Alors comment dire, où je n 'ai pas tout compris mais je ne pense pas. L'histoire démarre sans trop de repères, on attend patiemment les explications de l'état du père en début de film, le film traîne en longueur, c'est presque 1 huit clos, on s'ennuie, il y a un peu de tension de temps à autres mais pas assez pour captiver. On penserait presque à un film espagnol. Que dire de la fin, ma fin l'avait devinée, on espérait que cela ne finirait pas comme ça, je n'en dit pas trop au cas ou vous voudriez le voir pour vous faire une opinion personnelle. Pffff à éviter, il y a tellement d'autres bons films à regarder.
Vendus comme un film d'horreur à tort car il n'en de pas un. On es ici face a un survival. Relativement minimaliste on y suie une famille qui tente de survivre tandis bien que mal face a une pandémie qui apparament a ravager l'humanité et espèce animal. Le film ne dévoile rien sur ce point ce qui est un peu dommage mais c'est un partie pris. Le film s'attarde sur la difficulté de faire confiance a autrui en ces temps difficile. Le tout est relativement bien joué et filmé avec quelque jumpscares mais le tout ne laissera pas un souvenir impérissable
Avec en toile de fond un monde post-apocalyptique, un huis-clos remarquable, au ton très cru et à la mise en scène sans ambages, subtile, plus suggestive que démonstrative, un peu à l'instar du film de Robert Eggers "The witch". Un long-métrage qui respecte parfaitement les codes du genre entre une ambiance pesante, anxiogène à souhait et quelques passages littéralement glaçants, surprenants ; la réalité extérieure au petit groupe de protagonistes restant volontairement mystérieuse, à peine abordée, l'écriture se concentrant exclusivement sur la psychologie du père campé par le toujours impeccable Joel Edgerton et surtout de son fils interprété par le très bon Kelvin Harrison. Peut-être pas un gros coup de coeur mais une solide sensation vraiment pas déplaisante.
Un film d'horreur ça ? horrible plutôt il se passe rien , d'un ennui mortel , aucune explication du pourquoi du comment , un chef d'oeuvre ils disaient , dans le genre arnaque surement
It comes at night démarre sur un adieu. Une famille se résigne à se séparer de l'un des leurs. Un homme. Une femme. Leur fils. Il ne reste plus que eux trois. L'ambiance est triste et froide, à l'image du père qui s'excuse avant d'abattre froidement ce vieil homme. A ce stade, nous n'avons rien d'autre comme informations. Ils ont leurs raisons que nous ignorons pour l'instant et cette introduction baignée de résignation amène immédiatement son lot de questions. Nos héros restent à trois, enfermés dans cette demeure, barricadé au beau milieu d'une forêt pour se protéger d'un ennemi dont on ne sait rien. Et puis brusquement, une scène de songe cauchemardesque introduit le grain de sable dans la machinerie de ce quotidien paranoïaque mais bien huilé. Il fait nuit.
D'ou le titre ! Mais oui, c'est ça. Ils se barricadent car quelque chose de terrifiant sort la nuit. C'est un film avec une bestiole très très méchante qui va venir les bouffer un à un !
Raté. Dans "It comes at night", la menace extérieure n'est qu'une explication nécessaire au ton et à l'ambiance de ce huit-clos sobre, sombre et épuré. Elle est la racine d'un tout autre danger bien plus pernicieux qui s'insinue doucement dans des esprits obnubilés par leur survie. La cohabitation est fragile mais nécessaire. La peur, la méfiance et l'instinct de préservation faussent les relations mais la tentative de retrouver une once d'humanité semble salutaire. Nous, pauvres spectateurs sommes simplement les témoins de cette vie qui n'en est pas une. Nous partageons le même niveau d'information que ces personnes recluses. Le monde tourne t'il toujours autour d'eux ? Là n'est pas la question. Comme pour "The Witch", sortit de la même boîte de production, "It comes at night" se focalise sur ses personnages et sur leurs peurs. On est à des lieux d'un slasher ou d'un jump scare moovie. Le malaise ici passe par ce qu'on ignore, ce qu'on ne voit pas, et par la paranoïa grandissante. Grâce à de simples faisceaux de lampes de poches associés à une musique oppressante (The Road), le réalisateur dont c'est le 2ème long métrage arrive à nous rattacher au sort de ces personnages. C'est finement joué et même si le déroulement possède quelques passages à vide, le film nous fait glisser doucement vers un final brusquement étouffant et poignant dont on ne se relèvera pas.
spoiler: Les cris de la mère occulteront pendant un instant tout ce qui vous entoure et la froideur des actes vous laissera étourdi.
Une seule question subsiste malgré tout (et ce n'est pas un défaut): le titre. Qu'est ce qui vient la nuit ? Est-ce ce simple sentiment d'insécurité hérité de nos ancêtres, cette obscurité qui semble faire poindre doucement l'inquiétude ?
Quoiqu'il en soit, comme pour "The Witch", ne vous laissez pas berner par le marketing. Ici encore, l'horreur est à l'intérieur.
