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    Jackie
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    3,0
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    335 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 1 février 2017
    Prétentieux et agaçant, on se retrouve face à une Jackie Kennedy incompréhensible, idiote drama queen vaniteuse version feutrée à la Maison Blanche. Partie au bout d'une heure dix, cela n'en valait pas la peine.
    Noam ???? D
    Noam ???? D

    64 abonnés 114 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 février 2017
    film sans interet mal realise.
    Portman joue tres mal j ai voulu sortir avant la fin. Normalement je suis fan des biopics mais la c est plat on survole Dallas.
    Hugodelp
    Hugodelp

    10 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 février 2017
    ennuyant... à mourir, pas d'action... morbide... en ces temps durs.... plutôt aller voir "la la land"
    scrabble
    scrabble

    34 abonnés 467 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 février 2017
    c'est pas que le film est mauvais mais comme pour Neruda c'est sans vie, sans chaleur, sans sentiments sans rien. c'est un film sans âme. pour ma part ça vient du réalisateur qui ne donne pas vie à ses personnages. on apprend rien, bref c'est super basique. dommage
    framboise32
    framboise32

    154 abonnés 1 290 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 février 2017
    Jackie est un portrait psychologique passionnant d’une femme amoureuse victime d’une tragédie. Le film se focalise sur les années à partir de l’installation du couple à la Maison-Blanche . Plus précisemment sur l’assassinat du 22 Novembre 1963 du 35ème président des États-Unis et les quelques jours qui ont suivi. Le portrait est bouleversant. Natalie Portman est magnifique. On y découvre une femme veillant à tout prix à ce que son mari reste dans l’histoire du pays, et pas seulement à cause de cet accident tragique. On y montre aussi sa volonté dès l’arrivée à la Présidence à vouloir rester dans les mémoires. Elle le fait pour son mari mais aussi pour elle. Elle a ainsi contribué à la » peoplelisation » du président et de la fonction. Pablo Larraín a reconstitué l’émission de CBS au cours de laquelleJackie Kennedy, la première dame, fait découvrir au peuple américian les coulisses de la Maison Blanche . La jeune veuve contrôle tout. Le réalisateur filme avec beaucoup d’intelligence le portrait de cette femme fascinante : Hautaine, Combative, Angoissée, ambitieuse, démunie, forte, dépressive, courageuse…On s’apercoit qu’elle a eu une vraie influence.

    Un point de vue sur Jackie Kennedy, la mise en scène est brillante, l’actrice impeccable
    stanley
    stanley

    66 abonnés 756 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 février 2017
    Le sentiment qu'on éprouve à la vision de Jackie, c'est l'ennui qui ne quitte pas le film du début à la fin. Tout est question de partie pris, celui de tout centrer sur l'héroïne, femme de président cherchant à faire le deuil de son traumatisme. Le récit ne s'envole pas, sans guère de surprise, empli de scènes jouant certes habilement avec les différentes strates de temps mais sans passion, personnalité, ni réel empathie. Pourtant, Pablo Larrain, bien plus inspiré selon moi dans Neruda, a le sens de la photographie, de l'utilisation idoine de la musique mais à force de porter son attention chez les décors somptueux des appartements de Jackie ou des habits rutilants de la femme, fait bailler par indifférence polie. Il manque l'ironie et de la distance critique de Neruda. Nathalie Portman est pourtant à l'aise, habitée, dans un rôle difficile. A noter les belles scènes avec John Hurt dans son dernier rôle, et déjà bien malade et la plus réussie d'un film moyen, celle où Jackie s'enfonce dans la boue et le brouillard d'un cimetière mythique. Notons aussi que les scènes de l'assassinat de JFK sont très réussies et d'une grande précision filmique. Jackie dans sa globalité reste très décevant et froid.
    alloGreg
    alloGreg

    2 abonnés 39 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 février 2017
    Lent, sans révélations, jeu d'acteur sans davantage d'intérêt.

