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Trey Edward Shults promène sa caméra dans les couloirs de la maison bunkerisée avec calme, dans une sorte de complicité avec le diable qui n’est pas sans rappeler “Shining”.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Chaque recoin devient effrayant, chaque bouchée est un enjeu et chaque malaise fait craindre le pire dans ce thriller paranoïaque qui invite à se méfier de tout et de tous…
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
C’est presque un tour de force pour un film d’épouvante contemporain : jouer avec les ressorts de l’attente et de l’inévitable déception, puis emmener le spectateur dans une toute autre direction pour lui montrer une horreur bien pire encore que tout ce qu’il pouvait imaginer.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
"It Comes At night" ne se contente pas de partager avec "The Witch" les proximités de son décor -les abords d’un bois frontière où la grandeur des arbres protecteurs finit par avoir l’allure d’une toile d’araignée-, mais aussi cette observation d’une cellule familiale dans son (dys)fonctionnement où l’univers se réduit à leur espace vital. Le cinéaste impose une forme à la fois épurée et stylisée, hypnotique et anxiogène.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Un vrai film d’horreur, bien horrible, où l’épouvante est suscitée par des moyens minimalistes qui trouvent leur efficacité dans la malice du scénario et de la réalisation, et dans la présence angoissante du monstrueux au coeur même de la nature humaine.
Ce deuxième film de Trey Edward Shults prouve que c’est encore avec de vieilles recettes qu’on fait les films d’épouvante les plus efficaces. Avec son atmosphère apocalyptique et ses personnages flippants, “It Comes at Night” remplit son contrat.
A l’instar de M. Night Shyamalan ("The Visit"), Jeremy Saulnier ("Blue Ruin"), David Robert Mitchell ("It Follows"), Robert Eggers ("The Witch"), Shults fait partie de la race des filmeurs, ces cinéastes capables de rendre angoissante une souche ou fascinant un couloir sombre..
Véritable antichambre de l'Enfer, "It Comes At Night" réussit à sortir des carcans du film d'horreur classique pour marquer le spectateur du feutre indélébile de l'épouvante.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Tout reste trop sec pour émouvoir. Mais It Comes at Night reste suffisamment intrigant pour qu’on attende le prochain film du réalisateur avec curiosité.
Malgré un discours politique épais et convenu, "It Comes At Night" marque par l'intelligence de sa mise en scène et sa tension organique, gérée à la perfection.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Cadré et monté avec élégance, d’un pessimisme complet, It Comes at Night oublie en chemin de nous faire palpiter pour le destin de ses personnages, ce qui limite vite sa portée. Mais le film pose une question intrigante : l’Amérique familiale, incapable de défendre une autre valeur que son propre lien ombilical, mérite-t-elle de survivre ?
Quand les apartés psychologiques de The Walking Dead croisent l’atmosphère arty d’It Follows, les intentions sont bonnes, mais le résultat récréatif mollasson.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Get Out a prouvé qu'on pouvait s'amuser avec le film d'horreur et dire des choses sur l'Amérique. It Comes at Nightne ne prouve rien. Même Joel Edgerton ne suffit pas à rendre intéressant ce thriller sans surprise.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
CinemaTeaser
Le film ne s'illumine pas de lui même : c'est à retardement, quand il a mûri en nous, que "It Comes At Night" devient tres grand.
Paris Match
Trey Edward Shults promène sa caméra dans les couloirs de la maison bunkerisée avec calme, dans une sorte de complicité avec le diable qui n’est pas sans rappeler “Shining”.
20 Minutes
Chaque recoin devient effrayant, chaque bouchée est un enjeu et chaque malaise fait craindre le pire dans ce thriller paranoïaque qui invite à se méfier de tout et de tous…
Charlie Hebdo
En ces temps de canicule, les sueurs froides que provoque ce thriller ne sont pas de refus.
