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31 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Après “Sils Maria”, Olivier Assayas déploie, dans ce récit habité par Kristen Stewart et à la croisée des genres, une méditation sur les signes du contemporains.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Jamais sans doute Assayas n'a regardé quelqu'un avec autant d'intensité (...). "Personal Shopper" retrouve cette formule miraculeuse de portrait fictionnel d'une actrice, où chaque photogramme s'avance gorgé de désir, de stupeur, de tremblements, où chaque geste, chaque regard de "KStew" est capté comme si c'était la première fois.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Une merveille.
Elle
par Anne Diatkine
POUR : Fantômes qui nous encombrent lorsqu’on perd un proche, spectres qui habitent les vêtements et après lesquels on court : le film est plus complexe qu’il n’en a l’air. Et Olivier Assayas n’a pas son pareil pour faire le portrait d’une Américaine solitaire à Paris, ville glaciale et hivernale, où se succèdent les enseignes du luxe.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Femme Actuelle
par Valérie Beck
Étrange et troublant, le nouveau film d'Olivier Assayas peut surprendre. Entre drame d'auteur intimiste, polar et film fantastique, le réalisateur brouille les pistes autour de Kristen Stewart quasiment de tous les plans. (...) Une mise en scène inquiétante et efficace, récompensée à Cannes.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Passant de la réalité du monde, vu ici sous sa forme sociale la plus sophistiquée, au mystère de l’autre monde, Olivier Assayas s’essaie à l’art même du cinéma : donner la vie aux ombres. Il le fait de façon subtile et dérangeante, qui mérite assurément mieux que la bronca cannoise.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le récit elliptique stimule l’imagination du spectateur et lui donne une liberté d’interprétation. Olivier Assayas filme les apparitions surnaturelles de manière épurée mais glaçante dans la lignée des cinéastes japonais contemporains (...). Une histoire de hantise prégnante, sensible et particulièrement lucide.
Libération
par Luc Chessel
C’est peut-être là la réussite du film: preuve, doute et frisson (éloge) du cinéma comme contre-iPhone, une technologie sans usage, une communication sans message, ou l’art total de la déception pure.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Libération
par Clément Ghys
Tout "Personal Shopper" tient à cette ambiguïté, à cette façon humide de glisser entre nos mains dès qu’on se saisit d’un de ses aspects, chacun d’entre eux formant une facette qui réfléchit les autres, à l’image de cette robe de miroirs que revêt Stewart dans le film.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heymann
(...) on se sera laissé séduire par ce "Personal Shopper", si personnel, en effet.
Metro
par Mehdi Omaïs
POUR : Fort d’une mise en scène glacée et élégante, qui serpente dans les dédales de nos psychés, Assayas construit une flânerie identitaire où la fascination est reine et dans laquelle sont convoqués le thriller et les saillies prismatiques d’un Kiyoshi Kurosawa.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Nicolas Bauche
Avec son histoire de fantôme, il capte l'essence du chagrin sororal dans un désert nommé Paris.
Transfuge
par Damien Aubel
Assayas, qui hybride ici l'ultra-contemporain et la foule immémoriale des âmes en peine, filme avec délectation les ectoplasmes comme un ghostbuster.
Voici
par La Rédaction
Un portrait de femme, douloureusement seule, prisonnière d'un deuil qui l'empêche de vivre sa vie. Un rôle auquel l’ex-héroïne de Twilight apporte son magnétisme et son talent.
Critikat.com
par Morgan Pokée
Si "Personal Shopper" clignote de cet excès de matérialisme contemporain sur lequel il se rabat certes parfois maladroitement, il n’en est pas moins un pur objet de désir pour Kristen Stewart (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Eric Libiot
Ce regard de cinéaste entomologiste est assez fascinant, parfois troublant, davantage en tout cas que l'intrigue elle-même, qui manque de péripéties et se perd dans un récit de fantôme et un suspens pas très convaincant.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
De la modernité, "Personal Shopper" affiche les oripeaux, non sans une forme de complaisance, et, n’était le plaisir de contempler Mlle Stewart, on s’ennuierait un peu.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Claire Micallef
Peu de cinéastes d’aujourd’hui parviennent comme lui à capter quelque chose de cette fourmilière (sur le plan numérique comme sur celui du réel) qu’est le monde contemporain, la vie urbaine dans son urgence.
