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29 critiques presse
Elle
par Florence Ben Sadoun
Au cœur de ce film débordant de beauté visuelle et de poésie, se révèle aussi l’aventure de la plus grande industrie de l’illusion qu’est le cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
On retrouve ce que nous aimions le plus dans les deux premiers films de Rebecca Zlotowski : un sens inné du romanesque et du récit, une imagerie fantastique singulière, une attention aux personnages secondaires, une crudité sexuelle très pudique (...). "Planétarium" nous montre comment le monde va s'effondrer parce que les hommes soudain ne savent plus regarder les images.
20 Minutes
par Caroline Vié
Pour "Planetarium", Rebecca Zlotowski s’est penchée sur le destin de deux médiums américaines incarnées par Natalie Portman et Lily-Rose Depp. Sœurs unies et rivales dans le film, elles éblouissent par leur présence et leur complémentarité. (...) (un) conte envoûtant…
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un film d'époque ambitieux, porté par Natalie Portman et Lily-Rose Depp, deux soeurs de cinéma tout à fait convaincantes.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Visuel, stylisé, "Planétarium" l’est assurément, sans pour autant nous aveugler, sans pour autant masquer ses enjeux fondamentaux. Car derrière l’ode flamboyante au cinéma, au-delà des artifices, du suave parfum de romanesque, la cinéaste dépeint tout un microcosme sourd et aveugle à ce qui se trame dans les couloirs de l’Histoire.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
(...) une fable impressionniste singulière, composite, amère et grave quand bien même elle visite les coulisses du cinéma.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le troisième long-métrage de la Parisienne de 36 ans, agrégée de lettres et diplômée de la Fémis, porte encore plus haut ses ambitions. Casting international et film d’époque, plongée médiumnique et montée des périls, délire politique et illusion cinématographique, métaphore enfin, sourdement étoilée, d’une menace qui semble de nouveau inquiéter le temps présent.
Le Parisien
par La Rédaction
Formidablement interprété par ses trois comédiens principaux — avec mention spéciale à Lily-Rose Depp, fascinante —, « Planetarium » combine de façon éblouissante ces histoires de fantômes et de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Rebecca Zlotowski compose un récit polysémique, d’une ambition romanesque peu commune.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
Romanesque et spectral.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Vincent Thabourey
Ambitieux, hors des modes et des canons esthétiques du moment, "Planetarium" est un bel ouvrage, une surprise anachronique dont l'interprétation charismatique de ses comédiens reste l'atout majeur.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Rebecca Zlotowski tisse une intrigue délicate et puissante dont la mise en scène, toute en reflets et miroirs, emmène le spectateur à la lisière de l'invisible.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Louis Guichard
On ne saurait mieux dire l'analogie entre cinéma et foi. C'est-à-dire l'abandon et le désir de croire que réclament les films pour qu'ils puissent nous atteindre. Celui-ci demande peut-être plus qu'un autre, mais il a beaucoup à offrir en retour.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Isabelle Danel
Après "Belle Épine" et "Grand Central", Rebecca Zlotowski confirme un talent aigu pour les récits complexes et habités. Planétarium est une œuvre opulente, magnifiquement photographiée, dotée de décors et de costumes superbes, interprétée avec grâce et fougue par Natalie Portman, Lily-Rose Depp et Emmanuel Salinger.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Il faudrait que "Planétarium" sache surpasser son côté cérébral pour parvenir à susciter l’émotion. Or, en écartelant son trio à mi-parcours, le film se perd dans ses volutes théoriques, et les séduisantes graines qu’il a semées manquent d’air pour éclore.
Critikat.com
par Juliette Goffart
Véritable déclaration d’amour aux actrices et autres spectres irradiants du cinéma, cet ambitieux et élégant film "méta" ne parvient pas à trouver un équilibre avec son intrigue historico-politique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
LCI
par Marilyne Letertre
Montée en puissance du nazisme en Europe, sororité fusionnelle, spiritualité et spiritisme, magie du cinéma et égos d’artistes : "Planétarium" brasse tant de thématiques qu’il est difficile de trouver un quelconque point d’ancrage dans ce récit. Si les images, sublimement mises en lumière et en scène, hypnotisent ponctuellement, le scénario nous largue rapidement, faute d’épure, de simplicité.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Première
par Frédéric Foubert
Zlotowski est incontestablement plus douée que la moyenne quand il s’agit de poser une atmosphère, de créer des fétiches instantanés (...), mais le problème, c’est que beaucoup de pistes narratives ici sont ébauchées, esquissées, avant d’être laissées à l’abandon (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Un film d'une ambition fascinante un peu écrasante.
