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La mélodie du bonheur est une comédie musicale culte de Robert Wise. La mise en scène du réalisateur est irréprochable, il réussit à nous plonger immédiatement dans l’ambiance et on passe un très bon moment. Les musiques sont excellentes, le scénario est travaillé, original et recherché et les acteurs comme la grande Julie Andrews ou encore Christopher Plummer et Richard Haydn sont parfaits dans leurs rôles etc... Bref, c’est à voir…
Une comédie musicale, légère (mais pas tellement vu l'année où l'histoire se passe), avec des chansons magnifiques et cultes, de bons acteurs, une super mise en scène (quelle séquence d'ouverture!). Très bon, redonne la pêche!
Un classique du hollywood vieillissant des années 60. Une guimauve trop sucré à mon gout où le bon sentimentalisme dégouline à chaque scène. Et c'est long ! 3h avec une dernière partie sur fond de guerre finalement assez inutile. Mais le pire dans tout cela c'est que l'on reste malgré tout scotché devant car ça reste du pur divertissement à la Walt Disney qui fait penser à Mary Poppins ou l'apprentie sorcière.
Lent, chiant et kitsch (et cliché), cette sounds of music ne m'a pas plu. Alors pourquoi lui mettre une ai bonne note me direz-vous? Car les musiques sont tout bonnement excellentes. Les refrains, on les retiens facilement et c'est pas mal foutu. Les chorégraphies te reste dans la tête tout comme les scènes clichées. Mériterai un deux/cinq pas plus.
Lors de sa sortie La Mélodie du Bonheur est un immense succès, dépassant Autant en Emporte Le Vent au niveau du nombre d’entrées. Son succès le film le doit probablement à sa teneur très familiale et à son histoire très accessible (pas de morts ou de drames majeurs) mais aussi à la qualité de la musique et à la beauté carte postale des lieux de tournage autrichiens. Julie Andrews se charge du rôle principal et s’en sort très bien pour toutes les parties musicales, un peu moins bien pour le jeu parlé. Christopher Plummer c’est l’inverse, il est carrément doublé au chant mais livre une bonne performance et amène un peu de subtilité à son personnage un peu unilatéral. Les seconds rôles fonctionnent bien, en particulier celui de l’oncle Max qui lui apporte la touche humoristique et ses remarques sur sa cupidité évitent au film de sombrer dans le conformisme le plus total avec lequel il semble flirter. La Mélodie du bonheur est une comédie musicale ou tout le monde est beau et gentil, une œuvre qui ne laisse pas un souvenir impérissable mais qui est sympathique et dont les 2H45 passent facilement.
Il fallait y penser : La mélodie du bonheur est une comédie musicale américaine, tournée en anglais à Salzbourg, racontant la passion que va développer une famille aristocratique du cru pour le chant choral précisément l'année où l'Autriche va subir l'Anschluss. Et pourtant, malgré un côté sirupeux, ça fonctionne. Inspirée de manière lointaine d'une histoire vraie, adapté d'une comédie musicale ayant connu le succès à Broadway, ce film de 3h connut un triomphe au box-office mondial. Porté par des Julie Andrews et Christopher Plummer convaincants, il bénéficie de décors et paysages somptueux et d'une très belle image qui donne lieu à des séquences envoûtantes – pas forcément les passages chantés d'ailleurs. Le long-métrage surprend même en évoquant le contexte politique de manière par si mièvre que cela. Cinq Oscars en 1966.