    On se demande quand est ce que cela va commencer à quand est ce que cela va s'arrêter.
    traversay1
    traversay1

    3 623 abonnés 4 872 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 février 2017
    Un portrait de femme, de veuve, de mère, de première dame, d'enfant perdue, de rebelle ... Jackie est tout cela dans un film cubiste de Pablo Larrain qui laisse à Jackie Kennedy une large part de mystère, et c'est bien là l'essentiel. Et qu'on ne parle plus de Biopic, ce pseudo-genre (retracer une vie en 90 ou 120 minutes, quelle escroquerie !) que Neruda et Jackie viennent de rendre caducs en deux tours de main. L'atout premier du film ou plutôt le deuxième, après l'interprétation de Natalie Portman, on y reviendra, c'est sa science du découpage, cette alternance de temporalités sur un laps de temps relativement court, de l'assassinat aux funérailles, avec de menues exceptions. Dallas est peu évoqué mais ses conséquences sur l'existence de Jackie forment l'essence du long-métrage. Déconcertante héroïne, au tailleur rose taché de sang, fumeuse en série et trublion d'un protocole qu'elle bouleverse par sa seule volonté. Jackie est froide, Jackie est glamour, Jackie est déboussolée, Jackie est arrogante, Jackie est intelligente et candide. Et Natalie Portman est Jackie, non dans l'imitation mais par une sorte de mimétisme miraculeux. Une performance d'actrice qui ne sent pas la sueur ni l'effort mais la grâce et le talent. Une nouveauté pour Pablo Larrain dont la direction d'acteurs s'était jusqu'alors surtout exercé au masculin, de Tony Manero à Neruda, en passant pas No et El Club. Si Jackie phagocyte l'écran, le formidable Peter Sarsgaard, en Bobby Kennedy (l'un des sous-thèmes les plus intéressants du film que ces relations brumeuses entre Jackie et son beau-frère) et John Hurt en prêtre (un belle façon de tirer sa révérence même s'il a tourné d'autres films après celui-ci) donnent de la densité à leurs "seconds rôles." Au côté de cette icône éternelle autant dans la lumière des projecteurs du monde que dans l'ombre de ses sentiments et des pensées contradictoires dont elle restera la seule dépositaire.
    bsalvert
    bsalvert

    417 abonnés 3 594 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 juillet 2017
    Une vision de JFK au travers de son épouse au lendemain de son assassinat.
    PLV : un film qui manque clairement de dynamisme
    Top of the World
    Top of the World

    70 abonnés 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mars 2017
    Que retient-on de "Jackie" quelques jours après l'avoir vu ? D'abord, l'osmose puissante entre la caméra de Larraín et le visage de Natalie Portman, qui joue magistralement une femme elle-même occupée à jouer un rôle : le titre est à cet égard trompeur puisque Jackie se définit avant tout par le nom de son époux, y compris après sa mort. Quand celle-ci intervient, l’héroïne songe instantanément aux autres présidents assassinés, Lincoln en tête. Les funérailles de JFK devront être aussi mémorables, un siècle après, que celles de l'homme qui a aboli l'esclavage, et elle, sa veuve, s'obstine à vouloir marcher à côté du cercueil durant la procession. Pourquoi ? Parce qu'elle "fait son travail", celui d'une (ex-) première dame qui sait que les caméras, à l'instar des livres, peuvent faire l'Histoire. Mais les images filmées n'expriment pas forcément la vérité, en témoignent les scènes de la visite de la Maison Blanche, où les apparentes images d'archives ne sont qu'un tour de force technique et illusionniste. Jackie veut et doit tout contrôler pour décider quelle image renvoyer (les séquences d'interview sont particulièrement éloquentes concernant cet aspect) : Kennedy est digne de Camelot, avec tout ce que cela suppose d’héroïsme chevaleresque mais Camelot est aussi le nom d'une comédie musicale kitsch de l'époque ; chaque élément est polysémique. Le personnage principal semble lui si insaisissable que, pour tenter de saisir une part de sa nature profonde, Larraín filme son actrice sous toutes les coutures, dans un montage kaléidoscopique qui fait s'entrechoquer les temporalités, donnant ainsi au film un rythme étrange, parfois étourdissant, en particulier dans un dernier tiers qui nous happe tout en nous poussant à nous questionner sur le vrai sens à donner à cette histoire. Porté par la bande-son à la fois solennelle et dissonante de Mica Levi, "Jackie" est une oeuvre aussi sensorielle que réflexive grâce à sa complexité formelle et sa richesse thématique, provoquant l'immersion du spectateur tout en le maintenant à distance de cet objet singulier.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    399 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 février 2017
    C’est toujours intéressant de voir des biopics construit de cette manière, non linéaire et sachant exploiter une part de l’histoire, Jackie Kennedy tout le monde la connait sans vraiment la connaitre et Larrain a cette ambition de portraitiser cette femme qui a tout perdu, de rendre une tragédie intimiste. Et je trouve ça réussi puisqu’il aborde tous ses traits, même dans l’infime détail, il n’y a quasiment rien de pompeux (je dis quasiment parce que la séquence avec le prêtre étouffée par la musique je suis pas vraiment client), l’aspect glacial et morose est également mis en valeur par la photo, tout à fait somptueuse (surtout pour ce qui est de la restauration esthétique), on sent que tout est réfléchi et que le projet respire la sincérité.

