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    Loving
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    221 critiques spectateurs

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    selenie
    selenie

    6 331 abonnés 6 203 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2017
    Malgré la ségrégation de l'époque le film évite les scènes habituelles de violences racistes pour se focaliser sur l'amour qui lie le couple et sur les difficultés à vivre leur amour dans un tel contexte. Outre les violences racistes inhérentes souvent à ce genre de film le film évite aussi les scènes de procès interminables. La vraie force du film est que le récit repose donc sur les relations entre Mildred et Richard et comment ils ont géré leur mariage envers et contre tout, et notamment leur façon de voir les choses envers les médias et les avocats. Sans doute un peu académique dans sa mise en scène le film reste une belle histoire d'amour, et non pas un simple combat juridique.
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    186 abonnés 2 274 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 février 2017
    L’histoire est toute simple et pourtant cela vaut la peine de la raconter car il y a seulement 50 ans aux USA, un homme blanc n’avait pas le droit d’aimer et de se marier avec une femme noire ! Le scénario de ce film est basé sur l’histoire vraie d’un couple dont le nom de famille était « Loving » : nom très à-propos pour évoquer une histoire d’amour ! Le film a une grande qualité : il n’appuie pas là où cela fait mal, il laisse le spectateur seul juge et se révolter ou non des arguments fournis à l’époque par la justice et du traitement qu’elle fait subir à ces dangereux « délinquants ». D’ailleurs, ce couple de travailleurs manuels, peu au fait des arcanes judiciaires, laisse les plaidoiries aux professionnels, évitant ainsi les effets artificiels des dialogues made in Hollywood. Le film a quand même un petit défaut : son manque de rythme. Le prolongement de cette histoire, cela pourrait être le tournage, dans 50 ans, en France, d’un film qui racontera comment deux hommes ou deux femmes ont acquis le droit de s’aimer et de se marier en 2013 ?
    Jean-Claude L
    Jean-Claude L

    47 abonnés 289 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2017
    Un très beau film basé sur un fait réel pour une très belle histoire d'amour entre un homme blanc et une femme de couleur en 1958 dans un état des états unis qui est contre et ils vont devoir faire face et quitter leur état pour vivre ensemble et faire des enfants métis et ils vont devoir s'armer de courage jusqu'à la cour suprême pour vivre au grand jour leur histoire sans être importuné et reconnu bravo belle réalisation.
    crachou94
    crachou94

    23 abonnés 427 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2017
    Un film édifiant sur la difficulté de s'aimer à la fin des années 50 dans un des états du sud des USA, la Virginie qui allait jusqu'à interdire les mariages inter-raciaux.
    Ce film, presqu'un documentaire, est très bien interprété.
    Ninideslaux
    Ninideslaux

    84 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 février 2017
    On a du mal à croire que ce soit Jeff Nichols, le réalisateur original et tellement talentueux de Take Shelter et Mud qui ait pondu cet interminable pensum bien-pensant -et surtout, globalement, très mal interprété. Ca ne lui ressemble pas; c'était pas un truc pour lui..... même si, sur le plan historique, cette histoire méritait d'être narrée!!

    En 1958, en Virginie, Richard Loving, un maçon blanc, a une histoire d'amour avec Mildred, une jeune fille noire. Dans ce pauvre village campagnard, coexistent les indiens autochtones, des petits blancs et des familles noires; mêmes bicoques, mêmes vies de chien. Ils coexistent -mais pas question de se mélanger. Tout naturellement, Richard qui flirte avec une noire se retrouve au sein de la communauté noire. Quand Mildred est enceinte, Richard décide de l'épouser et ils se rendent dans l'état voisin, Washington D.C., où les mariages interraciaux sont légaux.

    Mais à leur retour en Virginie, ils sont arrêtés dans la famille de Mildred qui les accueille, jetés en prison..... jugés, et condamnés à un an de détention, qu'ils peuvent ne pas effectuer, à condition de ne pas revenir en Virginie ensemble pendant vingt-cinq ans! Après un premier pépin qui leur vaut la clémence du juge Bazile (ils voulaient absolument que l'enfant naisse chez la mère de Richard, l'accoucheuse locale), le couple se fixe définitivement à Washington DC. Mais ils supportent mal que les enfants grandissent en ville, loin de leur famille, loin de leurs cousins.... Et, c'est en 1963 la marche pour les libertés à Washington, avec le discours de Martin Luther King; l'espoir d'un changement avec Robert Kennedy à la justice. Le cas Loving intéresse les militants pour l'égalité raciale, qui les défendent gratuitement, jusqu'à la Cour Suprême Fédérale. La décision de la Cour de Virginie est cassée et la loi de l'état interdisant les mariages interraciaux est déclarée anticonstitutionnelle! L'arrêté porte le nom "Loving contre l'état de Virginie"! Reconnaissons que c'est une belle histoire qui méritait d'être racontée......