Le Monde
par Noémie Luciani
C’est au-delà des ectoplasmes, des risques scénaristiques, peut-être ce tableau plus simple qu’Assayas réussit le mieux : le portrait d’une solitaire qui s’ignora aussi longtemps qu’elle se vivait en siamoise, et que la mort du jumeau met face à son manque de goût pour le monde dont les autres s’accommodent.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un film que d'aucuns jugeront pas facile, tandis que d'autres apprécieront de se laisser porter par la multiplicité des pistes que le récit emprunte et l'atmosphère vaporeuse, troublante, effrayante parfois, qui se dégage de l'ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
CNews
par La Rédaction
Prix de la mise en scène au Festival de Cannes, le film du réalisateur de "L’heure d’été" et "Carlos" n’a peut-être que ça à affirmer : une virtuosité d’exécution. Car "Personal Shopper" reste un thriller où l’ennuie affleure malgré son lot de bonnes idées et toute la vivacité du jeu de Kristen Stewart.
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Qu’Assayas explore sa sympathique veine « d’exploitation » plutôt que sa veine « dramatique » n’est pas le souci, mais d’un côté comme de l’autre, le décorum étouffe autant l’esprit : plus que le cœur du film, Kristen Stewart est réduite à en être la petite main, presque invisible.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Beaucoup de trous et de remplissage pour un drame dilué. Voir l’interminable dialogue par SMS entre l’héroïne et un inquiétant inconnu. Cette œuvre chic, parsemée de références artistiques, ne semble qu’esquissée.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Arnaud Schwartz
Au final, l’exercice, comme englué dans son artificialité, distille plus d’ennui que d’intérêt.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Rien ne sauve ce film d’un mortel ennui, ni la mise en scène, d’une invraisemblable platitude pour qui connaît le cinéaste, ni le jeu de zombie de l’actrice américaine, ni surtout les tressautements et déraillements d’un scénario fumeux, boursouflé de dialogues sentencieux, de fausses pistes, de poses bobo.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Mais si la maestria du réalisateur tient le spectateur en haleine, la destination est un peu décevante. Cinéaste lettré, Assayas accumule les références, y compris à son œuvre propre, passe de la théosophie à Hitchcock et au fantastique du cinéma asiatique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Metro
par Marilyne Letertre
CONTRE : Résultat : on sort de la salle perplexe, déçu par un réalisateur dont on avait notamment adoré le "Sils Maria", franchement agacé et accompagné par les huées.
La critique complète est disponible sur le site Metro
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Naufrage inattendu et embarrassant, "Personal Shopper" n’a pas la carrure d’un film de compétition cannoise. Reconnaissons qu’Olivier Assayas n’a au moins pas peur du grotesque.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Elle
par Florence Ben Sadoun
CONTRE : Si on ne tombe pas fou amoureux de Kristen Stewart, comme cela semble être arrivé à la caméra d’Olivier Assayas, il devient très difficile d’entrer dans cette histoire contemporaine de fantômes.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Première
par La rédaction
Clairement inspiré par Bret Easton Ellis (…), Assayas échoue à construire une vraie atmosphère de trouille, sombre dans le vide chic qu’il voulait décrire, et livre un film ectoplasmique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Kristen Stewart est belle, mais son manque criant de naturel la dessert : à la moindre réplique, elle se trouble, fronce les sourcils, fait une grimace, cherche ses mots, comme une Narcisse doloriste. Assayas, lui aussi, se regarde beaucoup filmer, sans sentir, hélas, qu'il s'enferme dans un sérieux papal.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
Après “Sils Maria”, Olivier Assayas déploie, dans ce récit habité par Kristen Stewart et à la croisée des genres, une méditation sur les signes du contemporains.
