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amirati_75
1 abonné
2 critiques
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0,5
Publiée le 16 juin 2016
Je savais qu'il n'allait pas me plaire mais je m'étais dit vas-y on ne sait jamais. Le message est bien mais le film est ridicule. J'étais gênée pour Beigbeder. Heureusement que j'ai la carte illimitée
Outch bcq D avis négatifs ! Personnellement j'ai passé un bon moment ! Film très dynamique !! Ça change un peu des plans pépères. J'aime bcq le personnage de Jonathan Lambert! Femme ratée( travelo) qui dicte les critères de beauté inaccessibles ... Faisant de nous des " femmes ratées "!!génie ironique ! Le reste des personnages sont plutôt extrêmes dans leurs déviances'! Un bémol sur la fin.... Mais sinon Cest ironico-filmique
Mentions spéciales à Jonathan Lambert en "genre" indéterminé et Audrey Fleurot, elle clairement off, ou bien entendu Gaspard Proust, avide de toute opportunité ::: ( comparativement à celui d'hier... le jour et la nuit ! ) Oui ne pas prendre tout au premier degré, il y a de la dérision, de l'humour, mais aussi de la beauté intrinsèque de ces magnifiques jeunes filles. A noter qu'il n'y a pas de dérapage, ou d'erreur deessekienne.... Bon divertissement ( Soyons quand même un peu indulgents....) !! **
Voilà un film assez ridicule dans ce qui nous est montré. Je n'ai pas du tout aimé. On ne s'attache à aucun personnage parce que tous les personnages présentés ne sont pas du tout attachants, et c'est même pire ils sont tous vraiment détestables. Par ailleurs, le monde de l'industrie du luxe est excécrable. Dans ces conditions, c'est très difficile de pouvoir apprécier cette histoire.
Le moins bon des 3 adaptations de ses romans au cinéma. (Je suis un fan de l'écrivain.)Il n'égale pas la folie du premier film ni la sincérité du second... Pendant les 90 minutes de film on vit au rythme des montagnes russes (des hauts et des bas). Il y a malgré tout quelques passages savoureux (la fête russe) et un Jonathan Lambert en forme. Pas sûr que ce film ne trouve un large public.
Si vous avez plus de 15-16 ans, ou pesez plus de 43 kilos, passez votre chemin: ce film vous crachera à la figure avant de vous tendre un kleenex déjà trempé par les pleurs du réalisateur sur l'absurdité de sa propre vanité et de sa si délicieuse méchanceté. Beigbeder se trouve probablement laid, et n'ayez aucun doute, il va vous le faire payer. Beigbeder est passablement vieux, et soyez bien sûr qu'il va se venger, il ne sera pas seul à tomber. Mais surtout ne le prenez pas mal, c'est de l'humour, une satire m'enfin, ce que vous pouvez être premier degré ! Sans doute peu rassuré sur sa légitimité, son mépris des femmes, des gens, des comme lui et des pas pareils sera très généreusement distribué. La pauvre Audrey Fleurot tente de ne pas trop se salir, quand le très digne Gaspard Proust assume crânement en promo son propre mépris pour cet objet filmé. Respect. La boucle est bouclée. En résumé, si vous voulez le manquer: toutes des putes, sauf maman, euh non pardon, sauf ma petite chérie adorée. Un bon vieux poncif de macho désoeuvré, sans doute trop concentré sur l'exploration de sa si douloureuse vanité. Dans l'intention, un chef d'oeuvre de vulgarité. Au final, à peine le navet de l'année.
J'avais bien aimé le premier film de Frédéric Beigbeder, L'amour dure trois ans avait été une bonne surprise. Curieux de voir si c'était un feu de paille ou le début d'une vraie carrière de réalisateur. Une nouvelle fois, il adapte l'un de ses romans, Au secours pardon, fausse suite de 99 francs, mais avec le même personnage. Le milieu de la pub est remplacé par celui de la mode et Gaspard Proust remplace Jean Dujardin. Une fois de plus, je suis agréablement surpris. Si l'on est bien là devant une satire de ce milieu, il manque tout de même d'un peu plus de corrosif et de cruauté pour être totalement efficace. A côté de cela, la mise en scène est assez solide, c'est rythmé, bien dialogué et surtout très drôle. Personnellement, je ne me suis pas ennuyé. Proust (toujours clone de l'auteur) est une nouvelle fois très bien, Audrey Fleurot est désopilante tandis que Jonathan Lambert est hilarant en femme forte PDGère de l'Idéal. C'est parfois à la limite du scabreux, il y a deux/trois scènes inutiles mais surtout beaucoup d'autre savoureuses. Une bonne comédie, qu'on aurait voulu un peu plus déjantée, qui confirme tout de même que Beigbeder a raison d'insister dans la mise en scène. Un bon moment pour un bon divertissement.
