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FaRem
8 647 abonnés
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1,5
Publiée le 17 août 2017
Le premier sorti en 2011 était une très bonne surprise, un film original, divertissant, et même touchant grâce à la performance à contre-emploi de Seann William Scott malheureusement, je n'ai rien retrouvé de tout cela dans cette suite loin d'être indispensable. Jay Baruchel passe derrière la caméra pour la première en plus d'être toujours coscénariste comme c'était le cas dans le premier seulement cette fois-ci, il n'y a plus Evan Goldberg à ses côtés et la différence se fait peut-être là, car que ça soit au niveau de l'histoire et surtout de l'humour, cette suite est très loin du premier. Ici, il est question de changement de carrière, de blessure, d'une rivalité qui sert de fil rouge, de la cohésion d'équipe et par-dessus tout de baston avec un nombre incalculable de bagarres aussi sanglantes et violentes qu'inintéressantes. Je n'attendais rien de ce film et je ne savais même pas qu'il y allait avoir une suite, mais je suis quand même déçu par ce film raté à tous les niveaux qui n'est jamais drôle ou même divertissant, il n'y a que le casting pour sauver un ensemble rapidement ennuyeux et sans grand intérêt.
Je n'avais vraiment pas aimé le premier "Goon" (ou "Fight Games" en VF). Je l'avais trouvé insipide et mon affection pour Sean William Scott et Liev Schreiber n'avait pas suffit pour le sauver à mes yeux. Je viens de découvrir qu'une suite venait de sortir. Je n'en avais jamais entendu parler et la curiosité a été la plus forte.
Plus de 5 années séparant ces 2 films, j'avais un peu oublié le premier film et il ne me restait plus que des bribes. C'est presque vierge de tout a priori que j'ai finalement regardé sa suite. Et oh surprise, j'ai passé un agréable moment !
Bien sûr, le film reste une énorme caricature du hockey sur glace reléguant presque ce sport à des pugilats incessants. Mais si on passe outre ce défaut, il est possible de se divertir parce que Jay Baruchel a fait le nécessaire pour rendre le film agréable avec des personnages attachants (ou qu'on adore détester) et une gentille morale qui sauve tout.
"Goon : The Last Enforcer" est le genre de film qui ne mord pas. Ce n'est pas un film familial car il y a beaucoup de sang mais ce n'est pas non plus la comédie la plus choquante. Il saura satisfaire le public américain dans sa vision des valeurs familiales et sportives. Pourquoi pas après tout.
La vraie bonne idée de cette suite, c'est d'introduire un jeune commentateur sportif égocentrique et à l'esprit fermé aux côtés d'un présentateur plus ancien et totalement désespéré par son jeune collègue.
J'ai beaucoup donné de qualités à ce film mais je finirai tout de même par nuancer le tableau : cette suite, si elle divertit, est un film mineur qui sera probablement vite oublié. Il occupera simplement (et plutôt d'une bonne manière) une de vos soirées.
Vu il y a quelques jours. J'aurais mieux apprécié le film si l'accent canadien avait été moins prononcé ! Tout au long du film, je n'ai presque rien compris. Et je ne comprends pas pourquoi cette suite, d'ailleurs très décevante !
Ce film est une perte totale de temps. Si vous aimez le hockey, passez votre chemin, vous serez déçu. Si votre but est juste de regarder un film stupide, bourré de stéréotypes et de violence gratuite, alors vous y trouverez peut être votre compte. Dans le cas contraire, c'est 1h40 qui peut être utilisée à meilleur escient...
Pour commencer quand on voit l’acteur renommé pour son rôle de STIFLER dans American Pie, il ne faut pas s’attendre a ce que cela vole très haut. Pour moi ce film rentre dans une catégorie special du cinéma, on ne sais pas réellement quoi en penser ! Ce film m’a fait beaucoup sourire dû aux petites touches d’humour bien placées et un personnage niais, pas vraiment stupide mais perdu dans son esprit sûrement à cause de tous les chocs qu’il a encaissés ! C’est personnellement le genre de film « con » que j’apprécie pour passer un moment sans utiliser son cerveau ! Par contre dans la version française tous les dialogues sont en québécois et cela demande un petit temps d’adaptation et un compteur de « Tabernak ».