Sans nul doute le film le plus mauvais de l'année et probablement des dernières années. Il ne se passe rien dans ce film, qui est d'une lenteur hallucinante. Aucun détail sur les origines de l'épidémie, les protagonistes sont lents, sans charismes et ne cherchent absolument pas à comprendre ce qu'il se passe. Une nouvelle famille les rejoins, on à l'impression que ça va bouger mais non il ne font que rester cloitrés à ne rien faire. Et la fin est des plus minables qu'il soit.
Nan vraiment ne perdez pas votre temps, ce film est extrêmement naze et inintéressant, et je ne comprends absolument pas le signe "interdit au -12 ans", il n'y a rien de choquant ou de flippant dans ce film, absolument rien.
Un pur huis clos post-apocalyptique et surtout psychologique. Une bonne tension sans être un thriller, très typé drame, dans la retenue et bien interprété. Scénario minimaliste, moyens limités, ici tout se joue dans les échanges et la "confiance" sur fond de survie. Original dans son traitement très lent qui peu rebouté certain. Ne pas s'attendre à un film horrifique. 3/5 !!!
On s'attend un à film d'horreur. Mais rien de tel faudrait peut être revoir les classements des genres. Plutôt un drame, l'histoire d'une famille qui tente de survivre à une sorte de pandémie. Très bien réalisé et les acteurs sont bons. Le film est plutôt lent mais bien construit avec plusieurs phases plus ou moins stressante et importante sur le déroulé de cette courte et dramatique période de la vie d'une petit famille, avec une Note de modernité sur le modèle utilisé. J'ai beaucoup aimé et plutôt très accrocheur le suspense reste et même après la dernière note du scénario.
Je ne dirais pas que ce film est bon, ni qu'il est nul, de mon côté je suis assez divisé. D'un côté, il a des qualités indéniables, techniquement c'est très bon (surtout la photographie et la réalisation). Mais d'un autre côté, le scénario m'a semblé assez vide.. après je comprends tout à fait que cet aspect "lent" et "vide" est voulu, c'est un film où le spectateur doit faire appel à son imagination, loin des standards horrifiques du cinéma moderne.. Le visionner une fois n'est pas désagréable, mais c'est certainement pas une œuvre que j'aurais envie de revoir, tout simplement parce que je me suis assez ennuyé. Pourtant, j'ai rien contre les films horrifiques qui jouent avec la "lenteur" et le mystère.. bien au contraire ! Par exemple, je suis un grand fan d'Halloween de John Carpenter (un de mes films préférés) qui utilise les mêmes codes : installer le suspens avec son atmosphère, ce côté lent si propre à l'angoisse. Là, c'est juste que j'ai moins accroché au concept pour 'It Comes at Night', ça fonctionnait moins bien.
Sérieusement je crois que beaucoup de malentendus entourent le mauvais accueil de ce film,effectivement et même s'il est presenté comme tel , le nouvel opus de Trey Edward Shult (krisha) n'est pas un film d'horreur . Le spectateur s'est donc senti berné...il faut avouer que le trailer a tout d'un survival horrifique,l'horreur y est certes mais de façon subtile et avisée donc si vous vous attendez a voir defiler des images sanguinolentes et gores durant 1 heure 37 passez votre chemin. Ce film parle de la peur, la vraie ,viscerale,omnipresente , de nos terreurs les plus fortes,la peur de la nuit, la peur de perdre les siens et ce besoin primitif de tout faire jusqu'a tuer pour les proteger ( spoiler: jusqu'a sombrer dans la folie meurtriere voir la scene finale qui est hallucinante).
j'ai beaucoup aime "it comes at night" le résumé pourrait tenir dans une seule phrase de J.P Sartre "l'enfer c'est les autres",qui sont ils? que veulent ils? sachant que pour notre patriarche ( rôle campé par l'excellent Joel Edgerton qui m'avait déjà bluffe "the gift ) les seules valeurs sures sont inscrites dans les valeurs familiales. Des zones d'ombre demeurent mais elles ne nuisent pas a la compréhension et a l’intelligibilité du scénario :spoiler: qui ouvre la porte rouge? . Un très bon moment,vraiment et je vais très certainement le visionner une deuxième fois pour le plaisir car j'en ai eu énormément,a noter aussi la realisation photographique par Christopher Abbott (A most violent year) est vraiment époustouflantes. En résumé ne vous fiez ni a l'affiche (" une chef d'oeuvre de l'horreur") ni au trailer, ni aux mauvaises critiques. " It comes at night"est un excellent thriller psychologique qui tient son spectateur en haleine , a vous de vous faire votre propre opinion vierge de tout a priori et autres "on dit"
Voilà une vraie expérience post-apocalyptique réaliste ! Un scénario prenant, mêlant stress et angoisse, une atmosphère visuelle et musicale de qualité, des acteurs plus vrais que nature, "It comes at night" nous colle au fauteuil sans nous montrer les habituelles hordes d'infectés ou même la moindre scène horrifique. Le spectateur avançant au rythme des personnages, c'est bien cette peur de l'inconnu qui se ressentira pleinement et qui donnera au film cette puissante et subtile sensation expérimentale du survival. Un psychodrame effrayant de grande classe !
C'est un mauvais film ( selon moi ) dans le sens où l'ennui domine. C'est vide. L'idée de départ est intrigante mais rien ne se passe. Dommage, les acteurs se débrouillent bien. J'aime les films d'ambiance, pourtant, j'ai du couper celui-ci au bout d'une heure. Dommage.