film sympathique mais un peu trop vulgaire , on s ennuie parfois en regardant le film. Je suis un peu déçu, je pensais m amuser plus en voyant la bande annonce, qui montre le meilleur du film. à voir lors de la fête du cinéma , au moins vous en aurez pour votre argent ticket à 4 euros, du 27 juin au 10 juillet 2016
Frederic Beigbeder, réalisateur depuis "l'amour dure trois ans", replonge dans un de ses livres en l'envoyant sur grand écran.
Frederic Beigbeder est fidèle à lui-même, évoquant la pédophilie, les nazis etc... Amateur d'humour noir, il se lâche sans retenue et donne un film qui peut parfois paraitre lourd. Pourtant il nous intéresses. Même si parfois il s'éparpille dans son sujet, il nous questionne sur notre comportement sur notre consommation esthétique vouloir nous rendre beau alors que dans leurs mondes, une fille est belle selon la saison.
Beigbeder utilise le 4ème mur pour mieux se moquer des personnages car on peut plus facilement s'identifier à Octave. Peut être trop d'ailleurs, les autres personnages manquent légèrement de relief comme par exemple celui d'Audrey Fleurot dont on a du mal à comprendre comment sa mentalité a changé. Beigbeder veut choquer et c'est ça qui fascine, ce qui est dommageable est cette fin décrochant du sujet et ne donne pas trop de temps de liaison pour donner de la force au renversement de camp des personnages.
Le gros Hic niveau acteur, c'est Gaspard Proust qui a beaucoup moins de charisme que Son predecesseur Jean Dujardin. Quand il s'énerve ça le fait pas, quand il est en voix off, sa voix est pas très percutante. Dommage.
Je vous invite tout de même à aller voir l'idéal qui reste un divertissement très appreciable et porte une excellente reflexion sur la beauté et son monde cruel.
Film inégal mais globalement bonne surprise. J'y allais car j'avais aimé le livre qui se passait en Russie. J'avais peur d'un film pour wannabe un peu voyeuristes mais si F. Beigbeder montre des excès en tous genres, cela permet de découvrir en détail les dessous peu reluisants de la mode et du mannequinat. Pour les acteurs, Audrey Fleurot, lumineuse, personnage caricatural mais à qui elle donne de l'humanité. G.Proust, physiquement pas flatté au début du film avec des cheveux collés par le sébum (style moujik) mais après vraie révélation dans les scènes plus tendres, où il sonne bizarrement beaucoup plus juste, avec un jeu plus "intérieur". Par contre, j'avais entendu des louanges sur le rôle joué par J. Lambert. La performance de l'acteur est là, mais il n'est pas crédible du tout en femme, ni en transgenre. Bref, moment de détente qui m'a bien changé les idées.
J'ai été voir ce film pour accompagner une amie. Nous avons eu la même réaction : rejet total de ce film superficiel et finalement pas intéressant du tout. Ce n'est que de la vulgarité et de la superficialité gratuites.
Voilà un film particulièrement pathétique, vulgaire et vain. J'ai trouvé ce film sans aucun intérêt, aucun. Ce n'est que cynisme, misogynie, bref à éviter.
On découvre un Octave plus détaché que jamais, dénué de tout remord et trouvant enfin l’épanouissement dans son nouveau milieu, introduit lors d’une séquence de casting faisant écho au maître s’achetant une esclave. Si son prédécesseur était déjà formidable, Gaspard Proust révolutionne son personnage en remplaçant la folie par de la nonchalance, l’amenant à un degré supérieur dans la mesure où il n’est plus gangrené par son environnement, c’est lui qui entraîne le reste du monde dans sa décadence. La déviance est d’ailleurs beaucoup plus poussée dans ce film entre les femmes, jamais assez jeunes ou nombreuses, la profusion d’alcool et de drogues (bien que moins que dans le précédent pour ce second point) ou encore les fêtes ahurissantes de milliardaires russes excentriques. Le film rit de la pédophilie, de la femme objet, du danger des drogues, de la sexualité sous ses formes les plus tourmentées et le résultat est exceptionnel.