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Votre avis sur It Comes At Night ?
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It comes at night démarre sur un adieu. Une famille se résigne à se séparer de l'un des leurs. Un homme. Une femme. Leur fils. Il ne reste plus que eux trois. L'ambiance est triste et froide, à l'image du père qui s'excuse avant d'abattre froidement ce vieil homme. A ce stade, nous n'avons rien d'autre comme informations. Ils ont leurs raisons que nous ignorons pour l'instant et cette introduction baignée de résignation amène immédiatement son lot de questions.
Nos héros restent à trois, enfermés dans cette demeure, barricadé au beau milieu d'une forêt pour se protéger d'un ennemi dont on ne sait rien. Et puis brusquement, une scène de songe cauchemardesque introduit le grain de sable dans la machinerie de ce quotidien paranoïaque mais bien huilé. Il fait nuit.
D'ou le titre ! Mais oui, c'est ça. Ils se barricadent car quelque chose de terrifiant sort la nuit. C'est un film avec une bestiole très très méchante qui va venir les bouffer un à un !
Raté.
Dans "It comes at night", la menace extérieure n'est qu'une explication nécessaire au ton et à l'ambiance de ce huit-clos sobre, sombre et épuré. Elle est la racine d'un tout autre danger bien plus pernicieux qui s'insinue doucement dans des esprits obnubilés par leur survie. La cohabitation est fragile mais nécessaire. La peur, la méfiance et l'instinct de préservation faussent les relations mais la tentative de retrouver une once d'humanité semble salutaire.
Nous, pauvres spectateurs sommes simplement les témoins de cette vie qui n'en est pas une. Nous partageons le même niveau d'information que ces personnes recluses. Le monde tourne t'il toujours autour d'eux ? Là n'est pas la question.
Comme pour "The Witch", sortit de la même boîte de production, "It comes at night" se focalise sur ses personnages et sur leurs peurs. On est à des lieux d'un slasher ou d'un jump scare moovie. Le malaise ici passe par ce qu'on ignore, ce qu'on ne voit pas, et par la paranoïa grandissante. Grâce à de simples faisceaux de lampes de poches associés à une musique oppressante (The Road), le réalisateur dont c'est le 2ème long métrage arrive à nous rattacher au sort de ces personnages. C'est finement joué et même si le déroulement possède quelques passages à vide, le film nous fait glisser doucement vers un final brusquement étouffant et poignant dont on ne se relèvera pas.
spoiler: Les cris de la mère occulteront pendant un instant tout ce qui vous entoure et la froideur des actes vous laissera étourdi.
Une seule question subsiste malgré tout (et ce n'est pas un défaut): le titre. Qu'est ce qui vient la nuit ? Est-ce ce simple sentiment d'insécurité hérité de nos ancêtres, cette obscurité qui semble faire poindre doucement l'inquiétude ?
Quoiqu'il en soit, comme pour "The Witch", ne vous laissez pas berner par le marketing. Ici encore, l'horreur est à l'intérieur.
Nos héros restent à trois, enfermés dans cette demeure, barricadé au beau milieu d'une forêt pour se protéger d'un ennemi dont on ne sait rien. Et puis brusquement, une scène de songe cauchemardesque introduit le grain de sable dans la machinerie de ce quotidien paranoïaque mais bien huilé. Il fait nuit.
D'ou le titre ! Mais oui, c'est ça. Ils se barricadent car quelque chose de terrifiant sort la nuit. C'est un film avec une bestiole très très méchante qui va venir les bouffer un à un !
Raté.
Dans "It comes at night", la menace extérieure n'est qu'une explication nécessaire au ton et à l'ambiance de ce huit-clos sobre, sombre et épuré. Elle est la racine d'un tout autre danger bien plus pernicieux qui s'insinue doucement dans des esprits obnubilés par leur survie. La cohabitation est fragile mais nécessaire. La peur, la méfiance et l'instinct de préservation faussent les relations mais la tentative de retrouver une once d'humanité semble salutaire.
Nous, pauvres spectateurs sommes simplement les témoins de cette vie qui n'en est pas une. Nous partageons le même niveau d'information que ces personnes recluses. Le monde tourne t'il toujours autour d'eux ? Là n'est pas la question.
Comme pour "The Witch", sortit de la même boîte de production, "It comes at night" se focalise sur ses personnages et sur leurs peurs. On est à des lieux d'un slasher ou d'un jump scare moovie. Le malaise ici passe par ce qu'on ignore, ce qu'on ne voit pas, et par la paranoïa grandissante. Grâce à de simples faisceaux de lampes de poches associés à une musique oppressante (The Road), le réalisateur dont c'est le 2ème long métrage arrive à nous rattacher au sort de ces personnages. C'est finement joué et même si le déroulement possède quelques passages à vide, le film nous fait glisser doucement vers un final brusquement étouffant et poignant dont on ne se relèvera pas.
spoiler: Les cris de la mère occulteront pendant un instant tout ce qui vous entoure et la froideur des actes vous laissera étourdi.
