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Cine vu
141 abonnés
580 critiques
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4,0
Publiée le 10 mai 2016
Le ying et le Yang
Une trilogie qui prend des airs de série et dont on devient vite accroc.
Hans Petter Moland a repris la réalisation et le film est passé un cran au dessus, le résultat va encore au delà des deux précédents opus déjà de très haut niveau.
Carl le dépressif chronique, Assad l’optimiste au coeur tendre et comment ne pas s’éprendre de la petite Rose qui complète la bandes des archivistes du crime.
Attention ici on est pas dans « Cold Case », pas de tenue impeccable, pas de beau gosse, pas de haute technologie mais deux drôles de types, une secrétaire pétillante et loufoque, des bureaux en sous-sol où les vieux dossiers refont surface comme cette bouteille à la mer.
Le département V doit résoudre de vieilles affaires et on bascule du passé au présent. Le drame aujourd’hui est lié au passé, deux enfants enlevés. Malgré l’état psychologique lamentable de Carl, il va se ressaisir et repartir en guerre. Malgré son cynisme, Carl est un chouette type, malade, taiseux, maladroit mais diablement attachant. Assad le connait bien, plus que des coéquipiers, ce sont des amis sans mot dire, c’est palpable et puissant. Assad le protège comme il peut et surtout de lui-même.
Ce nouveau réalisateur donne une nouvelle dimension au film avec plus de démesure et parfois trop de spiritualité. J’avais adoré les deux opus précédent mais là le rythme et la noirceur du dossier l’emporte. Trois adaptations réussies des romans de Jussi Adler-Olsen et on aimerait bien que ça continue.
Des bon polars qui font frissonner. On est troublé et définitivement accroché à ce duo improbable.
succession de rushs sans continuité ou montage catastrophique. Dans tout les cas on ne peux jamais croire une seconde à cette histoire. Trop d'invraisemblances
Si j'avais pas lu les 4 livres, je dirais que les films sont bon. Cependant, le scénario ne respecte pas du tout le livre... Dommage! Le livre est bien plus sombre et le tueur bien plus complexe.
Troisième adaptation des Enquêtes du Département V après deux premiers épisodes réussis, ce Délivrance est aussi de bonne facture. On retrouve avec plaisir les personnages et notamment le duo charismatique des deux premiers films, cette fois-ci, plongé dans un enquête sur des enlèvements et de meurtres d'enfants dans une atmosphère de religion et de sectarisme. Si le film reste captivant de bout en bout, c'est plus grâce à sa réalisation rythmée et efficace que grâce à son scénario assez imparfait, en tout cas moins abouti que pour les précédents films. En effet, la narration prend le parti de dévoiler le coupable assez rapidement pour se focaliser sur le déroulement de l’enquête sur son identité et son arrestation. Et c'est là que se situe le défaut principal : l'enquête manque de profondeur. Beaucoup d'éléments sont mal voir pas ou peu expliqués et le déroulement des investigations semble parfois un peu flou. Le réalisateur a plus voulu se concentrer sur les scènes d'actions ou de tension que sur l'enquête en elle-même qui donne l'impression d'être un peu expédiée. De la même façon, le thème religieux au centre du récit est abordé d'une façon trop superficielle ce qui déçoit au vu du potentiel qu'il pouvait apporter. Ce troisième volet reste donc de bonne facture et divertissant de bout en bout mais laisse un peu sur la faim, comme une impression de ne pas avoir exploité toutes les possibilités du récit. Peut-être le moins bon des trois !
Ayant été très enthousiasmée par les deux premiers, de ce troisième film, j'en attendais sûrement trop...
J'avais trouvé "Miséricorde" excellent, "Profanation" encore meilleur, donc "Délivrance", allait certainement, dans mon esprit, être un petit bijou du genre...
Enfin, du moins je l'espérais...
Hélas je n'ai pas retrouvé dans "Délivrance" le côté sombre, glacial, anxiogène, angoissant, propre aux productions scandinaves, du moins tel qu'il m'avait jusqu'à présent plutôt séduite.
