Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
45 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Rarement a-t-on la sensation aussi indéniable et déchirante d’avoir vu un grand film.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
Le pari était pourtant risqué. (...) Loving est un film d’une subtilité qui nous laisse bouche bée. (...) Comme il le fait déjà dans Midnight Special, Nichols joue avec les stéréotypes, les codes, prend plaisir à les déjouer.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Loving raconte l’un des points initiaux de ces combats pour l’égalité, batailles qui aujourd’hui encore, d’autant plus dans une Amérique pour laquelle la vie d’un Noir est clairement secondaire, sont encore à mener.
Marianne
par Danièle Heymann
(...) "Loving" de Jeff Nichols nous plonge dans une histoire sidérante, bouleversante, qu'aucun scénariste n'aurait osé imaginer, sauf à être accusé de névrose militante. Réussissant le prodige de ne jamais céder à la tentation du pathos larmoyant et d'éviter en même temps la lourdeur moralisatrice du dossier édifiant.
20 Minutes
par Caroline Vié
A l’heure où la xénophobie semble avoir de nouveau le vent en poupe aux États-Unis, ce film profondément humaniste vise à la fois le cœur et la tête.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Jo Fishley
"Loving", qui porte si joliment le nom de ce couple et à qui font honneur les incandescents et précieux Joël Edgerton et Ruth Negga, nommée à l’Oscar, fait passer à travers le romanesque un essentiel récit de lutte.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La Rédaction
Le jeu, tout en émotion, des acteurs Joël Edgerton et Ruth Negga, structure le récit d'un combat qui fit date dans l'histoire de la lutte contre les inégalités raciales et les droits civiques aux Etats-Unis.
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Le couple n’est pas un camp de retranchement, c’est un foyer d’humanité : Loving donne à cette morale essentielle une force limpide.
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
(...) c’est dans la juxtaposition de ces scènes banales que Nichols cherche son véritable sujet, qui était déjà celui de ses films précédents, hantés par les dysfonctionnements de la famille : l’insondable mystère qui fait qu’une somme d’instants quelconques suffisent à fonder un foyer.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Françoise Delbecq
Ruth Negga nous bouleverse (...). Un film qui la fait basculer dans la lumière.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Femme Actuelle
par La Rédaction
Une grande histoire d'amour d'une sobriété touchante.
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Le film n'a pas le souffle de l'épopée et c'est délibéré. Richard et sa "Brindille" sont des anti-héros. Jeff Nichols, réalisateur talentueux de "Mud", "Take Shelter" ou "Midnight Special", a choisi la sobriété pour redonner vie à cette histoire vraie.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Toma Clarac
Sous son apparence lisse de mélodrame oscarisable, "Loving" cache un film lumineux sur l'amour, le plus tendre des crimes. Critique.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Express
par Eric Libiot
Tout le film est finalement aimant. Touchant. Sobre. Simple. Discret. Il y a dans la façon de raconter de Jeff Nichols la volonté, justement, de respecter les sentiments de Richard et de Mildred et de rester à distance, sans faire de leur vie un message politique.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Michaël Melinard
Un magnifique plaidoyer pour le droit d'aimer.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Avec ce film présenté en compétition lors du dernier Festival de Cannes – et hélas oublié au palmarès –, Jeff Nichols prouve qu’il est un de ceux qui, aux États-Unis, sont promis à un très grand avenir. (...) Un aussi beau film que Loving ne peut que l’y aider.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Jeff Nichols filme à hauteur d'homme, à la source du vrai. Là est le secret de l'émotion.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur un sujet fort, qui prête souvent à la grandiloquence, et dans un genre, le mélodrame, qui affectionne souvent le pathos, un film qui choisit la simplicité, ce qui fait sa force.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Avec cette histoire vraie d'un mariage mixte condamné par l'État de Virginie en 1958, Jeff Nichols séduit en évitant la lourdeur du film dossier.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Etienne Sorin
Joel Edgerton est parfait dans le rôle de Richard Loving, prolo blanc, taiseux, mélange d’innocence et de dignité. Il ne comprend simplement pas pourquoi on lui interdit d’épouser la femme qu’il aime. Mais la révélation de Loving est Ruth Negga, formidable Brindille qui ploie mais ne rompt pas.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Jeff Nichols bouleverse en retraçant la résistance d’un couple mixte à une loi raciste de l’Etat de Virginie
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
"Loving", modèle de sobriété et de puissance, exprime, comme rarement, l'inquiétude, la peur, la ténacité et la force de l'amour.