Une seule question subsiste malgré tout (et ce n'est pas un défaut): le titre. Qu'est ce qui vient la nuit ? Est-ce ce simple sentiment d'insécurité hérité de nos ancêtres, cette obscurité qui semble faire poindre doucement l'inquiétude ?
Quoiqu'il en soit, comme pour "The Witch", ne vous laissez pas berner par le marketing. Ici encore, l'horreur est à l'intérieur.
C'est un mauvais film ( selon moi ) dans le sens où l'ennui domine. C'est vide. L'idée de départ est intrigante mais rien ne se passe. Dommage, les acteurs se débrouillent bien. J'aime les films d'ambiance, pourtant, j'ai du couper celui-ci au bout d'une heure. Dommage.
tony-76
« La peur transforme les hommes en monstres ». Le long métrage de Trey Edward Shults s'installe dans la lignée d'un 10 Cloverfield Lane se portant sur un huit clos oppressant. Une menace plane peut-être à l'extérieur. It Comes at Night est vendu comme un drame d'épouvante, un suspense horrifique.
spoiler:
La maison inquiète avec toutes ses ombres furtives.
Un jeu sonore est porté sur l'ambiance et l'atmosphère, qui ressemble très clairement à The Witch... On craignait le pire, vu que ce dernier était d'un ennui consternant ! Mais heureusement, l'ensemble de It Comes at Night y est dosé avec intelligence au sein d'une mise en scène expressive. Il y a bien néanmoins, quelques facilités spoiler: - les cauchemars glauques, les sursauts gratuits et des dialogues un brin artificiels -
disons que le réalisateur voulait ajouter de l'horreur particulier... Certains peuvent décrocher facilement, devant le manque d'action et de gore dû à un rythme très lent mais c'est ce qui fait le charme de ce film. De plus, une véritable tension est présente au sein de cette maison qui entoure les personnages. Tout est aussi une question d'acteurs et la distribution finement choisie, et celui-ci ne déçoit pas ! À commencer par Joel Edgerton, habitué de ces rôles difficiles, qui livre à nouveau une prestation charismatique. Riley Keough (qui apparaîtra dans le nouveau Soderbergh) apporte une émotion bien surprenante. Ce qui est souvent le cas dans les films d'horreur est que le bonheur se transforme soudainement en cauchemar et spoiler: l'intégration de nouveaux arrivants ne se déroule pas comme prévu... Des dilemmes moraux peuvent engendrer de certaines conséquences fatales !
Enfin, It Comes at Night s'avère un véritable drame familial à tendance psychologique. Cela demeure tendu et assez satisfaisant.
Un jeu sonore est porté sur l'ambiance et l'atmosphère, qui ressemble très clairement à The Witch... On craignait le pire, vu que ce dernier était d'un ennui consternant ! Mais heureusement, l'ensemble de It Comes at Night y est dosé avec intelligence au sein d'une mise en scène expressive. Il y a bien néanmoins, quelques facilités spoiler: - les cauchemars glauques, les sursauts gratuits et des dialogues un brin artificiels -
disons que le réalisateur voulait ajouter de l'horreur particulier... Certains peuvent décrocher facilement, devant le manque d'action et de gore dû à un rythme très lent mais c'est ce qui fait le charme de ce film. De plus, une véritable tension est présente au sein de cette maison qui entoure les personnages. Tout est aussi une question d'acteurs et la distribution finement choisie, et celui-ci ne déçoit pas ! À commencer par Joel Edgerton, habitué de ces rôles difficiles, qui livre à nouveau une prestation charismatique. Riley Keough (qui apparaîtra dans le nouveau Soderbergh) apporte une émotion bien surprenante. Ce qui est souvent le cas dans les films d'horreur est que le bonheur se transforme soudainement en cauchemar et spoiler: l'intégration de nouveaux arrivants ne se déroule pas comme prévu... Des dilemmes moraux peuvent engendrer de certaines conséquences fatales !
Enfin, It Comes at Night s'avère un véritable drame familial à tendance psychologique. Cela demeure tendu et assez satisfaisant.
Sans nul doute le film le plus mauvais de l'année et probablement des dernières années.
Il ne se passe rien dans ce film, qui est d'une lenteur hallucinante.
Aucun détail sur les origines de l'épidémie, les protagonistes sont lents, sans charismes et ne cherchent absolument pas à comprendre ce qu'il se passe.
