Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
CNews
par Juliette Michaux
Le long-métrage s’inscrit dans un cinéma ultramoderne, visuel et inventif, jouant à fond la carte du pastiche des campagnes des grandes enseignes du luxe.
Elle
par Kalindi Ramphul
Avec une ironie toujours juste, Beigbeder signe son grand retour au cinéma et s’impose comme le Sagan des années 2000.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Eric Libiot
Au rayon mise en scène, Beigbeder a fait des progrès (beaux plans-séquences), aussi parce qu'il a choisi et dirigé Jonathan Lambert en patronne de L'Idéal. Il est exceptionnel. Il est possible de n'aller voir le film que pour lui. Parce qu'il le vaut bien.
Le Journal du Dimanche
par Ludovic Perrin
Des dialogues qui claquent, une mise en scène habile, Beigbeder signe une comédie irrévérencieuse, à l’ambiance vintage. En dépit de ce décalage, elle est menée tambour battant par un trio d’acteurs efficaces. Cruelle et parfois irrésistible.
Le Parisien
par Alain Grasset
POUR : Une parodie délirante et bien filmée par un Beigbeder qui maîtrise de mieux en mieux la réalisation depuis son premier film.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Victoria Gairin
Frédéric Beigbeder revient au cinéma, signant son film le plus drôle et le plus sale gosse.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Studio Ciné Live
par Eric Libiot
Beigbeder est manifestement passé à la vitesse supérieure et tous ses espoirs de réalisateur sont permis.
TF1 News
par Yves Grosjean
Après son premier long métrage "L'Amour dure trois ans", Frédéric Beigbeder, écrivain, réalisateur et directeur du magazine "Lui", décrypte avec "L'idéal" l'envers du décor du monde de la beauté, fustigeant façon Jean Yanne une célèbre multinationale de cosmétiques. Drôle, pervers et contre tous.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Transfuge
par Oriane Jeancourt Galignani
(...) sur la partition offerte par le live "Au secours pardon", le scénario compose une comédie énergique.
Voici
par Lola Sciamma
Moins déjanté et visuellement moins dans le délire hallucinogène que "99 francs", "L'Idéal", sorte de récit d'apprentissage de la paternité, n'en reste pas moins une satire corrosive du monde de la beauté, qui risque de faire crisser des ongles...
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Frédéric Beigbeder a fait de grands progrès par rapport à "L’Amour dure trois ans", au style conventionnel de comédie. Il travaille avec sophistication ses cadres et lumières, sans pour autant se limiter à un rendu papier glacé.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Après la pub, la mode : Frédéric Beigbeder avance en terrain connu. Son film épouse parfaitement l’univers qu’il décrit : clinquant, cynique, creux.
Metro
par Marilyne Letertre
Si la surenchère de corps nus ou de scènes orgiaques est toujours discutable, la satire fonctionne pour qui aime le style de l’auteur. Quant à Gaspard Proust, il fait oublier sans peine l’absence de Jean Dujardin au casting.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par La Rédaction
Le film n'a pas la violence de "The Neon Demon", le thriller érotico-fantastique de Nicolas Winding Refn qui traite aussi de la dictature de la beauté : son ironie permanente désamorce la charge politique. Reste une forme d'autoportrait très en phase avec l'époque et qui ne se prend jamais au sérieux.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Sud Ouest
par Sophie Avon
La satire est cruelle, passablement appuyée - c'est son mode de combustion. On s'y ennuie un peu, on y rit aussi.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 2 semaines
par Jérémy Mingot
Porté par le séduisant trio d'acteurs Gaspard Proust, Audrey Fleurot et Jonathan Lambert (tous impeccables), "L'Idéal" est une folle et exubérante comédie. Le film souffre cependant d'invraisemblances et la réalisation est parfois poussive. Mais cela n'empêche pas d'apprécier, dans son intégralité, ce long métrage qui reste divertissant.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
De tout cela, que reste-il au terme de ces quatre-vingt-dix minutes qui souvent paraissent longues ? Le sentiment que la frivolité du monde dépeint a déteint sur le film et que, du coup, la charge contre des usages et des comportements indécents se révèle rien moins qu’inoffensive.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Le vrai (seul ?) plaisir du spectateur tient dans la première partie : quand il nous décrypte la crise chez L’Idéal. Le reste est une histoire cousue de fil blanc, bien emballée.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Isabelle Regnier
Le problème de cette satire du milieu de la mode tient à la position de son auteur, qui jouit sans entrave de la réalité qu’il représente et voudrait en même temps être du côté des Femen et des Pussy Riots.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
CONTRE : Réduit à un exercice de style en surchauffe, le propos perd en intensité, frôle en permanence la vulgarité et emporte ses acteurs dans le siphon de son bain à remous.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
par Caroline Vié
Mafieux ridicule, femmes hystériques, orgies et gueules de bois répétitives prouvent que l’humour vachard de l’auteur passe largement mieux à l’écrit qu’à l’écran. Et que dire de son apparition embarrassante en alcoolo mondain ?
