Valérian et la Cité des mille planètes : Critique presse
Valérian et la Cité des mille planètes
Note moyenne
3,0
31 titres de presse
20 Minutes
Closer
Elle
L'Express
Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
Le Journal du Dimanche
Le Parisien
Ouest France
Première
Studio Ciné Live
Télé 2 semaines
Télérama
CNews
Femme Actuelle
GQ
L'Obs
La Croix
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Paris Match
Télé 7 Jours
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Ecran Large
La Voix du Nord
Positif
aVoir-aLire.com
Le Monde
Libération
Mad Movies
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Les aventures de l’agent secret spatio-temporel Valérian (Dan DeHaan) et de sa partenaire, aussi sexy que résolue (Cara Delevingne), ont coûté une fortune mais chaque euro est visible à l’écran.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Closer
par La Rédaction
Passé la faiblesse scénaristique, cette adaptation de la clèbre bande-dessinée Valérian offre un spectacle grandiose et rafraîchissant comme Besson sait si bien le faire.
Elle
par Catherine Robin
Décors baroques et effets spéciaux décoiffants, à 170 millions d’euros, le film serait le plus cher du cinéma français. Ça se voit !
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Christophe Carrière
Une véritable fête des yeux avec ce qu'il faut d'humour et d'émotion pour fédérer.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un somptueux bazar s-f, qui projette dans un XXVIIIe siècle foisonnant et baroque, où la variété des décors, des créatures, des effets spéciaux compose un monde blockbusterisé inventif, poétique parfois, surprenant toujours, et passablement échevelé.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
On ressort de Valérian avec des ailes aux pieds, sachant que cette œuvre hors du commun, qui innove à chaque scène, est l'antiblockbuster américain.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un récit spectaculaire, plein de fantaisie et de fraîcheur, qui tire parti d’une utilisation optimale de la 3D et repose sur la singularité de la relation entre les personnages, enfantine puis amoureuse.
Le Parisien
par La Rédaction
Une fois de plus, Luc Besson nous en met plein la vue : feu d'artifice hyper coloré, "Valérian et la Cité des mille planètes" surprendra les fans de la BD, tant le film s'avère puissamment fidèle à la saga de Christin et Mézières.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par La Rédaction
Du pur divertissement où, à partir du moment où on accepte le principe de la science-fiction, on se laisse porter à suivre des héros sympathiques, dans des décors somptueux, pour deux heures d’aventures, d’humour et de romance. Bref, on s’en prend plein les yeux et plein les oreilles.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Sylvestre Picard
Valérian a du mal à tenir la distance mais est bourré de visions de SF pures. (...) Un geste de cinoche démesuré, mégalo, sincère et unique, qui porte la marque de son auteur à chaque plan, pour le meilleur comme pour le pire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Besson adapte Christine et Mézières. Une réussite à la hauteur de son immense ambition.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télé 2 semaines
par Gwenola Trouillard
Simple, presque enfantin sur le fond, le film est visuellement ébouriffant : plans d’une richesse et d’une inventivité folles, bestiaire foisonnant, effets spéciaux ahurissants. Et pourtant, à mille lieux des blockbusters hollywoodiens formatés, Luc Besson va au bout de son rêve de gosse avec cette odyssée de l’espace délirante et fun.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Télérama
par Guillemette Odicino
Le spectacle est hors du commun : décors, espèces galactiques, effets spéciaux, poursuites à travers les systèmes solaires, tout étonne et ébouriffe, à commencer par le Big Market, cette ville hypermarché invisible dans le désert, et qui n'apparaît aux touristes clients dans sa folle dimension que lorsqu'ils chaussent des lunettes spéciales.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNews
par La Rédaction
(...) le film de Besson regorge d'idées et d'effets spéciaux impressionnants et imaginatifs. (...) Pourtant, si l'on exclut quelques bonnes séquences, le long métrage ne peut se départir d'un scénario et d'une narration qui ne brillent pas par leur originalité.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Voilà une odyssée épique, riche en effets visuels et en rebondissements en tous genres.
GQ
par Alexandre Lazerges
Le film donne souvent l’impression que son réalisateur dispose du plus beau coffre à jouet du monde, avec des moyens financiers inédits et des costumes hallucinants, mais son histoire manque de souffle et les personnages sonnent parfois creux.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Obs
par Nicolas Schaller
Plus on s'approche de la fin à la James Bond, plus ce "Cinquième Elément " multiplié par "Avatar" s'effondre. Il n'empêche : on n'a pas vu le temps passer, l'absence de garde-fous de cette méga-production aux enjeux financiers énormes inspirant une relative sympathie. Preuve que Besson, à 58 ans, a retrouvé un peu de notre âme d'enfant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
D’incroyables décors s’enchaînent à un tel rythme qu’ils glissent sur les rétines sans s’y imprimer. Si bien que la fascination attendue n’a guère le temps d’agir. Il reste la relation entre les deux héros, romantique et piquante, un personnage polymorphe – hélas trop tôt sacrifié – et une relative fidélité à l’esprit originel. Ce qui n’est déjà pas si mal.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Luc Besson s’adonne au space opera, toujours miné par un scénario trop faible, malgré un début prometteur.