« La mélodie du bonheur » est une comédie musicale culte qui peut se targuer d’avoir raflé pas moins de cinq oscars en 1966. Etonnant ? Ce qui l’est le plus est peut-être le fait que l’homme derrière la caméra de cette gentille œuvre familiale est aussi celui ayant orchestré la violence des gangs de « West Side Story ». Changement de registre total donc, bien que l’héroïne de cette histoire se nomme encore une fois Maria. La Maria de cette histoire est une nonne, mais une nonne aimant chanter tout en se perdant dans les hautes étendues autrichiennes. Exaspérées par son comportement frivole peu adapté à la vie au couvent, les sœurs lui donnent pour mission de devenir la gouvernante des sept enfants du sévère capitaine Von Trapp. Il se trouve que Maria est exaspérante avec son éternel optimisme et son sourire forcé, il se trouve que les enfants ne sont pas si terribles que ça, et il se trouve aussi que le capitaine est bel homme finalement pas si coincé. L’intrigue est toute dessinée, non ? Ce que je reproche à « La mélodie du bonheur », c’est son manque de profondeur. Il n’y a pas de réels enjeux puisque tout se passe idéalement. Une unique confrontation avec les petits diables et ensuite c’est l’amour pour toujours, pareil pour la relation entre Maria et Georg. La baronne Elsa Schraeder baisse rapidement les bras après n’avoir tenté de décourager qu’une unique fois sa rivale. Après près des trois quarts du film, une fois les intrigues familiales closes, l’arrivée du nazisme en Autriche permet de donner une légère profondeur au récit. Comment assumer ses positions, comment assurer son rôle de chef de famille lorsque soi-même on doute, comment protéger sa progéniture, tant de réelles thématiques abordées par la comédie musicale. Il aurait pu être judicieux d’exploiter ces idées plus longuement vis-à-vis de la longueur de l’œuvre, mais qu’importe, elles sont présentes et c’est l’essentiel. Après tout, la volonté a été de concocter un film familial qui donne le sourire, non ? Les chansons présentent du bon comme du moins bon. Certaines charment immédiatement l’oreille, telles que "My favourite things", "Do-re-mi" et "Edelweiss", et accompagnent évidemment des scènes toutes aussi charmantes. D’autres ne provoquent rien malgré la qualité de la scène l’accompagnant ("Something good") et d’autres ne présentent que peu d’intérêt voire agacent, concordant avec la vacuité de la scène ("I have confidence", "Sixteen going on seventeen", "The lonly goatherd"). Vous l’avez compris je pense, si jamais vous avez envie de vous détendre devant un film niais, gentillet et sans prétention « La mélodie du bonheur » est fait pour vous ! Autrement, autant ne porter d’intérêt qu’à la précédente comédie musicale de Wise.
L'histoire de la famille Trapp et de sa gouvernante religieuse est assez proche de la réalité. Roman autobiographique en 1949 de ladite gouvernante Maria Augusta von Trapp (1905-87), adapté une première fois en film en Allemagne en 1956, puis en comédie musicale américaine en 1963 avant d'être porté au sommet avec ce film. Julie Andrews un an après Mary Poppins est pour beaucoup dans ce succès. Le film est en partie musical et sentimental et en partie un témoignage de la période nazie avec l'Anschluss qui fut la réunion de l'Autriche à l'Allemagne sous le contrôle nazi en 1938. Mais c'est aussi une très belle histoire éducative pleine de bons sentiments qui est en partie liée au fait que la gouvernante religieuse est persévérante et pleine de compassion et de tendresse en plus de son talent musical. Le film a un peu vieilli par ses façons édulcorées mais pas trop et on reste sur la compréhension de son succès planétaire.
En dépit de son profil de spectacle sponsorisé par l'Office Catholique du Film Français et malgré sa première demi-heure qui aurait désespéré n'importe quel patronage,ce film multi-oscarisé de Robert Wise ,résiste bizarrement assez bien sur la durée , de nouveau par le seul mérite de sa mise en scène et surement par la grâce espiègle d'une Julie Andrews,qui dans la foulée de Mary Poppins rempile pour un nouvel emploi de gouvernante iconoclaste.
En voyant ce film, je me suis fait la réflexion qu'aujourd'hui Hollywood serait totalement incapable de le produire. Alors autant ne pas faire la fine bouche et l'apprécier. Comédie musicale de près de trois heures, ambitieuse tant sur le fond que sur la forme, visuellement très belle et où la mise en scène de Robert Wise fait merveille dans sa maitrise du cadre et de l'espace. Le réalisateur a tendance à être sous-estimé en raison d'une filmographie jugée trop hétéroclite et trop rentable pour être honnête. Le choix de placer cette histoire légère dans un cadre historique particulièrement sombre n'offre que plus d'impact à son propos. Le pricipal sujet de cette comédie musicale est en effet la musique elle-même et l'importance et la force qu'elle peut avoir tant sur un plan personnel (manière d'égayer l'existence, accomplissement de soi) que dans un cadre plus engagé (la représentation finale de la famille tient presque du manifeste). Les numéros musicaux sont très bons et les passages de comédie, agréables et enlevés, sont agréables à suivre.
Comme le chantait si bien le groupe Chic, "Music never let you down". C'est un des nombreux messages que le film nous porte. Il m'a beaucoup touché, malgré que je ne sois pas friands de comédie musicale et que l'actrice principale m'énerve un peu (ce film m'a réconcilié avec elle d'ailleurs). Son seul vrai défaut, c'est sa longueur (un peu lent). La dernière demi heure, bien que sympathique, aurait pu être enlevée. Cependant, je me suis tellement attaché à cette famille, que je regarderais bien une suite...