Les Fiches du Cinéma
par Jo Fishley
Loving, qui porte si joliment le nom de ce couple et à qui font honneur les incandescents et précieux Joël Edgerton et Ruth Negga, nommée à l’Oscar, fait passer à travers le romanesque un essentiel récit de lutte.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Aussi discret et modeste que ses personnages, Jeff Nichols rend hommage à leur lutte, mais surtout à leur amour.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Ce sentiment de fusion entre le cinéaste, ses acteurs, ses personnages et son public est bouleversant.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
L'Australien Joel Edgerton associe très bien la force des sentiments à la forme de simplicité rustique de ce charpentier. Ruth Negga incarne elle aussi parfaitement la détermination discrète mais tenace face à la violence qu'ils subissent. Evidemment, une telle histoire a tous les ingrédients d'un mélodrame.
Paris Match
par Yannick Vely
Beaucoup jugeront «Loving» trop classique et linéaire. Il y a pourtant un vrai geste de cinéaste dans le fait de ne jamais pousser le curseur de l’émotion, de laisser les sourires et les regards expliquer la lassitude, les doutes, la paranoïa qui gangrènent peu à peu le couple sans jamais le faire exploser.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Paris Match
par Yannick Vely
Beaucoup jugeront «Loving» trop classique et linéaire. Il y a pourtant un vrai geste de cinéaste dans le fait de ne jamais pousser le curseur de l’émotion, de laisser les sourires et les regards expliquer la lassitude, les doutes, la paranoïa qui s’installe peu à peu.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Emmanuel Raspiengeas
Avec ce film, le cinéaste de 38 ans semble avoir voulu affirmer sa maturité artisitque, en s'obligeant à une sécheresse de style inhabituelle (...) et mériter une bonne fois pour toutes ses galons de réalisateur maître de son art.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
"Loving" a cette qualité majeure de ne pas plus verser dans le pathos que de s'attarder sur l'inacceptable de la situation.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Jeff Nichols filme magnifiquement, non pas l’épopée du couple mais son humilité, son dégoût de l’exposition, sa volonté de ne pas paraître. Tous deux héroïques dans l’obstination de leur tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Frédéric Mercier
Avec "Loving", Jeff Nichols atteint sa pleine maturité. Et donne un film d'amour subtilement maîtrisé sur les vieux démons américains.
Télé 2 semaines
par La Rédaction
Bouleversant.
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Une oeuvre forte et émouvante, en résonance avec l'Amérique d'aujourd'hui.
Télé Loisirs
par Pauline Garcia
Dans ce drame jamais larmoyant, qui évite la pesanteur du film-dossier, Jeff Nichols raconte le combat engagé par leur avocat pour faire respecter leurs droits.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Télérama
par Cécile Mury
POUR : Le classicisme dont le cinéaste fait preuve cette fois est une forme de respect. Tout au long des épreuves du couple, de la description attachante de son entourage, on a l'intuition qu'il retient les effets de mise en scène trop visibles, les démonstrations de virtuosité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un drame sobre, sans esbroufe ni pathos, à l'interprétation subtile, où l'on retrouve la patte et l'obsession du réalisateur de "Take Shelter" : protéger sa famille.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Jeff Nichols libère enfin tout le sentiment amoureux qui menaçait d’imploser dans ses précédents films. En découle un beau mélodrame.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Jeff Nichols signe son film le plus classique avec ce portrait tout en retenue et en délicatesse d’un couple bien nommé (la lumineuse Ruth Negga et l’introverti Joel Edgerton) dont la seule ambition est d’être heureux sans vivre caché. Pas de grandes déclarations ni d’effets de mise en scène, l’émotion jaillit de la justesse des petits moments à deux.
Libération
par Luc Chessel
Jeff Nichols pose de belles images lisses sur une belle histoire vraie, qui, paradoxalement, manque de vie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Rolling Stone
par Louise-Camille Bouttier
Un film trop académique rehaussé par les performances subtiles de Ruth Negga et Joel Edgerton.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Première
par Frédéric Foubert
Si "Loving" confirme certaines de ses qualités (...), on est surtout frappé à la vision du film par le très grand nombre de scènes sans enjeux, sans idées, sans rythme.
VSD
par Olivier Bousquet
Chronique corsetée du racisme ordinaire.
L'Obs
par Nicolas Schaller
L’attachement de Nichols aux valeurs simples et terriennes de l’Americana déborde de chaque plan. La seule chose qui l’intéresse, c’est la pureté rousseauiste de ce couple souillée par un ordre social absurde. Un idéal qu’à l’exception de quelques instants de grâce il fige dans un catalogue lénifiant d’images d’Epinal et de chromos taiseux où les non-dits finissent par ne plus dire grand-chose.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Pierre Murat
CONTRE : Un film qui accumule imperturbablement les clichés : héros proches de la sainteté, méchants au-delà du mal. Les espaces américains sont immenses, comment pourraient-ils ne pas l'être ? Quant au rythme... lent est un terme très en deçà de la vérité, figé serait nettement plus exact.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
Rarement a-t-on la sensation aussi indéniable et déchirante d’avoir vu un grand film.