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Si le nouveau Besson connaît des ratés (…), il a aussi, dans sa première demi-heure, son grand morceau de bravoure : une impressionnante scène d’action jouée à différents paliers de réalité augmentée, où les assaillants actuels et virtuels s’écharpent dans une confusion savamment gérée. L’un dans l’autre, avec son charme de blockbuster à la fois rutilant et pas tout à fait aux normes, Valérian… ne démérite pas.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Alors oui, Besson a toujours du mal a écrire un scénario et à développer des personnages. Alors oui, «Valérian et la cité des mille planètes» connait quelques chutes de rythme après une ouverture brillante. Mais il ne faudrait pas non plus bouder le plaisir simple d’un bon film de divertissement où la France s’amuse à montrer à Hollywood qu’elle reste l’inventeur du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
(...) il manque un scénario costaud pour nous guider dans cette gigantesque foire du Trône. Même le couple star semble un peu perdu. Pour autant, cette colossale BD animée reste un très beau spectacle, à défaut d'être un grand film.
Cahiers du Cinéma
par Florent Guézengar
Plutôt que la Cité des mille planètes, on voit davantage les mille moyens de la Cité du cinéma de Saint-Denis. Même Alain Chabat n’y fait que passer : dommage car le film frôle l’autoparodie. Une dérision plus assumée aurait pu décaper l’inflation de son aimable vanité.
Critikat.com
par Josué Morel
Valérian… est aussi un film qui parvient à faire des défauts habituels de son auteur – une propension au kitsch, à la vulgarité, à une imagerie frelatée – le terreau d’un blockbuster numérique plus curieux qu’attendu.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
S'il a pour lui une générosité et un tempo appréciables, Valerian et la Cité des milles planètes semble écrit par un stagiaire enchaîné à un radiateur et pensé par un adolescent qui aurait trop sniffé de Biactol.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Force est de constater, une fois de plus, que Luc Besson se pose davantage en habile recycleur qu’en véritable auteur.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Positif
par Adrien Gombeaud
"Valérian" reste trop fade pour amballer.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Une épopée dispendieuse bâtie sur un script inexistant où les personnages sont sacrifiés dans une course effrénée aux effets spéciaux. On peine à comprendre à qui s’adresse ce ratage.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Isabelle Regnier
Laissant ses personnages à l’état de figures, ses situations à l’état d’esquisses, Besson n’a pas su combler le vide entre les cases de la bande dessinée. Le récit, la chair, la vie, font défaut.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Didier Péron
Avec son blockbuster SF à 180 millions d’euros, Luc Besson n’a jamais joué aussi gros. Défi risqué pour un film sans originalité ni relief.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Affichant un design incohérent et une esthétique contreproductive, Valerian enfonce le clou en pillant Avatar dès son prologue.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
20 Minutes
Les aventures de l’agent secret spatio-temporel Valérian (Dan DeHaan) et de sa partenaire, aussi sexy que résolue (Cara Delevingne), ont coûté une fortune mais chaque euro est visible à l’écran.
Closer
Passé la faiblesse scénaristique, cette adaptation de la clèbre bande-dessinée Valérian offre un spectacle grandiose et rafraîchissant comme Besson sait si bien le faire.
Elle
Décors baroques et effets spéciaux décoiffants, à 170 millions d’euros, le film serait le plus cher du cinéma français. Ça se voit !
L'Express
Une véritable fête des yeux avec ce qu'il faut d'humour et d'émotion pour fédérer.
Le Dauphiné Libéré
Un somptueux bazar s-f, qui projette dans un XXVIIIe siècle foisonnant et baroque, où la variété des décors, des créatures, des effets spéciaux compose un monde blockbusterisé inventif, poétique parfois, surprenant toujours, et passablement échevelé.
Le Figaro
On ressort de Valérian avec des ailes aux pieds, sachant que cette œuvre hors du commun, qui innove à chaque scène, est l'antiblockbuster américain.
Le Journal du Dimanche
Un récit spectaculaire, plein de fantaisie et de fraîcheur, qui tire parti d’une utilisation optimale de la 3D et repose sur la singularité de la relation entre les personnages, enfantine puis amoureuse.
Le Parisien
Une fois de plus, Luc Besson nous en met plein la vue : feu d'artifice hyper coloré, "Valérian et la Cité des mille planètes" surprendra les fans de la BD, tant le film s'avère puissamment fidèle à la saga de Christin et Mézières.
Ouest France
Du pur divertissement où, à partir du moment où on accepte le principe de la science-fiction, on se laisse porter à suivre des héros sympathiques, dans des décors somptueux, pour deux heures d’aventures, d’humour et de romance. Bref, on s’en prend plein les yeux et plein les oreilles.
Première
Valérian a du mal à tenir la distance mais est bourré de visions de SF pures. (...) Un geste de cinoche démesuré, mégalo, sincère et unique, qui porte la marque de son auteur à chaque plan, pour le meilleur comme pour le pire.
Studio Ciné Live
Besson adapte Christine et Mézières. Une réussite à la hauteur de son immense ambition.
