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5 critiques presse
L'Humanité
par Jean-Pierre Leonardini
"La mélodie du bonheur" est donc un mélodrame, mais de grand luxe ; budget énorme et travail soigné. L'Humanité, 28 février 66
Télérama
par Jacques Siclher
Il s'agit un grand spectacle populaire et familial, de bon goût jusque dans l'attendrissement, un beau travail technique (…) mais près de trois heures pourtant, c'est long ! Téléram, 6 mars 66
Cahiers du Cinéma
par Jean-André Fieschi
(…) après l'introduction de l'innomable famille Trapp au grand complet, on ne peut plus rien croire du tout, tout juste subir si l'on en a la force, le plus écoeurant maelstrom de guimauve et de sottise qui ait dévasté les écrans depuis longtemps. Cahiers du cinéma 176, mars 66
Le Monde
par Jean De Baroncelli
(…) trois heures de sucreries sur l'écran et dans la salle, c'est beaucoup. Inutile de le cacher plus longtemps : "La mélodie du bonheur" est un film qui m'a prodigieusement ennuyé. Le Monde, 22 février 66
Les Echos
par La rédaction
Fade jusqu'à l'écoeurement, plate, insipide, douceâtre, niaise, insignifiante, "La mélodie du bonheur" nous plonge dans un sirop d'orgeat sucré à saturation. Les Echos, 25 février 66
L'Humanité
"La mélodie du bonheur" est donc un mélodrame, mais de grand luxe ; budget énorme et travail soigné. L'Humanité, 28 février 66
Télérama
Il s'agit un grand spectacle populaire et familial, de bon goût jusque dans l'attendrissement, un beau travail technique (…) mais près de trois heures pourtant, c'est long ! Téléram, 6 mars 66
Cahiers du Cinéma
(…) après l'introduction de l'innomable famille Trapp au grand complet, on ne peut plus rien croire du tout, tout juste subir si l'on en a la force, le plus écoeurant maelstrom de guimauve et de sottise qui ait dévasté les écrans depuis longtemps. Cahiers du cinéma 176, mars 66
Le Monde
(…) trois heures de sucreries sur l'écran et dans la salle, c'est beaucoup. Inutile de le cacher plus longtemps : "La mélodie du bonheur" est un film qui m'a prodigieusement ennuyé. Le Monde, 22 février 66
Les Echos
Fade jusqu'à l'écoeurement, plate, insipide, douceâtre, niaise, insignifiante, "La mélodie du bonheur" nous plonge dans un sirop d'orgeat sucré à saturation. Les Echos, 25 février 66