Culturopoing.com
Le pari était pourtant risqué. (...) Loving est un film d’une subtilité qui nous laisse bouche bée. (...) Comme il le fait déjà dans Midnight Special, Nichols joue avec les stéréotypes, les codes, prend plaisir à les déjouer.
La Septième Obsession
Loving raconte l’un des points initiaux de ces combats pour l’égalité, batailles qui aujourd’hui encore, d’autant plus dans une Amérique pour laquelle la vie d’un Noir est clairement secondaire, sont encore à mener.
Marianne
(...) "Loving" de Jeff Nichols nous plonge dans une histoire sidérante, bouleversante, qu'aucun scénariste n'aurait osé imaginer, sauf à être accusé de névrose militante. Réussissant le prodige de ne jamais céder à la tentation du pathos larmoyant et d'éviter en même temps la lourdeur moralisatrice du dossier édifiant.
20 Minutes
A l’heure où la xénophobie semble avoir de nouveau le vent en poupe aux États-Unis, ce film profondément humaniste vise à la fois le cœur et la tête.
Bande à part
"Loving", qui porte si joliment le nom de ce couple et à qui font honneur les incandescents et précieux Joël Edgerton et Ruth Negga, nommée à l’Oscar, fait passer à travers le romanesque un essentiel récit de lutte.
CNews
Le jeu, tout en émotion, des acteurs Joël Edgerton et Ruth Negga, structure le récit d'un combat qui fit date dans l'histoire de la lutte contre les inégalités raciales et les droits civiques aux Etats-Unis.
Cahiers du Cinéma
Le couple n’est pas un camp de retranchement, c’est un foyer d’humanité : Loving donne à cette morale essentielle une force limpide.
Critikat.com
(...) c’est dans la juxtaposition de ces scènes banales que Nichols cherche son véritable sujet, qui était déjà celui de ses films précédents, hantés par les dysfonctionnements de la famille : l’insondable mystère qui fait qu’une somme d’instants quelconques suffisent à fonder un foyer.
Elle
Ruth Negga nous bouleverse (...). Un film qui la fait basculer dans la lumière.
Femme Actuelle
Une grande histoire d'amour d'une sobriété touchante.
Franceinfo Culture
Le film n'a pas le souffle de l'épopée et c'est délibéré. Richard et sa "Brindille" sont des anti-héros. Jeff Nichols, réalisateur talentueux de "Mud", "Take Shelter" ou "Midnight Special", a choisi la sobriété pour redonner vie à cette histoire vraie.
GQ
Sous son apparence lisse de mélodrame oscarisable, "Loving" cache un film lumineux sur l'amour, le plus tendre des crimes. Critique.
L'Express
Tout le film est finalement aimant. Touchant. Sobre. Simple. Discret. Il y a dans la façon de raconter de Jeff Nichols la volonté, justement, de respecter les sentiments de Richard et de Mildred et de rester à distance, sans faire de leur vie un message politique.
L'Humanité
Un magnifique plaidoyer pour le droit d'aimer.
La Croix
Avec ce film présenté en compétition lors du dernier Festival de Cannes – et hélas oublié au palmarès –, Jeff Nichols prouve qu’il est un de ceux qui, aux États-Unis, sont promis à un très grand avenir. (...) Un aussi beau film que Loving ne peut que l’y aider.
La Voix du Nord
Jeff Nichols filme à hauteur d'homme, à la source du vrai. Là est le secret de l'émotion.
Le Dauphiné Libéré
Sur un sujet fort, qui prête souvent à la grandiloquence, et dans un genre, le mélodrame, qui affectionne souvent le pathos, un film qui choisit la simplicité, ce qui fait sa force.
Le Figaro
Avec cette histoire vraie d'un mariage mixte condamné par l'État de Virginie en 1958, Jeff Nichols séduit en évitant la lourdeur du film dossier.
Le Figaroscope
Joel Edgerton est parfait dans le rôle de Richard Loving, prolo blanc, taiseux, mélange d’innocence et de dignité. Il ne comprend simplement pas pourquoi on lui interdit d’épouser la femme qu’il aime. Mais la révélation de Loving est Ruth Negga, formidable Brindille qui ploie mais ne rompt pas.
Le Monde
Jeff Nichols bouleverse en retraçant la résistance d’un couple mixte à une loi raciste de l’Etat de Virginie
Le Parisien
"Loving", modèle de sobriété et de puissance, exprime, comme rarement, l'inquiétude, la peur, la ténacité et la force de l'amour.
Les Fiches du Cinéma
Loving, qui porte si joliment le nom de ce couple et à qui font honneur les incandescents et précieux Joël Edgerton et Ruth Negga, nommée à l’Oscar, fait passer à travers le romanesque un essentiel récit de lutte.