J'ai même eu comme une impression de "déjà vu" avec cette intrigue ayant comme toile de fond la foi, la religion et les croyances. J'ai trouvé, de plus, le "méchant" de l'histoire stéréotypé au possible et le film ne m'a paru être qu'un compte à rebours visant à attraper celui qui est à supprimer et dont on connaît l'identité dès le départ.
Je n'ai rien trouvé, bien que quelques scènes soient (heureusement) plus prenantes que d'autres, ni de haletant ni de palpitant, comme pour les deux premiers.
Certes, ce 3è film peut être apprécié par le fait qu'il offre une "dissertation" intéressante sur les croyances (d'une façon globale) mais je ne m'attendais pas à ce à quoi j'ai eu droit....
Les deux acteurs principaux, Nikolaj Lie Kaas et Fares Fares, interprètent leur personnage chacun de manière irréprochable mais je ne me suis pas régalée.
J'ai apprécié "Les enquêtes du département V : Délivrance", que j'ai découvert par hasard et décidé de regarder, le titre m'ayant attiré et le scénario ayant achevé de me convaincre. Son visionnage a donné raison à ces premières impressions, car ce film est prenant et bien joué. Je vous conseille cette production dano-suédo-germano-norvégienne.
Mikkel Norgaard nous avait déjà sidéré en adaptant les deux premiers romans policiers à succès de Jussi Adler-Olsen, Les Enquêtes du Département V – Miséricorde et Profanation. C’est au tour de Hans Peter Moland de réaliser ce troisième volet nommé Délivrance. Le sous-sol du département est toujours aussi lugubre et débordant d’affaires classées sans suite. Cette fois, c’est une bouteille à la mer avec un appel au secours à l’intérieur qui va déclencher cette enquête judiciaire alléchante. La mise en scène est toujours aussi noire et prenante et on le doit également à ces acteurs qui connaissent désormais leur rôle par cœur. Si l’effet de surprise n’est plus, cette affaire de secte religieuse au fin fond des pays nordiques reste incroyablement bien écrite et menée. Le fil conducteur est précis et avance doucement pour installer ce climat de douleur et de mystère. Un nouveau volet qui ne déçoit pas en reprenant la même recette que ses aînés. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
Quel plaisir de retrouver le département V ! Hans Petter Moland remplace Mikkel Nørgaard à la réalisation pour ce troisième film, adapté des romans de Jussi Adler-Olsen (véritable best-seller), et réalise ici un très bon travail. Pour ma part, cette enquête est à la fois prenante, captivante et saisissante. Les jeux d'acteurs de Nikolaj Lie Kaas (Carl Mørck) et de Fares Fares (Assad) sont époustouflant de justesse ! Vivement la sortie du quatrième et dernier (malheureusement) opus de la saga !
Ce troisième film est différent des deux premiers, mais ça ne l’empêche pas d'être tout aussi réussi et captivant que les précédents. Si le film perd en "noirceur" avec notamment une intrigue beaucoup plus prévisible puisque tous les personnages sont présentés immédiatement, il gagne en rythme et surtout en intensité. Je ne connais pas les livres donc peut-être que ce changement est dû au fait que Hans Petter Moland prenne le relais de Mikkel Nørgaard à la réalisation ou alors c'est juste que le réalisateur a compris qu'il fallait mettre en avant autre chose puisque l'enquête est "moins bien" construite, et plus, prévisible que les précédentes. Le fait que ça soit prévisible n'est pas préjudiciable au contraire puisque ça permet d'installer un très bon mano à mano entre les deux parties ce qui ajoute une grande intensité à l'intrigue en plus ça aurait été dommage de mettre dans l'ombre Pål Sverre Hagen qui est vraiment excellent. J'ai aimé les trois films, mais je crois bien que celui-ci est mon préféré, il n'est pas loin d'être excellent.
Un ton en dessous du reste de la saga. Ce troisième volet perd en noirceur et en profondeur. Le film retombe ainsi dans la norme, et nous laisse un (petit) sentiment de déjà vu.