Tourner dans la foulée de "Mary Poppins" et à l'occasion de sa sortie sur Disney +, je vous conseille vivement de regarder : La Mélodie du Bonheur, ce classique du premier age d'or du cinéma aux chansons iconiques, à la mise en scène soignée et ou le couple Julie Andrews/Christopher Plummer est épatant ! Des films vrais et authentiques comme on voudrait en voire tous les jours.
Classique indémodable ! Sorti en 1966, La Melodie du Bonheur est un film cultissime abordant plusieurs thématiques : L'amour, la musique et la beauté. Tout cela combiné nous donne : L'espoir. C est un film d'espoir puissant émotionnellement qui nous tient en haleine durant les 3h.
L'interprétation des actrices et des acteurs sont juste formidable, notamment Julie Andrews qui tient sûrement son meilleur rôle. Elle nous livre une prestation mémorable ! C est également le cas Christopher Plummer qui forme un duo unique.
La musique est juste magnifique et un bonheur ! Les comédies musicales déçoivent rarement.
Melangeant les faits historiques, l intrigue principal du personnage de Maria, cela nous donne un film d'une beauté sans nom !
Exceptionnel
L'interprétation des actrices et des acteurs sont juste formidable, notamment Julie Andrews qui tient sûrement son meilleur rôle. Elle nous livre une prestation mémorable ! C est également le cas Christopher Plummer qui forme un duo unique.
La musique est juste magnifique et un bonheur ! Les comédies musicales déçoivent rarement.
Melangeant les faits historiques, l intrigue principal du personnage de Maria, cela nous donne un film d'une beauté sans nom !
Exceptionnel
J'ai grandi avec les classiques de Disney et j'apprécie les comédies musicales, je pensais donc être immunisé à la niaiserie. La Mélodie du Bonheur m'a prouvé le contraire, et c'est bien dommage que ce film soit aussi guimauve, car il possède des qualités non négligeables. L'histoire suit Maria, une jeune femme un peu étourdie qui vit dans un couvent. Suite à ses nombreux manquements au règlement, la mère supérieure décide de l'envoyer en tant que gouvernante auprès des sept enfants de la famille von Trapp, qui ont perdu leur mère quelques années auparavant. Et à partir de là on connait l'histoire, pas parce qu'elle est clichée ou convenue, mais parce qu'on l'a vue dans un autre film avec la même actrice principale, Mary Poppins, sorti un an avant La Mélodie du Bonheur. C'est d'ailleurs étonnant que ce dernier soit tiré d'une histoire vraie, on ne peut donc pas dire qu'il a plagié le film de Disney. Le long-métrage de Robert Wise souffre quand même de la comparaison, principalement au niveau des enfants, dont le jeu est globalement mauvais et dont le nombre leur empêche d'avoir une personnalité propre (à l’exception de Liesl), là où Jane et Michael Banks étaient développés. Les interludes musicaux sont trop nombreux et certaines chansons reviennent trop de fois à mon goût, sans pour autant qu'il y en ai une qui me reste en tête à la fin du film. Toutefois, je suis bien obligé de reconnaître que c'est travaillé et que les acteurs y mettent du leur, en particulier Julie Andrews qui a l'air de s'éclater à jouer cette gouvernante. Il y a rarement une chorégraphie pour accompagner, sauf pour les chansons importantes scénaristiquement, ce qui leur confère un charme supplémentaire (en particulier les scènes dans le kiosque du jardin). Le film vaut le coup d’œil pour la réalisation de Robert Wise, qui ne fait que confirmer ce qu'on pouvait déjà observer dans West Side Story. On retrouve ici des décors imposants et magnifiques, que ce soit le paysage autrichien, le manoir des von Trapp ou bien les rues de Salzbourg. Le cadre rend parfaitement compte de la taille et de la beauté des environnements dans lesquels évoluent les personnages, qui occupent souvent une petite place à l'écran et pourtant leur placement millimétré permet de s'intéresser autant au fond qu'à eux. C'est la première fois que la positions des acteurs me frappe autant, et je pense que le long-métrage mérite d'être vu juste pour cela. Pour résumer, c'est bien fait et bien interprété, mais le ton résolument trop niais m'a empêché de rentrer dans l'histoire, ce qui fait que je me suis ennuyé (ça dure quand même 3 heures !). La note en a bien évidemment pâti, mais je le considère comme un bon film et je le recommande si vous avez la patience pour ce ton cucul la praline.
Des mélodies cultes, des acteurs et actrices inoubliables, un film plein de poésie et d'amour, même dans les moments les plus sombres (durant la conqupete nazie). Un chef d'oeuvre !!!
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