Il ne se passe rien dans ce film. Au bout d'1h, alors que le film n'avait toujours pas décollé, j'ai su que c'était peine perdu. Sans être antipathique, le personnage de Jackie n'est pas sympathique. Je n'ai ressenti aucune empathie, aucune compassion à son égard, elle ne dégage aucune émotion, on ne s'attache donc pas. A côté de cela le scenario est creux, on n'apprend rien à défaut d'être distrait. Passez votre chemin.
Un biopic creux, ennuyeux, froid et prétentieux. L'extraordinaire prestation de Natalie Portman lui vaudra peut-être un oscar mais elle ne suffit pas à sauver ce film. Une critique plus détaillée et d'autres sur
Très déçu par ce film. Je m'attendais à une biographie sur Jackie et on a une très grosse longueur sur les obsèques de JFK. Ce film nous apporte rien. L'organisation de ses obsèques ne m'intéresse pas. J'aurai préfèré voir sa vie avant pendant et après JFK. Vaut mieux regarder un documentaire.
La nouvelle mode des biopics consiste à se concentrer sur un unique fait pour donner une image de la personnalité d'une célébrité. On l'a vu récemment avec le très bon Elvis & Nixon. Encore faut-il que le fait raconté soit éclairant. Ici, on assiste à la préparation des somptueuses funérailles de JFK préparées par Jackie (Natalie Portman enchanteresse). Malheureusement, le rythme excessivement lent (sensé laisser le temps à l'émotion de s'installer) ne rend le tout qu'indigeste et anecdotique. L'omniprésence d'une musique insupportablement pompeuse donne le coup de grâce. Un navet.
Réalisé par le Chilien Pablo Larraín, ce drame poignant nous procure énormément d'émotion. Rappelant l'ambiance de la guerre froide des années 60, le bon scénario nous offre un film fort, quelques séquences chocs, nous dévoilant les réflexions personnelles de Jackie sur son époux défunt. La BO classique, de qualité et de circonstance, souligne parfaitement une reconstitution réalisée avec tact et pertinence. Natalie Portman, nommée Oscar de la Meilleure actrice pour ce rôle, est très "Forte" dans une multitude de scènes émouvantes ; elle se révèle très élégante dans un rôle plus que délicat.
Ce film, taille sur mesure pour que Portman obtienne un deuxième oscar, ennuie et crispe. La musique omniprésente agace terriblement. C'est prétentieux et c'est dommage . Jackie a vraiment vécu une tragédie hors norme: Natalie Portman et Jackie elle meme méritaient mieux que cette demonstration souvent ridicule.
Un film d un ennui incommensurable. Des dialogues insipides, une réalisation hasardeuse, une musique pénible, une histoire sans intérêt. En résumé un navet prétentieux et pompeux. A éviter
Quel ennui..... Jackie était-elle si godiche ? Pas sûr... La bande son est glaçante, les personnages lisses et froids. Aucune humanité ne se dégage de ce film.
Très fort. Intense. Complexe. Ce film nous transmet tellement d’éléments sur les arcanes du pouvoir et sur les relations entre les différents personnages et ça sans jamais s’appesantir. Vraiment très ntéressant.
