuse, mais elle a pour elle un décor grandiose, cette Sologne magnifiquement filmée. Voici un conte qui est un film-paysage.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Un conte tendre, au charme désuet, pour les plus jeunes.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Sur cette intrigue enfantine, dont les acteurs préservent avec beaucoup de talent la candeur surannée, le film déploie le charme puissant d'un vrai romanesque provincial.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Anne Goscinny
Elegant, sensible et juste.
Ouest France
par La Rédaction
Les séquences avec les animaux, des renards aux cerfs en passant par les saumons et les rouges-gorges, sont absolument magnifiques et valent les deux heures passées à suivre le jeune Paul sur les traces d'un vrai braconnier de Sologne (...).
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La carte postale est pleine de charme, les personnages sont truculents, l’histoire touchante et mélodramatique en diable. Exotique en ces temps si moroses.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Pour sa deuxième incursion dans la fiction, Nicolas Vanier n’y va pas avec le dos de la cuiller (...) Privilégiant le pittoresque au vrai. Plus convaincant lorsqu’il se penche au chevet de l’amitié éclosant entre un gamin paumé et un vieil ours de braconnier, campé avec autorité et bienveillance par François Cluzet (...).
Le Parisien
par Catherine Balle
Cette histoire de famille qui se passe dans les années 1930 plaira aux enfants, aux nostalgiques et aux amoureux de la nature. Les images de la forêt sont féeriques et Valérie Karsenti lumineuse dans ce rôle très tendre.
Voici
par La Rédaction
Une gentille fable initiatique, écolo régionaliste, pêche au goujon, nature et tradition, à voir en famille.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Le dépaysement fait son effet. Pourtant, cette beauté de carte postale omniprésente ne laisse guère de place au récit et le rythme, toujours plus contemplatif, s’amenuise jusqu’à frôler l’ennui au cœur de cette fresque agricole de presque deux heures.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Dans la grande veine du récit d’enfance et de l’éveil à la nature, entre “Grand chemin” et “Enfants du marais”, un récit plein des meilleurs clichés du monde.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Pas de réel enjeu dramatique, mais un beau casting, du charme, du dépaysement, de la bienveillance.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Vanier a chaussé ses charentaises pour ce récit cousu de fil blanc, dans lequel François Cluzet en fait des tonnes en braconnier bourru au grand coeur.
L'Express
par Christophe Carrière
(...) un long-métrage aux intentions inattaquables... mais qui pâtit d'un désespérant manque d'originalité narrative et d'une totale absence d'aspérité dans le récit. Bref, tout est d'un prévisible navrant.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Le réalisateur n'ose rien, restant sur les rails d'un cinéma pépère, succession de chromos animaliers vintage, pour ne pas dire poussiéreux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Murielle Joudet
"L’Ecole buissonnière" ne fait que s’engouffrer dans la brèche ouverte par "Les Choristes", un cinéma d’Epinal réconfortant et sans aspérités.
Télérama
par Samuel Douhaire
Problème, François Cluzet (alias le braconnier « Totoche ») et Eric Elmosnino (en garde-chasse bas du front) sont insupportables de cabotinage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dernières Nouvelles d'Alsace
Nicolas Vanier, traditionaliste, double ce récit d’apprentissage d’un récit familial dramatique. L’Ecole buissonnière cultive une rétro-nostalgie un peu poussiéreuse, mais elle a pour elle un décor grandiose, cette Sologne magnifiquement filmée. Voici un conte qui est un film-paysage.
Femme Actuelle
Un conte tendre, au charme désuet, pour les plus jeunes.
Le Figaro
Sur cette intrigue enfantine, dont les acteurs préservent avec beaucoup de talent la candeur surannée, le film déploie le charme puissant d'un vrai romanesque provincial.
Le Figaroscope
Elegant, sensible et juste.
Ouest France
Les séquences avec les animaux, des renards aux cerfs en passant par les saumons et les rouges-gorges, sont absolument magnifiques et valent les deux heures passées à suivre le jeune Paul sur les traces d'un vrai braconnier de Sologne (...).
Franceinfo Culture
La carte postale est pleine de charme, les personnages sont truculents, l’histoire touchante et mélodramatique en diable. Exotique en ces temps si moroses.
La Voix du Nord
Pour sa deuxième incursion dans la fiction, Nicolas Vanier n’y va pas avec le dos de la cuiller (...) Privilégiant le pittoresque au vrai. Plus convaincant lorsqu’il se penche au chevet de l’amitié éclosant entre un gamin paumé et un vieil ours de braconnier, campé avec autorité et bienveillance par François Cluzet (...).
Le Parisien
Cette histoire de famille qui se passe dans les années 1930 plaira aux enfants, aux nostalgiques et aux amoureux de la nature. Les images de la forêt sont féeriques et Valérie Karsenti lumineuse dans ce rôle très tendre.
Voici
Une gentille fable initiatique, écolo régionaliste, pêche au goujon, nature et tradition, à voir en famille.
aVoir-aLire.com
Le dépaysement fait son effet. Pourtant, cette beauté de carte postale omniprésente ne laisse guère de place au récit et le rythme, toujours plus contemplatif, s’amenuise jusqu’à frôler l’ennui au cœur de cette fresque agricole de presque deux heures.
Le Dauphiné Libéré
Dans la grande veine du récit d’enfance et de l’éveil à la nature, entre “Grand chemin” et “Enfants du marais”, un récit plein des meilleurs clichés du monde.
Le Journal du Dimanche
Pas de réel enjeu dramatique, mais un beau casting, du charme, du dépaysement, de la bienveillance.
Studio Ciné Live
Vanier a chaussé ses charentaises pour ce récit cousu de fil blanc, dans lequel François Cluzet en fait des tonnes en braconnier bourru au grand coeur.
L'Express
(...) un long-métrage aux intentions inattaquables... mais qui pâtit d'un désespérant manque d'originalité narrative et d'une totale absence d'aspérité dans le récit. Bref, tout est d'un prévisible navrant.
L'Obs
Le réalisateur n'ose rien, restant sur les rails d'un cinéma pépère, succession de chromos animaliers vintage, pour ne pas dire poussiéreux.
Le Monde
"L’Ecole buissonnière" ne fait que s’engouffrer dans la brèche ouverte par "Les Choristes", un cinéma d’Epinal réconfortant et sans aspérités.
Télérama
Problème, François Cluzet (alias le braconnier « Totoche ») et Eric Elmosnino (en garde-chasse bas du front) sont insupportables de cabotinage.