    Après je dirais que le film a le défaut de ses qualités puisqu’il étire volontiers des moments qui n’en ont pas réellement besoin, comme pour surligner l’intention du metteur en scène de décalibrer le format, ce qui fait que ce n’est pas toujours passionnant à suivre, un peu plus de fluidité en terme de rythme n’aurait certainement pas été de trop. Pour ce qui est de Natalie Portman je n’ai pas non plus été transcendé par sa "performance", mais disons que la sobriété de la direction et l’écriture de son rôle rendent le personnage humain, loin de l’apparat communément associé, donc j’ai apprécié, sans être profondément bouleversé.

    Par contre il y a deux séquences que j’ai vraiment adoré, celle de la décente d’avion le matin de l’assassinat de JFK, avec les vertiges et les violons annonciateurs du drame, tout en captant avec intensité le regard de Portman, très fort, ainsi que celle du cimetière où Jackie trottine dans la boue et le brouillard pour planter le marqueur de la tombe de son mari, le plan est très beau, comme une inscription dans la légende américaine, la construction du mythe Kennedy, de façon symbolique, à défaut de le voir se perpétuer.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 15 février 2017
    22 novembre 1963. John Fitzgerald Kennedy meurt assassiné d’une balle dans le crâne sur les genoux de son épouse, Jackie. Les images font rapidement le tour du monde. Que devient une femme éperdument amoureuse de son mari quand celui-ci disparaît tout à coup de manière si tragique… et qu’il est également Président des Etats-Unis ? C’est autour de cette question que commence le film Jackie, de Pablo Larrain.

    Le (célèbre) tailleur rose encore maculé du sang de son défunt mari, Jackie doit immédiatement faire face à une nouvelle tragédie : comme l’exige l’ordre de succession présidentielle des Etats-Unis, celui-ci doit immédiatement être remplacé. Dans l’avion qui la ramène à la Maison Blanche, Lyndon Johnson, alors vice-président, prête serment sous ses yeux.

    Que va-t-elle devenir à présent ? Où, et de quoi va-t-elle vivre ? Que vont devenir ses enfants, Caroline et John ? Comment défendre au mieux l’héritage que laisse son défunt mari ?

    Natalie Portman, qui incarne Jackie, est d’une justesse bouleversante, tour à tour submergée par la douleur, la colère puis l’amertume… Jackie Kennedy était-elle simplement une femme ravissante, passionnée par le luxe et les réceptions mondaines comme certains ont pu le laisser croire ? Était-elle, au contraire, une femme de poigne, maîtrisant parfaitement les rouages du pouvoir ? Quoiqu’il en fût, ce film rend un hommage vibrant à une femme dont l’amour pour son mari n’a jamais fait l’ombre d’un doute. Poignant.
    Ninideslaux
    Ninideslaux

    83 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 février 2017
    Si vous ambitionnez de devenir célèbre, priez pour vivre assez vieux pour que Pablo Larrain n'ait pas le temps de s'en prendre à votre personne. Car, ses "héros", il les rend: 1) antipathiques; 2) incompréhensibles.

    Sur Neruda, passe encore que l'on brode. Le personnage devait avoir bien des côtés extravagants. Mais Jacqueline Kennedy? Petite bourgeoise extrêmement riche et gâtée; première dame dépensière mais aussi immédiatement, publiquement, effrontément trompée; puis témoin de l'assassinat de son mari.... avant de ruiner définitivement son image en devenant l'épouse d'un vieux grec aussi vulgaire que richissime. S'il y a bien un épisode stupéfiant -c'est celui là.

    Natalie Portman est ravissante mais je n'ai jamais retrouvé la Jacqueline de l'histoire. Surjouant la niaise lorsque, jeune mariée, elle fait visiter la Maison Blanche à une équipe de télévision, puis exagérément énervée -Natalie Portman est complètement à côté de la plaque.

