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Un visiteur
3,0
Publiée le 7 novembre 2016
Bon film dans l'ensemble. Ça faisait longtemps que je n'avais pas autant rie devant une comédie française. Le seul bémol ; :SPOILE: la fin est trop prévisible et mielleuse. Mais enfin, comment un personnage aussi antipathique peut devenir le papa parfait ?
Le monde du business et les dessous de mannequinat sont exposés dans le second long-métrage de Frédéric Beigbeder, adapté de son propre roman. On ne sait pas trop comment appréhender L’idéal qui se veut une critique du bling-bling, de l’alcool, de la drogue, de la nudité et du physique tellement tout est synonyme d’humiliation. Car en étant toujours démonstratif par des scénettes choquantes au lieu de véritablement dénoncer, L’idéal n’amasse que les vulgarités. L’ego toujours présent sème en effet le doute, mais beaucoup de spectateurs pourraient prendre l’ensemble au premier degré. D’autant plus que le final est expéditif et ne renverse absolument pas la balance de tout ce qu’on vient de s’infliger dans les yeux. Frédéric Beigbeder a peut-être le temps d’expliquer le fond de ses faits dans ses romans, mais il est nécessaire qu’il arrête la réalisation au cinéma. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
Une bonne satire de l'entreprise l'Oréal..............et du monde des cosmétiques en général.............mais après une demi-heure de visionnage, cela devient ennuyeux...........comme les mannequins le sont en grande partie, et une réalisation pas à la hauteur..............1 étoile et demie !
Malgré une idée de départ très intéressante le film ne tiens pas ses promesses et sombre vite dans la caricature. La première partie du film me semble être la plus sympa avec une critique du monde de la mode , la seconde partie sombre dans la comédie romantique grossière. Un ensemble plus que moyen dommage , je m'attendais à mieux...
On retrouve la même trame que 99 francs pour un film brouillon dont l'exercice de réalisation se dégrade un peu plus à chaque minute. C'est dommage, car le potentiel était là.
Une fausse suite de "99 francs" avec une nouvelle fois, le personnage d'Octave Parango au centre de l'histoire dans cette fois-ci une satire du milieu de la mode et de la beauté. Cette nouvelle adaptation de Frédéric Beigbeder ne manque pas de dynamisme avec des personnages décalés et parfaitement stéréotypés, mais l'histoire manque de consistance ce qui rend la critique assez fade et inégale. L'histoire fil rouge sur la quête du nouveau visage de la marque n'est vraiment pas terrible et sert avant tout de prétexte pour faire vivre aux personnages des situations déjantées. Tout ce qu'il y a autour n'est pas plus réussi, l'humour est peu efficace, lourd et redondant à l'image du nombre incalculable de mannequins en petite tenue que l'on peut voir... Il ne reste que le casting pour limiter la casse et sauver un peu un film rapidement ennuyeux qui est aussi vide que le milieu qui est critiqué.
Avec quelques belles scènes dans cette caricature du haut du pavé de l'industrie des cosmétiques , un côté jet-setteur ruskoff qui apporte un brin de folie et quelques dialogues bien drôles , Beigbeder ne s'en sort pas trop mal pour nous fait part de ce qu'il entend par : "La beauté, c’est parfois moche " inscrit sur l'affiche ...
Cela m'arrive de temps en temps : je n'ai rien à écrire sur un film. « L'Idéal » en fait partie, même si je vais quand même me faire violence en rédigeant quelques mots. Frédéric Beigbeder entend dénoncer le milieu des cosmétiques (entre autres) en pointant la dimension hautement superficielle de ce milieu, mais emploie en définitive plus ou moins les mêmes méthodes pour le faire, ce qui rend l'entreprise assez vaine. Il a beau y ajouter une grosse couche de cynisme et quelques répliques tapageuses (parfois efficaces), on sent bien que l'écrivain n'est pas dans son élément habituel et malgré une première expérience derrière la caméra , celui-ci semble toujours aussi peu concerné par l'art cinématographique, même Gaspard Proust semblant parfois un peu perdu en double de l'auteur-réalisateur. Vaguement prétentieux, le film parvient néanmoins à être drôle de temps en temps, et ce malgré un dénouement n'ayant pas peur du ridicule. Et puis il y a Audrey Fleurot. Peu de réalisateurs ont jusqu'ici exploité son talent : il serait grand temps car avec un personnage que beaucoup auraient rendu insupportables, elle fait des merveilles et mange littéralement l'écran. S'il y a une raison qui ne me fait pas (trop) regretter le déplacement, c'est bien elle. Pour le reste, et sans être un bide total, « L'Idéal » apparaîtra comme l'un des nombreux titres dispensables de 2016 : peut-être Beigbeder devrait-il se consacrer intégralement à la littérature, ou du moins confier les adaptations de ses romans à quelqu'un d'autre.