    Il faut dire que le jugement du juge Bazile vaut son pesant de cacahuètes...."Dieu Tout-puissant créa les races blanche, noire, jaune et rouge, et les plaça sur des continents séparés. Le fait qu'il sépara les races montre qu'il n'avait pas pour intention qu'elles se mélangent". Un esprit affuté eut pu facilement lui répondre "Puisque Dieu a créé le continent américain pour la race rouge, qu'est ce que les Blancs ont donc à y faire, hein?" Que des imbécillités pareilles aient pu être proférées il y a guère plus de cinquante ans va dans le même sens: l'histoire des Loving méritait d'être racontée..

    Mais pas comme ça! Et pas par Nichols, probablement. Un Eastwood, peut être, aurait magnifié ce scénario.... Là, tout est plat. Nichols prend manifestement plaisir à filmer les campagnes de son pays. Mais à part ça.... Tous les blancs sont méchants, tous les noirs rigolent tout le temps; un bref bon passage cependant: quand Richard commence à être un peu maltraité sur ses chantiers, un de ses beaux frères lui dit "tu vois ce que c'est, que d'être noir? mais pour toi c'est facile, pour redevenir blanc, il te suffit de divorcer. Pour nous, il n'y a pas de solution". Les deux avocats (Nick Kroll qui n'a qu'une expression: le sourire bête et Jon Bass) semblent être à demi demeurés. On a l'impression qu'ils se foutent complètement de la cause qu'ils assument! Quant aux deux héros.... Ruth Negga est jolie; par moments, elle est convaincante. Mais le plus souvent, elle arbore le visage illuminé d'une Sainte-Ursule-portant-ses-seins-sur-un-plateau. Joel Edgerton est une catastrophe. Ce n'est pas juste un ours, c'est un bas-du-front complet; on a du mal à croire que cette charmante, courageuse, dynamique Mildred -c'est elle, le leader dans le combat famillal- reste fidèlement amoureuse de ce gros balourd....

    Déception donc. Les Loving méritaient mieux.
    Ivan L.
    Ivan L.

    8 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 février 2017
    quel gâchis ! Ce film peut se résumer à : bon sujet mais... pas d'écriture pas de mise en scène pas de dialogues beaucoup de scènes sans enjeux mauvais acteurs = grosse déception et ennui mortel...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 16 février 2017
    une palme d'or pour çà oh mon dieu c'est juste ennuyeux a mourir d'ennui c'est nul ya pas de scénario ya rien
    ffred
    ffred

    1 726 abonnés 4 021 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 février 2017
    Après la déception Midnight Special, il y a un an, pas vraiment d’attente pour le nouveau Jeff Nichols. Qui, pour le coup, change complètement de genre. Il nous relate cette histoire vraie (que je connaissais pas) avec un certain classicisme, pour ne pas dire un certain académisme. Le récit est certes édifiant. Il se déroule tel qu’on s’y attend, sans surprise. On ne s’ennuie pas mais c’est souvent limite. Il manque une certaine dramaturgie, une certaine ambiance et surtout une certaine émotion, en deux mots : un souffle. L’ensemble est un peu trop...
    Olivier Barlet
    Olivier Barlet

    299 abonnés 396 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 février 2017
    (...) Le film est époustouflant de finesse et d’intelligence dans son traitement : épure, ellipses, absence de pathos, dynamisme de la mise en scène, sensibilité pour les paysages du Sud américain, simplicité des personnages, délicatesse de leurs rapports. A l’inverse d’un film taiseux aux héros si sûrs d’eux, Loving sait au contraire faire percevoir en marquant les silences et en se rapprochant des visages les effets du racisme sur un couple ordinaire dont le seul crime était de s’aimer sans avoir la même couleur de peau et de vouloir faire des enfants. (...)
    traversay1
    traversay1

    3 638 abonnés 4 875 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 février 2017
    Au fil des sorties en salles, on s'aperçoit que le cru 2016 de Cannes était véritablement exceptionnel. Et ce ne sont pas les films primés qui retiennent l'attention mais bien quelques uns de ceux qui sont repartis bredouilles : Elle, Aquarius, Paterson et le sublime Loving. Le film de Jeff Nichols est un modèle de dignité et de rectitude morale, tout en étant une merveille de découpage cinématographique et d'émotion contenue. Une histoire d'amour, toute simple, qui n'aurait jamais dû être célèbre. Seulement, en 1958, en Virginie, un mariage interracial était tout simplement illégal. Si le film de Jeff Nichols touche autant, c'est qu'il est d'abord dans sa conception même fidèle à la modestie du couple qui l'a inspiré. Un homme, une femme et leurs enfants qui ne souhaitaient rien d'autre que d'être tranquilles avec nullement la volonté de changer la constitution américaine. Loving (quel nom de famille extraordinaire) s'intéresse peu aux arguties judiciaires et se concentre sur ces héros malgré eux, avec une délicatesse, une douceur et une bienveillance de tous les instants. Un film magnifique et chaleureux qui ferait presque croire que l'homme est foncièrement bon.
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    416 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 février 2017
    La violence physique est totalement absente à l’image. Tout se passe dans la tête des personnages, dans les regards qui veulent en dire long, dans les non-dits. C’est un mal interne, dangereux et vicieux. Nichols réalise un long-métrage loin des clichés et des tares typiques d’un cinéma qui s’inspire de faits réels bouleversants, mais qui les traite en cherchant le sensationnalisme. Ainsi, on découvre un drame intime abordé de la plus douce et intelligente des manières.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 15 février 2017
    Contrairement au français, l'affiche international du film montre un couple qui s'embrasse essayant de se réaffirmer face aux injustices du monde. Pareil que les affiches du cinéma classique d'aventures, sauf que cette fois-ci ce ne pas l'homme qui protège une dépourvue demoiselle en détresse. C'est la femme qui réconforte l'homme dans cette merveilleuse image qui décrive parfaitement le nouveau film de Jeff Nichols.