Voici
par Delphine Heitz
Le film touche esthétiquement au sublime, que ce soit dans sa photographie, ses décors ou costumes. (...) Malheureusement le fond n'égale jamais (et de très loin) la forme, tant le propos du film s'éparpille jusqu'à en devenir un obscur salmigondis.
L'Express
par Christophe Carrière
A trop réfléchir, Rebecca Zlotowski et son coscénariste, Robin Campillo, se sont emmêlés les stylos et ont perdu le fil. Et nous.
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) à l’inverse du cinéma américain, souvent très balisé, cet essai compliqué ne semble pas avoir de sujet fixe : il glisse de la relation de deux sœurs spirites aux horreurs de l’Occupation, en passant par les obsessions d’un producteur de cinéma. Idem pour la psychologie du film, assez embrouillée.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Marie Soyeux
L’ambition est louable, mais ni la réflexion, ni l’émotion, dans cette touffeur, ne trouvent à s’épanouir.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une histoire au casting branché et à l’esthétique papier glacé, peu adaptés au contexte tragique évoqué et aux ambitions affichées.
Ouest France
par La Rédaction
La mise en scène de Rebecca Zlotowski n'empêche pas le film de flotter à cause d'une histoire trop filandreuse où cinéma, fascisme, magie se mêlent de manière confuse.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Dans son étrangeté réelle, le film en oublie d’être radical, et se contente d’être désincarné, mettant les spectateurs à l’index.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le film n’atteint aucune des directions qu’il s’est données, c’est en pure perte que Natalie Portman s’active dans l’espoir que son personnage ne disparaisse pas tout à fait d’une histoire qui ne parvient jamais à intéresser et qui est filmée avec une neutralité anesthésiante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
Le film serpente dans tous les sens, et se fourvoie rapidement dans une esthétique peu inspirée, à la limite du mauvais goût.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Rebecca Zlotowski, engoncée dans son sujet inspiré d'une histoire vraie, nous avait habitués à davantage d'originalité. Elle hésite entre joliesse et gravité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Elle
Au cœur de ce film débordant de beauté visuelle et de poésie, se révèle aussi l’aventure de la plus grande industrie de l’illusion qu’est le cinéma.
Les Inrockuptibles
On retrouve ce que nous aimions le plus dans les deux premiers films de Rebecca Zlotowski : un sens inné du romanesque et du récit, une imagerie fantastique singulière, une attention aux personnages secondaires, une crudité sexuelle très pudique (...). "Planétarium" nous montre comment le monde va s'effondrer parce que les hommes soudain ne savent plus regarder les images.
20 Minutes
Pour "Planetarium", Rebecca Zlotowski s’est penchée sur le destin de deux médiums américaines incarnées par Natalie Portman et Lily-Rose Depp. Sœurs unies et rivales dans le film, elles éblouissent par leur présence et leur complémentarité. (...) (un) conte envoûtant…
Femme Actuelle
Un film d'époque ambitieux, porté par Natalie Portman et Lily-Rose Depp, deux soeurs de cinéma tout à fait convaincantes.
La Voix du Nord
Visuel, stylisé, "Planétarium" l’est assurément, sans pour autant nous aveugler, sans pour autant masquer ses enjeux fondamentaux. Car derrière l’ode flamboyante au cinéma, au-delà des artifices, du suave parfum de romanesque, la cinéaste dépeint tout un microcosme sourd et aveugle à ce qui se trame dans les couloirs de l’Histoire.
Le Journal du Dimanche
(...) une fable impressionniste singulière, composite, amère et grave quand bien même elle visite les coulisses du cinéma.
Le Monde
Le troisième long-métrage de la Parisienne de 36 ans, agrégée de lettres et diplômée de la Fémis, porte encore plus haut ses ambitions. Casting international et film d’époque, plongée médiumnique et montée des périls, délire politique et illusion cinématographique, métaphore enfin, sourdement étoilée, d’une menace qui semble de nouveau inquiéter le temps présent.
Le Parisien
Formidablement interprété par ses trois comédiens principaux — avec mention spéciale à Lily-Rose Depp, fascinante —, « Planetarium » combine de façon éblouissante ces histoires de fantômes et de cinéma.
Les Fiches du Cinéma
Rebecca Zlotowski compose un récit polysémique, d’une ambition romanesque peu commune.
