L'Ami, François d'Assise et ses frères : Critique presse
L'Ami, François d'Assise et ses frères
Note moyenne
3,2
12 titres de presse
Elle
La Croix
Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
Positif
L'Obs
Le Dauphiné Libéré
Le Journal du Dimanche
Télérama
Franceinfo Culture
Le Monde
Studio Ciné Live
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Elle
par Anne Diatkine
Près de mille siècles nous séparent de François d'Assise, mais, ce qui touche le plus dans ce film audacieux, qui relate la vie du saint et de son ami radical Elie, est la brusque rencontre avec le présent, lorsqu'on s'y attend le moins.
La Croix
par Arnaud Schwartz
En s’emparant avec finesse de la figure de François d’Assise et d’élie de Cortone, ce beau film, intelligent et sensible, ouvre sur un questionnement universel.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Le comédien italien Elio Germano incarne un François d'Assise inspiré dans ce film réalisé par Renaud Fély et Arnaud Louvet.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Sobre et sensible, “L’Ami” analyse les fondements d’une communauté spirituelle.
Positif
par Bernard Génin
Le mérite de ce beau film, pour légèrement romancé qu'il soit, est de contribuer à rétablir une vérité historique défigurée par les hagiographies.
L'Obs
par François Forestier
Tourné en Languedoc, dans des décors superbes, le film est une hagiographie respectueuse, destinée à ceux que ces sujets passionnent.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur un personnage mythique, qui inspira Pasolini, un film qui n’a certes rien de la puissance de création de son devancier, mais qui suit honnêtement son chemin hagiographique balisé.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Même si la fin semble n’avoir levé qu’un coin de voile sur cette histoire édifiante, la résonance de la controverse avec notre époque d’impuissance politique, dépourvue d’alternative au capitalisme, interpelle.
Télérama
par Samuel Douhaire
Quand, dans les premières minutes, on a vu Elio Germano rouler des yeux exorbités pour incarner François d'Assise, on a craint le pire... Heureusement, les réalisateurs s'intéressent moins au saint qui parlait aux oiseaux qu'à son meilleur disciple, Elie de Cortone.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Si l’ascèse est de mise, une rugosité à la Bruno Dumont aurait été plus pertinente, que cette image pastorale, imprégnée de naïveté, qui contamine jusqu’à l’interprétation des acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Monde
par Mathieu Macheret
Cette opposition entre purisme et réformisme ouvre une brèche politique qui constitue ce que le film a de plus intéressant, mais trop vite refermée pour être véritablement creusée.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Nous, on attend encore que tout le monde se mette d'accord.
Elle
Près de mille siècles nous séparent de François d'Assise, mais, ce qui touche le plus dans ce film audacieux, qui relate la vie du saint et de son ami radical Elie, est la brusque rencontre avec le présent, lorsqu'on s'y attend le moins.
La Croix
En s’emparant avec finesse de la figure de François d’Assise et d’élie de Cortone, ce beau film, intelligent et sensible, ouvre sur un questionnement universel.
Le Figaro
Le comédien italien Elio Germano incarne un François d'Assise inspiré dans ce film réalisé par Renaud Fély et Arnaud Louvet.
Les Fiches du Cinéma
Sobre et sensible, “L’Ami” analyse les fondements d’une communauté spirituelle.
Positif
Le mérite de ce beau film, pour légèrement romancé qu'il soit, est de contribuer à rétablir une vérité historique défigurée par les hagiographies.
L'Obs
Tourné en Languedoc, dans des décors superbes, le film est une hagiographie respectueuse, destinée à ceux que ces sujets passionnent.
Le Dauphiné Libéré
Sur un personnage mythique, qui inspira Pasolini, un film qui n’a certes rien de la puissance de création de son devancier, mais qui suit honnêtement son chemin hagiographique balisé.
Le Journal du Dimanche
Même si la fin semble n’avoir levé qu’un coin de voile sur cette histoire édifiante, la résonance de la controverse avec notre époque d’impuissance politique, dépourvue d’alternative au capitalisme, interpelle.
Télérama
Quand, dans les premières minutes, on a vu Elio Germano rouler des yeux exorbités pour incarner François d'Assise, on a craint le pire... Heureusement, les réalisateurs s'intéressent moins au saint qui parlait aux oiseaux qu'à son meilleur disciple, Elie de Cortone.
Franceinfo Culture
Si l’ascèse est de mise, une rugosité à la Bruno Dumont aurait été plus pertinente, que cette image pastorale, imprégnée de naïveté, qui contamine jusqu’à l’interprétation des acteurs.
Le Monde
Cette opposition entre purisme et réformisme ouvre une brèche politique qui constitue ce que le film a de plus intéressant, mais trop vite refermée pour être véritablement creusée.
Studio Ciné Live
Nous, on attend encore que tout le monde se mette d'accord.