Les Inrockuptibles
Jamais sans doute Assayas n'a regardé quelqu'un avec autant d'intensité (...). "Personal Shopper" retrouve cette formule miraculeuse de portrait fictionnel d'une actrice, où chaque photogramme s'avance gorgé de désir, de stupeur, de tremblements, où chaque geste, chaque regard de "KStew" est capté comme si c'était la première fois.
Studio Ciné Live
Une merveille.
Elle
POUR : Fantômes qui nous encombrent lorsqu’on perd un proche, spectres qui habitent les vêtements et après lesquels on court : le film est plus complexe qu’il n’en a l’air. Et Olivier Assayas n’a pas son pareil pour faire le portrait d’une Américaine solitaire à Paris, ville glaciale et hivernale, où se succèdent les enseignes du luxe.
Femme Actuelle
Étrange et troublant, le nouveau film d'Olivier Assayas peut surprendre. Entre drame d'auteur intimiste, polar et film fantastique, le réalisateur brouille les pistes autour de Kristen Stewart quasiment de tous les plans. (...) Une mise en scène inquiétante et efficace, récompensée à Cannes.
Le Dauphiné Libéré
Passant de la réalité du monde, vu ici sous sa forme sociale la plus sophistiquée, au mystère de l’autre monde, Olivier Assayas s’essaie à l’art même du cinéma : donner la vie aux ombres. Il le fait de façon subtile et dérangeante, qui mérite assurément mieux que la bronca cannoise.
Le Journal du Dimanche
Le récit elliptique stimule l’imagination du spectateur et lui donne une liberté d’interprétation. Olivier Assayas filme les apparitions surnaturelles de manière épurée mais glaçante dans la lignée des cinéastes japonais contemporains (...). Une histoire de hantise prégnante, sensible et particulièrement lucide.
Libération
C’est peut-être là la réussite du film: preuve, doute et frisson (éloge) du cinéma comme contre-iPhone, une technologie sans usage, une communication sans message, ou l’art total de la déception pure.
Libération
Tout "Personal Shopper" tient à cette ambiguïté, à cette façon humide de glisser entre nos mains dès qu’on se saisit d’un de ses aspects, chacun d’entre eux formant une facette qui réfléchit les autres, à l’image de cette robe de miroirs que revêt Stewart dans le film.
Marianne
(...) on se sera laissé séduire par ce "Personal Shopper", si personnel, en effet.
Metro
POUR : Fort d’une mise en scène glacée et élégante, qui serpente dans les dédales de nos psychés, Assayas construit une flânerie identitaire où la fascination est reine et dans laquelle sont convoqués le thriller et les saillies prismatiques d’un Kiyoshi Kurosawa.
Positif
Avec son histoire de fantôme, il capte l'essence du chagrin sororal dans un désert nommé Paris.
Transfuge
Assayas, qui hybride ici l'ultra-contemporain et la foule immémoriale des âmes en peine, filme avec délectation les ectoplasmes comme un ghostbuster.
Voici
Un portrait de femme, douloureusement seule, prisonnière d'un deuil qui l'empêche de vivre sa vie. Un rôle auquel l’ex-héroïne de Twilight apporte son magnétisme et son talent.
Critikat.com
Si "Personal Shopper" clignote de cet excès de matérialisme contemporain sur lequel il se rabat certes parfois maladroitement, il n’en est pas moins un pur objet de désir pour Kristen Stewart (...).
L'Express
Ce regard de cinéaste entomologiste est assez fascinant, parfois troublant, davantage en tout cas que l'intrigue elle-même, qui manque de péripéties et se perd dans un récit de fantôme et un suspens pas très convaincant.