Libération
Romanesque et spectral.
Positif
Ambitieux, hors des modes et des canons esthétiques du moment, "Planetarium" est un bel ouvrage, une surprise anachronique dont l'interprétation charismatique de ses comédiens reste l'atout majeur.
Sud Ouest
Rebecca Zlotowski tisse une intrigue délicate et puissante dont la mise en scène, toute en reflets et miroirs, emmène le spectateur à la lisière de l'invisible.
Télérama
On ne saurait mieux dire l'analogie entre cinéma et foi. C'est-à-dire l'abandon et le désir de croire que réclament les films pour qu'ils puissent nous atteindre. Celui-ci demande peut-être plus qu'un autre, mais il a beaucoup à offrir en retour.
Bande à part
Après "Belle Épine" et "Grand Central", Rebecca Zlotowski confirme un talent aigu pour les récits complexes et habités. Planétarium est une œuvre opulente, magnifiquement photographiée, dotée de décors et de costumes superbes, interprétée avec grâce et fougue par Natalie Portman, Lily-Rose Depp et Emmanuel Salinger.
Cahiers du Cinéma
Il faudrait que "Planétarium" sache surpasser son côté cérébral pour parvenir à susciter l’émotion. Or, en écartelant son trio à mi-parcours, le film se perd dans ses volutes théoriques, et les séduisantes graines qu’il a semées manquent d’air pour éclore.
Critikat.com
Véritable déclaration d’amour aux actrices et autres spectres irradiants du cinéma, cet ambitieux et élégant film "méta" ne parvient pas à trouver un équilibre avec son intrigue historico-politique.
LCI
Montée en puissance du nazisme en Europe, sororité fusionnelle, spiritualité et spiritisme, magie du cinéma et égos d’artistes : "Planétarium" brasse tant de thématiques qu’il est difficile de trouver un quelconque point d’ancrage dans ce récit. Si les images, sublimement mises en lumière et en scène, hypnotisent ponctuellement, le scénario nous largue rapidement, faute d’épure, de simplicité.
Première
Zlotowski est incontestablement plus douée que la moyenne quand il s’agit de poser une atmosphère, de créer des fétiches instantanés (...), mais le problème, c’est que beaucoup de pistes narratives ici sont ébauchées, esquissées, avant d’être laissées à l’abandon (...).
Studio Ciné Live
Un film d'une ambition fascinante un peu écrasante.
Voici
Le film touche esthétiquement au sublime, que ce soit dans sa photographie, ses décors ou costumes. (...) Malheureusement le fond n'égale jamais (et de très loin) la forme, tant le propos du film s'éparpille jusqu'à en devenir un obscur salmigondis.
L'Express
A trop réfléchir, Rebecca Zlotowski et son coscénariste, Robin Campillo, se sont emmêlés les stylos et ont perdu le fil. Et nous.
L'Humanité
(...) à l’inverse du cinéma américain, souvent très balisé, cet essai compliqué ne semble pas avoir de sujet fixe : il glisse de la relation de deux sœurs spirites aux horreurs de l’Occupation, en passant par les obsessions d’un producteur de cinéma. Idem pour la psychologie du film, assez embrouillée.
La Croix
L’ambition est louable, mais ni la réflexion, ni l’émotion, dans cette touffeur, ne trouvent à s’épanouir.
Le Dauphiné Libéré
Une histoire au casting branché et à l’esthétique papier glacé, peu adaptés au contexte tragique évoqué et aux ambitions affichées.
Ouest France
La mise en scène de Rebecca Zlotowski n'empêche pas le film de flotter à cause d'une histoire trop filandreuse où cinéma, fascisme, magie se mêlent de manière confuse.
aVoir-aLire.com
Dans son étrangeté réelle, le film en oublie d’être radical, et se contente d’être désincarné, mettant les spectateurs à l’index.
L'Obs
Le film n’atteint aucune des directions qu’il s’est données, c’est en pure perte que Natalie Portman s’active dans l’espoir que son personnage ne disparaisse pas tout à fait d’une histoire qui ne parvient jamais à intéresser et qui est filmée avec une neutralité anesthésiante.
La Septième Obsession
Le film serpente dans tous les sens, et se fourvoie rapidement dans une esthétique peu inspirée, à la limite du mauvais goût.
Le Figaro
Rebecca Zlotowski, engoncée dans son sujet inspiré d'une histoire vraie, nous avait habitués à davantage d'originalité. Elle hésite entre joliesse et gravité.