De la façon dont est racontée l'histoire, il ne pouvait y avoir d'autre acteur que l'hilarant et cynique Gaspard Proust. Jonathan Lambert est excellent en PDG travesti. Ça pourrait paraître assez stupide mais c'est vraiment drôle. La fin est niaise et ennuyeuse mais pour le reste c'est un bon divertissement critiquant la recherche du modèle parfait dans la mode avec une grande justesse. Quel triste univers de l'apparence surfaite.
Avec un titre qui n'est pas sans rappeler la célébre marque qui le vaut bien, L'idéal poursuit le même but que "99 francs" en son époque: dénoncer les pratiques douteuses et peu reluisantes d'un monde où marketing et image sont les maître-mots.
Si le film a la bonne idée de multiplier les scènes caricaturales et psychédéliques, le rendant drôle et original, il a aussi le défaut typique de la comédie à la française qui consiste à transfuser une dose de mélodrame inutile qui a tendance à casser le rythme et la trame comique du film.
A l'affiche, Audrey Fleurot, Gaspard Proust et Jonathan Lambert sont absolument parfaits dans leur rôle caricaturaux, notamment Jonathan Lambert, parfait(e) en PDG irrascible.
Un air de déjà vu. C'est à peu près la même chose que 99F, même situation, même blague. Différent du livre, mais la trame similaire. Proust joue comme dans "l'amour dure 3 ans". Pro-féministe, ce qui est agaçant à la longue. Bon y a quelques situations marrantes, mais pas de quoi fouetter un chat dans l'ensemble.
Un trip sous acide décaler sur l'univers de la mode poétique qui touche un peu à tout, passant du sexisme au manque de responsabilité au retour à la nature. Ce film nous offre des scènes bien décaler et drôle, les personnages de Gaspard Proust et Audrey Fleurot sont juste trop attachant et charismatique.
Plongé dans l'univers Beigbeder, L'idéal s'avère etre une critique très tirée par les cheveux du monde de la mode et du luxe. A vrai dire, pas vraiment surpris des longueurs totalement surréalistes, qui étaient déjà présents dans 99F. Entre sexe, drogue et superficialité, L'Idéal s'en sort grace à ce soupçon d'honneté qui rend le film moins méchant qu'il n'en n'a l'air !
C'est la suite de 99 francs ou la meme chose plutôt, pas de grande nouveauté. Apres l'agro-alimentaire, l'industrie cosmetique, avec un scenario moins trash pour etre visible par tous.
Suite indirecte de l'excellent et parfait 99francs, l'idéal promet du lourd dès son introduction qui est juste parfaite, des points gagné dès le début du film et on l'attendais sa car c'est dans la lignée de 99francs donc ce film doit bien être violent dans son humour et sa satire. La première partie est parfaite, juste parfaite, je n'ai rien à dire, c'est ce que j'attendais, dans la lignée de 99francs avec en bonus une putain de GENIALISSIME référence à ce film (99francs). Le personnage de octave est bien et bel là et Gaspard Proust le joue très bien même si sa prestation est assez simple mais il incarne bien le personnage (moins que Dujardin quand même). Les mvt de caméra et les paroles faites aux spectateurs dénonçant pas mal de trucs en humour sont la, tout est là, des personnages juste parfait pour ce genre de film et pour cette satire et une bande son parfaite tout le long du film, l'humour est aussi bien présent (la satire et la critique de ma société avec humour noir sont parfait) vraiment rien à dire. Mais alors pk pas mettre 5/5 comme pour 99francs, beh c'est simple, après la soirée chez Sacha, soit pour moi la deuxièmement partie, c'est de la merde, on déconstruit ses personnages et on les représente mal, celui de Valentine Change trop brusquement et celui d'Octave est inexploité, on le reconnais même plus, c'est plus lui. Tout le reste est mal construit et même à quasiment rien. La fin est bien mais faible, trop bâclé et faible comparé à son prédécesseur 99francs. Malgré ses défauts de la seconde partie, ya eu des scènes sympa et la scène post générique et la toute dernière scène sont juste parfaite. Au final le film commence très très bien mais ne tient pas sur des bases et arrive un peu à la fin à remonté. Il est bien dans la lignée du premier film mais insuffisamment exploité.