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Satire épaisse du milieu de la mode, cet ego trip roublard joue sur tous les tableaux, en bon cynique de son temps. (…) Ivre de son excentricité de nouveau riche, le film n’est ni drôle ni moraliste.
Critikat.com
par Nicolas Journet
L’impression d’un reboot qui ne dirait pas son nom est renforcé par le fait que "L’Idéal" reproduit le même canevas que "99 Francs".
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Au lieu d’un brûlot satirique, c’est une illustration complaisante de ce monde en toc.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Une satire de l'industrie du luxe qui se prend les pieds dans le cynisme qu'elle entend dénoncer.
Libération
par Didier Péron
En réalité, on passe l’intégralité de la projection à se frotter les yeux devant ce mélange embarrassant de cynisme cool, de narcissisme détraqué et de misogynie normative (ici, la femme cesse d’être une conne ou de la viande à casting qu’on prend ou qu’on zappe dès lors qu’elle est enceinte).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Grégory Valens
Tout ce qui était réussi dans le si prometteur premier film de Frédéric Beigbeder, "L'amour dure trois ans", est épouvantablement, désastreusement, irritablement foiré dans ce maelström indigeste et bouffi (...).
Télérama
par Jacques Morice
Le film est plus satirique que "L'amour dure trois ans". Plus ambitieux aussi, en termes de moyens visuels et de décors, et non moins sincère. (...) Manque un vrai travail avec les acteurs, guère surprenants.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNews
Le long-métrage s’inscrit dans un cinéma ultramoderne, visuel et inventif, jouant à fond la carte du pastiche des campagnes des grandes enseignes du luxe.
Elle
Avec une ironie toujours juste, Beigbeder signe son grand retour au cinéma et s’impose comme le Sagan des années 2000.
L'Express
Au rayon mise en scène, Beigbeder a fait des progrès (beaux plans-séquences), aussi parce qu'il a choisi et dirigé Jonathan Lambert en patronne de L'Idéal. Il est exceptionnel. Il est possible de n'aller voir le film que pour lui. Parce qu'il le vaut bien.
Le Journal du Dimanche
Des dialogues qui claquent, une mise en scène habile, Beigbeder signe une comédie irrévérencieuse, à l’ambiance vintage. En dépit de ce décalage, elle est menée tambour battant par un trio d’acteurs efficaces. Cruelle et parfois irrésistible.
Le Parisien
POUR : Une parodie délirante et bien filmée par un Beigbeder qui maîtrise de mieux en mieux la réalisation depuis son premier film.
Le Point
Frédéric Beigbeder revient au cinéma, signant son film le plus drôle et le plus sale gosse.
Studio Ciné Live
Beigbeder est manifestement passé à la vitesse supérieure et tous ses espoirs de réalisateur sont permis.
TF1 News
Après son premier long métrage "L'Amour dure trois ans", Frédéric Beigbeder, écrivain, réalisateur et directeur du magazine "Lui", décrypte avec "L'idéal" l'envers du décor du monde de la beauté, fustigeant façon Jean Yanne une célèbre multinationale de cosmétiques. Drôle, pervers et contre tous.
Transfuge
(...) sur la partition offerte par le live "Au secours pardon", le scénario compose une comédie énergique.
Voici
Moins déjanté et visuellement moins dans le délire hallucinogène que "99 francs", "L'Idéal", sorte de récit d'apprentissage de la paternité, n'en reste pas moins une satire corrosive du monde de la beauté, qui risque de faire crisser des ongles...