Un mois après le complexe "Neruda", un nouveau biopic ne l'étant pas moins signé Pablo Larraín sort sur nos écrans. Le cinéaste chilien met en scène les trois jours qui suivent l’assassinat de JFK du point de vue de sa femme, Jackie. En réalité, une action se situe antérieurement au drame, celle de la visite de la Maison-Blanche, dans laquelle la First Lady arbore un large sourire et détache nettement les syllabes, une façon de se mettre en scène totalement différente de celle de l’entretien avec le journaliste où la jeune femme apparaît plus fermée, laisse poser les questions alors qu’elle décide de ce qui sera publié. Ces différentes représentations font de Jackie Kennedy un personnage insaisissable, partagé entre la douleur sincère d’avoir perdu son mari et la volonté d'entrer dans l’Histoire de la politique américaine. La comparaison avec Lincoln n’est d’ailleurs pas anodine : assassiné comme JFK, il a eu droit à une gigantesque procession lors de ses funérailles, un événement que souhaite organiser Jackie en marchant derrière le cercueil. Mais si, comme le rappelle Bobby, JFK n’a pas réalisé de grandes réformes durant son mandat, au contraire de Lincoln, il devient lui aussi un « grand président » en raison de leur issue commune. Jackie Kennedy ne pense pas la politique dans son exercice présent mais lui préfère une vision historique ; pour cela, il faut tout mettre en œuvre pour inscrire son mari et elle-même dans la lignée des plus grands noms qui ont gouverné le pays : choisir un emplacement singulier pour la tombe, comparer JFK à Lincoln mais aussi le démarquer en en faisant un héros arthurien (utilisation de la chanson « Camelot ») et créer des images chocs qui marquent. Sans esquiver le choc du meurtre pour Jackie, Pablo Larraín fait de son héroïne un personnage en constante représentation, qu’il tente de capter en employant des formes tirées du réel qui finissent par se mêler à la fiction, tel ce plan où le regard de Natalie Portman dans sa voiture se confond aux images d’archives des personnes venues assister aux funérailles. Cette tentative de la mise en scène de capter la complexité du personnage est en même temps explosée par une temporalité vertigineuse qui refuse la linéarité et par des agencements sonores hétérogènes, composés entre autres des multiples intonations de la voix de Jackie et de variations musicales déstabilisantes, dont la composition stridente de Mica Levi ressemblant assez à celle entendue dans le récent « Under the Skin ». Film passionnant, « Jackie » donne l’impression d’être à court d’idées dans sa partie centrale avant de finir en apothéose lors d’un dernier tiers qui envoûte par son montage expérimental qui dit l’impossibilité de saisir ce personnage hors norme.
1,5/5 - Un film américain de masturbation intellectuelle, sans aucune impression de grandeur ni aucune émotion. Les quelques jours qui ont suivi l'assassinat de son mari ne sont pas des plus passionnantes, ce film nous le confirme. 1h30 de minauderies, d'interrogations sur son existence, mais pas de petite histoire dans la grande.
Jackie retrace les heures et jours qui suivent le meurtre du président Kennedy et des 1ères réactions et conséquences de la femme de celui-ci, Jackie Kennedy. Cet femme, d'une force énorme devant les épreuves de la vie qu'elle traverse, montrera différent aspects de son caractère. Ce biopic est extrêmement bien reproduit au niveau des décors et Nathalie Portman est vraiment convaincante. Le souci vient surtout de la mise en scène qui lasse très vite. Honnêtement on s'ennuie durant ce film et nous n'apprenons pas grand chose devant ce crime si célèbre. Bref : un biopic qui laisse perplexe.
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2,5
Publiée le 8 mars 2017
Quand à trente et un ans, Jackie se trouva première dame des Etats-Unis, elle avouera en entrant à la Maison Blanche qu'elle se sentait comme une mouche cognant aux vitres! N'aimant pas s'occuper de la politique, elle avait d'abord un peu scandalisè les vieux politiciens de Washington en se laissant photographier en pantalon rose, mais toutes les femmes d'Amèrique avaient aussitôt voulu lui ressembler! John Fitzgerald Kennedy et Jackie ètaient devenus un exemple pour toute une nation! Et tout un pays se reconnaissait dans ce couple heureux et fort! Vendredi 22 novembre 1963...Une voiture traverse une ville en fête...Une seule balle...et tout va se briser! Le prèsident s'effondre contre sa femme Jackie! Jamais, depuis que les States existent, la mort d'un prèsident n'a choquè, èmu, bouleversè à ce point le reste du monde! Une « first lady » qui va devoir affronter la suite! Et c'est de cette suite - cette Jackie sans J.F.K - que raconte le chilien Pablo Larraín! Un portrait très intimiste de "Jackie" avec des images d'archives parsemèes tout du long de ce film sur la perte où l'on passe sans arrêt de la politique spectacle et de la personne publique à la femme seule et la veuve en pleine tourmente! On peut trouver que ce biopic a des dèfauts, dans son manque d'èmotion et sa musique qui nous sort du film tout le temps, mais on doit reconnaître que l'esthètique, les costumes et la prestation particulièrement troublante de Natalie Portman ne s'oublient pas aisèment! Fèminitè dèbordante d'une femme mystèrieuse et complexe qui avait fait de l'austère Maison-Blanche un foyer...
Long ... Fastidieux ... Poussif. Hormis la prestation de Natalie Portman, le film n'a rien. Tellement rien que je peine à écrire 100 caractères. 1.5 Pour l'effort.