    Ce fouillis -car c'est comme d'habitude un patchwork de moments sans articulation: l'interview donnée quelques temps après les obsèques à un journaliste (Billy Crudup); l'émission télévisée en question; l'entretien avec un prêtre avant le transfert des corps des enfants morts à Arligton -émouvant car c'est manifestement le dernier rôle du grand John Hurt! et enfin, tout ce qui se passe en coulisse durant ces quatre jours, sur lesquels en réalité il n'a pas du fuiter grand chose, sauf bien entendu la phrase terrible prononcée par Jackie pour justifier de ne pas changer, tout au long de la journée, le tailleur façon Chanel ensanglanté "Ils faut qu'ils voient ce qu'ils ont fait"; l'empressement des Johnson (John Caroll Lynch et Beth Grant) à ce que la prestation de serment s'accomplisse fissa fissa; et l'omniprésence de Bobby (Peter Sarsgaard), responsable, protecteur, réconfortant.

    Elle veut des funérailles grandioses. Une procession dans les rues de Washington, malgré les risques, le cercueil tiré par huit chevaux blancs, un cheval noir en tête comme pour les funérailles d'Abraham Lincoln.... (le pauvre John avait déjà du mal à rester assis sur une chaise, alors sur un cheval.... ), pourquoi? Pour lui, dit elle, pour la mémoire de ce grand homme -ou bien pour montrer au monde entier comme elle est digne, comme elle est forte? Enfin, elle court les cimetières militaires pour choisir le meilleur emplacement; elle commande, elle exige, elle change d'avis, elle épuise même Bobby.
    On l'entend aussi beaucoup craindre de manquer. Manquer d'argent, manquer de maison... D'où peut bien lui venir cette crainte? Comme si les Kennedy allaient la laisser dans la misère...
    On la voit aussi essayer des robes, des bijoux dans les appartements déserts.... Et enfin, il y a un rappel assez ridicule à la comédie musicale Camelot, qui était parait-il la musique préférée de Kennedy, et qui revient avec insistance à la fin -fin où d'ailleurs, de "fausses fins" successives s'empilent, on se demande comment cela va finir.
    Bref, Larrain a beaucoup imaginé, beaucoup élucubré -on n'est pas convaincus.
    On n'est pas convaincus.
    titicaca120
    titicaca120

    389 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 février 2017
    une Natalie Portman grandiose pour incarner Jackie juste après le
    lâche assassinat de son époux.
    elle retrace avec force et courage le juste avant et l'après où
    dès le retour dans l'avion du corps de son mari le nouveau président
    prête serment...la cérémonie.
    John Hurt aussi est magistral en prêtre on le regrette déjà.
    quand à la bande son omniprésente elle s'intègre bien au film
    et on entend la célèbre comédie musicale Camelot.
    velocio
    velocio

    1 317 abonnés 3 144 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 janvier 2017
    Par glissements successifs, le réalisateur chilien Pablo Larrain est passé de sa trilogie sur la dictature chilienne, conclue en 2012 avec "No", à des "biopics qui n'en sont pas" en faisant une courte escale anti-cléricale avec "El Club". Des "biopics qui n'en sont pas" car, à chaque fois, l'action se concentre sur une période très courte de la vie du personnage. Le premier, "Neruda", est sorti il y a 4 semaines dans notre pays ; voici le deuxième, "Jackie", premier film de Pablo Larrain tourné en langue anglaise et qui, à l’origine, devait être dirigé par Darren Aronofsky. Il n’est pas anodin de rappeler que de nombreuses scènes de ce film ont été tournées à Saint-Denis, dans la Cité du cinéma de Luc Besson, très peu de temps après les attaques terroristes du 13 novembre 2015 (Stade de France, Bataclan). Dans "Jackie", on rencontre une femme qui, malgré sa peine de toute évidence sincère, s’efforce de tout faire pour consoler ses enfants tout en contribuant à ce que l’histoire de son mari devienne un mythe qui résiste à l’usure du temps. On ne peut pas dire que l'enthousiasme soit de mise concernant ces deux derniers films de Pablo Larrain : après "Neruda" qui versait trop souvent dans la caricature, voici "Jackie" qui s'emmêle les pinceaux dans une construction particulièrement tarabiscotée et qui, de plus, est carrément plombé par une musique omniprésente et particulièrement insupportable.
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