Critikat.com
C’est presque un tour de force pour un film d’épouvante contemporain : jouer avec les ressorts de l’attente et de l’inévitable déception, puis emmener le spectateur dans une toute autre direction pour lui montrer une horreur bien pire encore que tout ce qu’il pouvait imaginer.
Culturopoing.com
"It Comes At night" ne se contente pas de partager avec "The Witch" les proximités de son décor -les abords d’un bois frontière où la grandeur des arbres protecteurs finit par avoir l’allure d’une toile d’araignée-, mais aussi cette observation d’une cellule familiale dans son (dys)fonctionnement où l’univers se réduit à leur espace vital. Le cinéaste impose une forme à la fois épurée et stylisée, hypnotique et anxiogène.
Le Dauphiné Libéré
Un vrai film d’horreur, bien horrible, où l’épouvante est suscitée par des moyens minimalistes qui trouvent leur efficacité dans la malice du scénario et de la réalisation, et dans la présence angoissante du monstrueux au coeur même de la nature humaine.
Le Journal du Dimanche
L’isolement mène à la folie dans cette histoire captivante de survie, imprévisible et impitoyable, qui interroge sur l’humanité.
Les Fiches du Cinéma
Ce deuxième film de Trey Edward Shults prouve que c’est encore avec de vieilles recettes qu’on fait les films d’épouvante les plus efficaces. Avec son atmosphère apocalyptique et ses personnages flippants, “It Comes at Night” remplit son contrat.
Les Inrockuptibles
A l’instar de M. Night Shyamalan ("The Visit"), Jeremy Saulnier ("Blue Ruin"), David Robert Mitchell ("It Follows"), Robert Eggers ("The Witch"), Shults fait partie de la race des filmeurs, ces cinéastes capables de rendre angoissante une souche ou fascinant un couloir sombre..
Mad Movies
Des hallucinations et un suspense sur la contamination, c'est assez original dans le cadre d'un post-apo.
Ouest France
Un huis clos paranoïaque (et horrifique) très effrayant qui marche au premier degré (ça fait peur).
Première
Avec ce deuxième film, Trey Edward Shults s’impose comme un cinéaste à suivre.
Rolling Stone
Véritable antichambre de l'Enfer, "It Comes At Night" réussit à sortir des carcans du film d'horreur classique pour marquer le spectateur du feutre indélébile de l'épouvante.
Cahiers du Cinéma
Tout reste trop sec pour émouvoir. Mais It Comes at Night reste suffisamment intrigant pour qu’on attende le prochain film du réalisateur avec curiosité.
Ecran Large
Malgré un discours politique épais et convenu, "It Comes At Night" marque par l'intelligence de sa mise en scène et sa tension organique, gérée à la perfection.
Le Monde
Le réalisateur américain Trey Edward Shults réussit à mêler tragédie intimiste et film catastrophe.
Positif
Cadré et monté avec élégance, d’un pessimisme complet, It Comes at Night oublie en chemin de nous faire palpiter pour le destin de ses personnages, ce qui limite vite sa portée. Mais le film pose une question intrigante : l’Amérique familiale, incapable de défendre une autre valeur que son propre lien ombilical, mérite-t-elle de survivre ?
Studio Ciné Live
Un survival horrifique flippant, malgré son intrigue rebattue.
Télérama
Un parti pris d'épure radical qui aboutit à un film presque simple, en définitive. Mais plein de tempérament.
Voici
Un psycho-thriller angoissant.
aVoir-aLire.com
Quand les apartés psychologiques de The Walking Dead croisent l’atmosphère arty d’It Follows, les intentions sont bonnes, mais le résultat récréatif mollasson.
Le Figaro
Get Out a prouvé qu'on pouvait s'amuser avec le film d'horreur et dire des choses sur l'Amérique. It Comes at Nightne ne prouve rien. Même Joel Edgerton ne suffit pas à rendre intéressant ce thriller sans surprise.