Une nouvelle famille les rejoins, on à l'impression que ça va bouger mais non il ne font que rester cloitrés à ne rien faire.
Et la fin est des plus minables qu'il soit.
Nan vraiment ne perdez pas votre temps, ce film est extrêmement naze et inintéressant, et je ne comprends absolument pas le signe "interdit au -12 ans", il n'y a rien de choquant ou de flippant dans ce film, absolument rien.
Il ne se passe rien dans ce film, qui est d'une lenteur hallucinante.
Aucun détail sur les origines de l'épidémie, les protagonistes sont lents, sans charismes et ne cherchent absolument pas à comprendre ce qu'il se passe.
Une nouvelle famille les rejoins, on à l'impression que ça va bouger mais non il ne font que rester cloitrés à ne rien faire.
Et la fin est des plus minables qu'il soit.
Nan vraiment ne perdez pas votre temps, ce film est extrêmement naze et inintéressant, et je ne comprends absolument pas le signe "interdit au -12 ans", il n'y a rien de choquant ou de flippant dans ce film, absolument rien.
Absolument affligeant ! Rarement vu un film aussi nase... le scénario est nullissime, les acteurs surjouent, c'est étrange, même pas effrayant et moi je suis resté bête comme jamais ! Un pur moment de solitude devant ce soi disant huis clos anxiogène ! Un pur navet oui !
Dik ap Prale
Protéger sa descendance de tout pathogène et par n'importe quel moyen. Ce n'est bien sûr pas nouveau, mais ici le traitement est très efficace. La contamination provoque des visions lors de sa propagation dans le corps et des sueurs froides à chaque recoins d'une maison bien isolée dans ses bois. Le montage et effets sonores sont les arguments forts de cet essai anxiogène.
Un film sans queue ni tête, aucun relief ni réelle angoisse. La fin laisse perplexe et on se demande quel était le but de cette bouse d'1h25.
Assez décevant. L'idée est bonne au départ mais ça tourne en rond. On ne sait pas trop ce qui se passe au départ et pendant le film; bon c'est normal. On attend de savoir et cela contribue au suspense. Mais alors qu' on s'attend à une menace extérieure plus présente, plus croissante, et contre laquelle les protagonistes doivent lutter, on assiste à une dislocation dans le groupe qui s'autodétruit. Et au final, on reste totalement sur sa faim.
Ne pas se fier une fois de plus à l'affiche ce film est un thriller (horrifique à la limite) mais en aucun cas un film d'épouvante ou d'horreur. Ce qui n'empêche pas quelques scènes un peu tendues. Une famille reclue au fond des bois en proie à une menace qu'on ne nommera jamais fonctionne comme une sorte de cellule autonome et paranoïaque, l'arrivée d'intrus va chambouler ce biotope fragile. L'idée de présenter la famille comme un organisme vivant qui réagirait mal à l'intrusion d'un corps étranger est bonne mais le film lui même n'a rien de transcendant. Reste un final qui fait froid dans le dos et assez peu optimiste sur la nature humaine.
On ne parle pas de navet à ce niveau là... C'est du niveau champion, parlons ratatouille plutôt...
Aucune intrigue, scénario inexistant, jumpscares qu'on voit venir avant même d'arriver au cinéma.
Passez votre chemin...
Heureusement que les places sont à 4€ avec la fête du cinéma).
Aucune intrigue, scénario inexistant, jumpscares qu'on voit venir avant même d'arriver au cinéma.
Passez votre chemin...
Heureusement que les places sont à 4€ avec la fête du cinéma).
Un très bon film d'horreur psychologique où quasiment rien n'est montré, tout est insinué, dont le climax, dénué d'espoir, est assez proche de Infectés, pour ceux qui ont vu le film. Bref, un film qui a parfaitement sa place à côté de Requiem for a Dream, la Vie est Belle ou la Passion du Christ pour une soirée Xanax.
Jamais je n'ai vue un film aussi chiant de toute ma vie , il ne se passe rien on ne comprend rien bref j'ai perdu 2 h de ma vie
Long, long voire très long ! 1h37 qui dure une éternité ..Le côté effrayant ? Lorsque tout le monde quitte la salle prématurément et que tu restes avec les derniers survivants ! L'idée aurait pu être mieux exploitée . Passez votre chemin !
Il ne se passe rien dans ce film. Passez votre chemin. Le titre se traduit par "ÇA ARRIVE LA NUIT". "Il arrive quoi ?" me direz-vous. Eh bien rien du tout, c'est bien ça le problème !
Ce film n'a aucun sens, pas d'histoire et ne fait même pas peur, a aucun moment du film on nous explique l'intrigue qui n'en est même pas une. Un vrai désastre.
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