    Loving raconte la lutte d'un couple interraciale pour enlever la prohibition de l'état du Virginia à ce type de mariages. Le réalisateur, très doué et honnête, refuse le schéma d'héros de la classe ouvrière dont son sacrifice est récompensé en plein extase sentimental. Il échappe aussi du cliché du chien battu qui devient martyr. Le point le plus fort du film est de suivre la vie quotidienne du couple, nous infiltrant dans leur intimité, leur voyant essayer de vivre un exile en toute normalité.

    À cause de ceci, on peut interpréter que, d'avoir insisté plus férocement ou d'avoir eu quelques notions de Droit, le souci aurait été solutionné longtemps avant. Peu importe. Loving défend précisément la pureté de cet amour qui se professaient l'un à l'autre, loin des conventionnalismes bureaucratiques qu'à peine arrivaient à comprendre. Le réalisateur met l'accent sous le couple: un homme blanc des années 60 qui renonce à ses privilèges devenant une victime sans armes. Une femme noire qui n'avait jamais quitté son village jusqu'au jour de leur mariage. C'est sur elle qui pèse la lourde et lente odyssée pour le sens commun. Une prouesse qui est commencé le jour où elle décide d'envoyer une lettre sénateur Bobby Kennedy après avoir vu à la télé un discours de Martin Luther King face au Capitol, juste à quelques rues de chez elle, pourtant à ce moment elle faisait le linge.

    Nichols montre nettement que la première pierre contre cette loi raciste à été mise par une jeune noire de basse classe sociale que jusqu'à ce moment-là n'avait jamais su ce qui étaient les droits. La contention des protagonistes et la tendresse des scènes que le réalisateur recrée, sans être mielleux de trop, comme ce coup de téléphone à la fin, redussent le récit aux sentiments plus primaires de deux personnes qui se voient dépassées par un géant administratif irrationnel. Mr Loving rend évident un droit si basique quand il donne comme message au Tribunal Suprême un effectif "Dites leur que j'aime ma femme". Si simple que ça.

    Cependant, le seul bémol du film est cette trame judiciaire, pas tout à fait essentielle. Même si je trouve juste de rend hommage aux professionnels qui ont soutenu le couple, voir le progrès social. Par contre, pour éviter le irrespectueux cliché du "sauveur blanc" Nichols se voit obligé à leur représenter comme des gens disgracieux ou maladroits. En plus, dans cette partie suivant les procès le style académique fait apparition, affaiblissant la puissance du film.

    Quand Midnight special est sorti, on croyait qu'il ne serait qu'un film de science-fiction conventionnel pour assurer le financement de ce projet. De façon surprenante, le précédent film était beaucoup plus fidèle au style du réalisateur que Loving, qui adopte des conventionnalismes desquels Nichols ne s'en servait jamais.

    //// Encore plus de fautes et d'erreurs sur le lien ci-dessous
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 mai 2017
    Une histoire formidable mais trop de lenteurs à mon goût.
    Les acteurs jouent bien mais je n'ai pas ressenti cet amour si puissant qui les unis.
    Elle avait l'air triste en permanence... dans d'autres films similaires il me semblait avoir plus ressenti cette "chispa" comme on dit en espagnol.
    Et pourtant je suis du genre hypersensible avec des films comme celui-ci habituellement.
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    197 abonnés 1 429 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 mars 2017
    Malgré l'histoire tellement émouvante et relatant des faits choquant de l'histoire des USA, j'ai trouvé ce film assez plat malheureusement. Les acteurs principaux semblent si détachés et je n'arrivais pas à déterminer si cela faisait partie de leur personnage.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 14 février 2017
    La belle histoire se déroule...sans sens artistique... de beaux paysages pour faire oublier l'absence de point de vue... de bons acteurs qui font le job... Au final un film pédagogique pour instruire la nation américaine et les élèves de nos enseignants.
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