Les Fiches du Cinéma
Aussi discret et modeste que ses personnages, Jeff Nichols rend hommage à leur lutte, mais surtout à leur amour.
Les Inrockuptibles
Ce sentiment de fusion entre le cinéaste, ses acteurs, ses personnages et son public est bouleversant.
Ouest France
L'Australien Joel Edgerton associe très bien la force des sentiments à la forme de simplicité rustique de ce charpentier. Ruth Negga incarne elle aussi parfaitement la détermination discrète mais tenace face à la violence qu'ils subissent. Evidemment, une telle histoire a tous les ingrédients d'un mélodrame.
Paris Match
Beaucoup jugeront «Loving» trop classique et linéaire. Il y a pourtant un vrai geste de cinéaste dans le fait de ne jamais pousser le curseur de l’émotion, de laisser les sourires et les regards expliquer la lassitude, les doutes, la paranoïa qui gangrènent peu à peu le couple sans jamais le faire exploser.
Paris Match
Beaucoup jugeront «Loving» trop classique et linéaire. Il y a pourtant un vrai geste de cinéaste dans le fait de ne jamais pousser le curseur de l’émotion, de laisser les sourires et les regards expliquer la lassitude, les doutes, la paranoïa qui s’installe peu à peu.
Positif
Avec ce film, le cinéaste de 38 ans semble avoir voulu affirmer sa maturité artisitque, en s'obligeant à une sécheresse de style inhabituelle (...) et mériter une bonne fois pour toutes ses galons de réalisateur maître de son art.
Studio Ciné Live
"Loving" a cette qualité majeure de ne pas plus verser dans le pathos que de s'attarder sur l'inacceptable de la situation.
Sud Ouest
Jeff Nichols filme magnifiquement, non pas l’épopée du couple mais son humilité, son dégoût de l’exposition, sa volonté de ne pas paraître. Tous deux héroïques dans l’obstination de leur tendresse.
Transfuge
Avec "Loving", Jeff Nichols atteint sa pleine maturité. Et donne un film d'amour subtilement maîtrisé sur les vieux démons américains.
Télé 2 semaines
Bouleversant.
Télé 7 Jours
Une oeuvre forte et émouvante, en résonance avec l'Amérique d'aujourd'hui.
Télé Loisirs
Dans ce drame jamais larmoyant, qui évite la pesanteur du film-dossier, Jeff Nichols raconte le combat engagé par leur avocat pour faire respecter leurs droits.
Télérama
POUR : Le classicisme dont le cinéaste fait preuve cette fois est une forme de respect. Tout au long des épreuves du couple, de la description attachante de son entourage, on a l'intuition qu'il retient les effets de mise en scène trop visibles, les démonstrations de virtuosité.
Voici
Un drame sobre, sans esbroufe ni pathos, à l'interprétation subtile, où l'on retrouve la patte et l'obsession du réalisateur de "Take Shelter" : protéger sa famille.
aVoir-aLire.com
Jeff Nichols libère enfin tout le sentiment amoureux qui menaçait d’imploser dans ses précédents films. En découle un beau mélodrame.
Le Journal du Dimanche
Jeff Nichols signe son film le plus classique avec ce portrait tout en retenue et en délicatesse d’un couple bien nommé (la lumineuse Ruth Negga et l’introverti Joel Edgerton) dont la seule ambition est d’être heureux sans vivre caché. Pas de grandes déclarations ni d’effets de mise en scène, l’émotion jaillit de la justesse des petits moments à deux.
Libération
Jeff Nichols pose de belles images lisses sur une belle histoire vraie, qui, paradoxalement, manque de vie.
Rolling Stone
Un film trop académique rehaussé par les performances subtiles de Ruth Negga et Joel Edgerton.
Première
Si "Loving" confirme certaines de ses qualités (...), on est surtout frappé à la vision du film par le très grand nombre de scènes sans enjeux, sans idées, sans rythme.
VSD
Chronique corsetée du racisme ordinaire.
L'Obs
L’attachement de Nichols aux valeurs simples et terriennes de l’Americana déborde de chaque plan. La seule chose qui l’intéresse, c’est la pureté rousseauiste de ce couple souillée par un ordre social absurde. Un idéal qu’à l’exception de quelques instants de grâce il fige dans un catalogue lénifiant d’images d’Epinal et de chromos taiseux où les non-dits finissent par ne plus dire grand-chose.
Télérama
CONTRE : Un film qui accumule imperturbablement les clichés : héros proches de la sainteté, méchants au-delà du mal. Les espaces américains sont immenses, comment pourraient-ils ne pas l'être ? Quant au rythme... lent est un terme très en deçà de la vérité, figé serait nettement plus exact.