L'Obs
De la modernité, "Personal Shopper" affiche les oripeaux, non sans une forme de complaisance, et, n’était le plaisir de contempler Mlle Stewart, on s’ennuierait un peu.
La Septième Obsession
Peu de cinéastes d’aujourd’hui parviennent comme lui à capter quelque chose de cette fourmilière (sur le plan numérique comme sur celui du réel) qu’est le monde contemporain, la vie urbaine dans son urgence.
Le Monde
C’est au-delà des ectoplasmes, des risques scénaristiques, peut-être ce tableau plus simple qu’Assayas réussit le mieux : le portrait d’une solitaire qui s’ignora aussi longtemps qu’elle se vivait en siamoise, et que la mort du jumeau met face à son manque de goût pour le monde dont les autres s’accommodent.
Le Parisien
Un film que d'aucuns jugeront pas facile, tandis que d'autres apprécieront de se laisser porter par la multiplicité des pistes que le récit emprunte et l'atmosphère vaporeuse, troublante, effrayante parfois, qui se dégage de l'ensemble.
CNews
Prix de la mise en scène au Festival de Cannes, le film du réalisateur de "L’heure d’été" et "Carlos" n’a peut-être que ça à affirmer : une virtuosité d’exécution. Car "Personal Shopper" reste un thriller où l’ennuie affleure malgré son lot de bonnes idées et toute la vivacité du jeu de Kristen Stewart.
Cahiers du Cinéma
Qu’Assayas explore sa sympathique veine « d’exploitation » plutôt que sa veine « dramatique » n’est pas le souci, mais d’un côté comme de l’autre, le décorum étouffe autant l’esprit : plus que le cœur du film, Kristen Stewart est réduite à en être la petite main, presque invisible.
L'Humanité
Beaucoup de trous et de remplissage pour un drame dilué. Voir l’interminable dialogue par SMS entre l’héroïne et un inquiétant inconnu. Cette œuvre chic, parsemée de références artistiques, ne semble qu’esquissée.
La Croix
Au final, l’exercice, comme englué dans son artificialité, distille plus d’ennui que d’intérêt.
La Voix du Nord
Rien ne sauve ce film d’un mortel ennui, ni la mise en scène, d’une invraisemblable platitude pour qui connaît le cinéaste, ni le jeu de zombie de l’actrice américaine, ni surtout les tressautements et déraillements d’un scénario fumeux, boursouflé de dialogues sentencieux, de fausses pistes, de poses bobo.
Le Figaro
Mais si la maestria du réalisateur tient le spectateur en haleine, la destination est un peu décevante. Cinéaste lettré, Assayas accumule les références, y compris à son œuvre propre, passe de la théosophie à Hitchcock et au fantastique du cinéma asiatique.
Metro
CONTRE : Résultat : on sort de la salle perplexe, déçu par un réalisateur dont on avait notamment adoré le "Sils Maria", franchement agacé et accompagné par les huées.
aVoir-aLire.com
Naufrage inattendu et embarrassant, "Personal Shopper" n’a pas la carrure d’un film de compétition cannoise. Reconnaissons qu’Olivier Assayas n’a au moins pas peur du grotesque.
Elle
CONTRE : Si on ne tombe pas fou amoureux de Kristen Stewart, comme cela semble être arrivé à la caméra d’Olivier Assayas, il devient très difficile d’entrer dans cette histoire contemporaine de fantômes.
Première
Clairement inspiré par Bret Easton Ellis (…), Assayas échoue à construire une vraie atmosphère de trouille, sombre dans le vide chic qu’il voulait décrire, et livre un film ectoplasmique.
Télérama
Kristen Stewart est belle, mais son manque criant de naturel la dessert : à la moindre réplique, elle se trouble, fronce les sourcils, fait une grimace, cherche ses mots, comme une Narcisse doloriste. Assayas, lui aussi, se regarde beaucoup filmer, sans sentir, hélas, qu'il s'enferme dans un sérieux papal.