Franceinfo Culture
Frédéric Beigbeder a fait de grands progrès par rapport à "L’Amour dure trois ans", au style conventionnel de comédie. Il travaille avec sophistication ses cadres et lumières, sans pour autant se limiter à un rendu papier glacé.
Le Dauphiné Libéré
Après la pub, la mode : Frédéric Beigbeder avance en terrain connu. Son film épouse parfaitement l’univers qu’il décrit : clinquant, cynique, creux.
Metro
Si la surenchère de corps nus ou de scènes orgiaques est toujours discutable, la satire fonctionne pour qui aime le style de l’auteur. Quant à Gaspard Proust, il fait oublier sans peine l’absence de Jean Dujardin au casting.
Ouest France
Le film n'a pas la violence de "The Neon Demon", le thriller érotico-fantastique de Nicolas Winding Refn qui traite aussi de la dictature de la beauté : son ironie permanente désamorce la charge politique. Reste une forme d'autoportrait très en phase avec l'époque et qui ne se prend jamais au sérieux.
Sud Ouest
La satire est cruelle, passablement appuyée - c'est son mode de combustion. On s'y ennuie un peu, on y rit aussi.
Télé 2 semaines
Porté par le séduisant trio d'acteurs Gaspard Proust, Audrey Fleurot et Jonathan Lambert (tous impeccables), "L'Idéal" est une folle et exubérante comédie. Le film souffre cependant d'invraisemblances et la réalisation est parfois poussive. Mais cela n'empêche pas d'apprécier, dans son intégralité, ce long métrage qui reste divertissant.
L'Obs
De tout cela, que reste-il au terme de ces quatre-vingt-dix minutes qui souvent paraissent longues ? Le sentiment que la frivolité du monde dépeint a déteint sur le film et que, du coup, la charge contre des usages et des comportements indécents se révèle rien moins qu’inoffensive.
La Voix du Nord
Le vrai (seul ?) plaisir du spectateur tient dans la première partie : quand il nous décrypte la crise chez L’Idéal. Le reste est une histoire cousue de fil blanc, bien emballée.
Le Monde
Le problème de cette satire du milieu de la mode tient à la position de son auteur, qui jouit sans entrave de la réalité qu’il représente et voudrait en même temps être du côté des Femen et des Pussy Riots.
Le Parisien
CONTRE : Réduit à un exercice de style en surchauffe, le propos perd en intensité, frôle en permanence la vulgarité et emporte ses acteurs dans le siphon de son bain à remous.
20 Minutes
Mafieux ridicule, femmes hystériques, orgies et gueules de bois répétitives prouvent que l’humour vachard de l’auteur passe largement mieux à l’écrit qu’à l’écran. Et que dire de son apparition embarrassante en alcoolo mondain ?
Cahiers du Cinéma
Satire épaisse du milieu de la mode, cet ego trip roublard joue sur tous les tableaux, en bon cynique de son temps. (…) Ivre de son excentricité de nouveau riche, le film n’est ni drôle ni moraliste.
Critikat.com
L’impression d’un reboot qui ne dirait pas son nom est renforcé par le fait que "L’Idéal" reproduit le même canevas que "99 Francs".
L'Humanité
Au lieu d’un brûlot satirique, c’est une illustration complaisante de ce monde en toc.
Les Inrockuptibles
Une satire de l'industrie du luxe qui se prend les pieds dans le cynisme qu'elle entend dénoncer.
Libération
En réalité, on passe l’intégralité de la projection à se frotter les yeux devant ce mélange embarrassant de cynisme cool, de narcissisme détraqué et de misogynie normative (ici, la femme cesse d’être une conne ou de la viande à casting qu’on prend ou qu’on zappe dès lors qu’elle est enceinte).
Positif
Tout ce qui était réussi dans le si prometteur premier film de Frédéric Beigbeder, "L'amour dure trois ans", est épouvantablement, désastreusement, irritablement foiré dans ce maelström indigeste et bouffi (...).
Télérama
Le film est plus satirique que "L'amour dure trois ans". Plus ambitieux aussi, en termes de moyens visuels et de décors, et non moins sincère. (...) Manque un vrai travail avec les acteurs, guère surprenants.