Télé 2 semaines
Simple, presque enfantin sur le fond, le film est visuellement ébouriffant : plans d’une richesse et d’une inventivité folles, bestiaire foisonnant, effets spéciaux ahurissants. Et pourtant, à mille lieux des blockbusters hollywoodiens formatés, Luc Besson va au bout de son rêve de gosse avec cette odyssée de l’espace délirante et fun.
Télérama
Le spectacle est hors du commun : décors, espèces galactiques, effets spéciaux, poursuites à travers les systèmes solaires, tout étonne et ébouriffe, à commencer par le Big Market, cette ville hypermarché invisible dans le désert, et qui n'apparaît aux touristes clients dans sa folle dimension que lorsqu'ils chaussent des lunettes spéciales.
CNews
(...) le film de Besson regorge d'idées et d'effets spéciaux impressionnants et imaginatifs. (...) Pourtant, si l'on exclut quelques bonnes séquences, le long métrage ne peut se départir d'un scénario et d'une narration qui ne brillent pas par leur originalité.
Femme Actuelle
Voilà une odyssée épique, riche en effets visuels et en rebondissements en tous genres.
GQ
Le film donne souvent l’impression que son réalisateur dispose du plus beau coffre à jouet du monde, avec des moyens financiers inédits et des costumes hallucinants, mais son histoire manque de souffle et les personnages sonnent parfois creux.
L'Obs
Plus on s'approche de la fin à la James Bond, plus ce "Cinquième Elément " multiplié par "Avatar" s'effondre. Il n'empêche : on n'a pas vu le temps passer, l'absence de garde-fous de cette méga-production aux enjeux financiers énormes inspirant une relative sympathie. Preuve que Besson, à 58 ans, a retrouvé un peu de notre âme d'enfant.
La Croix
D’incroyables décors s’enchaînent à un tel rythme qu’ils glissent sur les rétines sans s’y imprimer. Si bien que la fascination attendue n’a guère le temps d’agir. Il reste la relation entre les deux héros, romantique et piquante, un personnage polymorphe – hélas trop tôt sacrifié – et une relative fidélité à l’esprit originel. Ce qui n’est déjà pas si mal.
Les Fiches du Cinéma
Luc Besson s’adonne au space opera, toujours miné par un scénario trop faible, malgré un début prometteur.
Les Inrockuptibles
Si le nouveau Besson connaît des ratés (…), il a aussi, dans sa première demi-heure, son grand morceau de bravoure : une impressionnante scène d’action jouée à différents paliers de réalité augmentée, où les assaillants actuels et virtuels s’écharpent dans une confusion savamment gérée. L’un dans l’autre, avec son charme de blockbuster à la fois rutilant et pas tout à fait aux normes, Valérian… ne démérite pas.
Paris Match
Alors oui, Besson a toujours du mal a écrire un scénario et à développer des personnages. Alors oui, «Valérian et la cité des mille planètes» connait quelques chutes de rythme après une ouverture brillante. Mais il ne faudrait pas non plus bouder le plaisir simple d’un bon film de divertissement où la France s’amuse à montrer à Hollywood qu’elle reste l’inventeur du cinéma.
Télé 7 Jours
(...) il manque un scénario costaud pour nous guider dans cette gigantesque foire du Trône. Même le couple star semble un peu perdu. Pour autant, cette colossale BD animée reste un très beau spectacle, à défaut d'être un grand film.
Cahiers du Cinéma
Plutôt que la Cité des mille planètes, on voit davantage les mille moyens de la Cité du cinéma de Saint-Denis. Même Alain Chabat n’y fait que passer : dommage car le film frôle l’autoparodie. Une dérision plus assumée aurait pu décaper l’inflation de son aimable vanité.
Critikat.com
Valérian… est aussi un film qui parvient à faire des défauts habituels de son auteur – une propension au kitsch, à la vulgarité, à une imagerie frelatée – le terreau d’un blockbuster numérique plus curieux qu’attendu.
Ecran Large
S'il a pour lui une générosité et un tempo appréciables, Valerian et la Cité des milles planètes semble écrit par un stagiaire enchaîné à un radiateur et pensé par un adolescent qui aurait trop sniffé de Biactol.
La Voix du Nord
Force est de constater, une fois de plus, que Luc Besson se pose davantage en habile recycleur qu’en véritable auteur.
Positif
"Valérian" reste trop fade pour amballer.
aVoir-aLire.com
Une épopée dispendieuse bâtie sur un script inexistant où les personnages sont sacrifiés dans une course effrénée aux effets spéciaux. On peine à comprendre à qui s’adresse ce ratage.
Le Monde
Laissant ses personnages à l’état de figures, ses situations à l’état d’esquisses, Besson n’a pas su combler le vide entre les cases de la bande dessinée. Le récit, la chair, la vie, font défaut.
Libération
Avec son blockbuster SF à 180 millions d’euros, Luc Besson n’a jamais joué aussi gros. Défi risqué pour un film sans originalité ni relief.
Mad Movies
Affichant un design incohérent et une esthétique contreproductive, Valerian enfonce le clou en pillant Avatar dès son prologue.